Causer un accident sans gravité avec un gars de son quartier c’est plutôt rare. Se retrouver sans aucun document au moment d’établir le constat, ni formulaire, ni permis, ni assurance c’est plutôt inhabituel. Pourtant ça m’est arrivé cet été. On est tous les deux conducteurs en torts partagés, on convient de se retrouver chez lui pour rédiger tout ça autour d’une bonne binouze. J’avais souvent remarqué ce type dans mon quartier, assez athlétique, qui courait devant ma maison, sans chercher le contact. Là je me rendais chez lui, au dernier étage d’un immeuble imposant, il habite une charmante maison de toit, pelouse, arbustes, tonnelle, plancha, parasols. Un petit paradis au 5ème étage d’un immeuble neuf.
Le gars est très sec, musculeux, veines apparentes de partout, il me reçoit torse nu, il fait une canicule démente depuis 2 semaines. Une légère sueur met en valeur sa musculature, il sent bon la crème solaire. Il est plutôt bronzé, un léger filet de poils part du nombril et se perd dans son short. Entre ses pectoraux, une touffe de poils noirs fait de la résistance. Une barbe de quelques jours virilise son visage, un sourire dents blanches très charmeur ponctue son accueil. Il me fait entrer, il est pieds nus, son bulge gène ses déplacements, très mince ce gros paquet est d’autant plus volumineux.
« Entrez, entrez, mettez-vous à l’aise, si vous permettez je reste comme ça, torse nu, je vais chercher mes documents »
Je suis assez à l’étroit dans mon boxer, heureusement mon pantacourt est large et ne montre pas mon érection soudaine démente.
Ce mec est tout sourire, chacune de ses paroles est ponctuée par un sourire ravageur, je suis sous le charme, je me trompe d’ailleurs à plusieurs reprise au remplissage du formulaire ; je suis fasciné par ses avant-bras très velus et ses cuisses noyées dans une forêt de poils virils. Je tombe ma chemise, je suis en nage, il approuve mon geste. Les formalités achevées, il m’invite dehors sur la terrasse, on s’installe sur de confortables fauteuils, mon hôte apporte deux Coronas bien fraîches. Je le remercie car le liquide bien frais me rafraichit de l’intérieur. Je l’observe, il est assis les jambes très écartées sur un bulge imposant, ce beau brun est en train de me charmer…
« Voulez-vous que je vous fasse visiter ma maison »
« Je veux bien, ça à l’air très sympa comme habitation »
En passant devant moi, il me frôle à plusieurs reprises, il ne peut pas ne pas avoir senti ma barre qui n’est toujours pas ramollie, ma respiration s’accélère…
« Et voici ma chambre… viens Bastien, désape toi, on va jouer… » Je suis sous son emprise, je retire mes baskets, mes chaussettes, mon pantacourt, mon slip libère enfin mon gourdin qui claque contre mes abdos. Lui retire son short et le fait voler. On s’allonge face à face, nos membres se croisent, les deux mouillent à fond. Il m’embrasse comme un dieu, sa langue visite toute ma bouche et entame le combat avec la mienne, on mélange nos salives, j’avale la sienne, elle a le goût de la menthe fraiche ; il se retourne et me présente son dos musclé, ses fesses dures se collent face à mon glaive, je l’entoure de mes bras et l’embrasse dans le cou.
On ne fait plus qu’un, en un tour de main, il me chausse d’une capote, verse du gel chauffant sur ma queue et la positionne à son entrée chaude…
Je le pénètre comme font les arabes, d’un coup jusqu’à la garde. Il encaisse mes 23x6 cm, il hurle mais ne s’échappe pas. Je le serre contre moi, il est mon prisonnier. Ma grosse queue palpite dans son cul et demande à bouger.
Je ressors entièrement, je lui arrache un cri et le réinvestis aussi sec d’un coup. Il gémit fort, mais il serre ma queue dans son fourreau, je commence le pilonnage, en bonne salope il recule pour venir chercher ma queue, son fourreau est dilaté, mes couilles sont mouillées du gel facilitant, en le baisant j’arrive à investir sa bouche, je le pénètre avec ma langue à l’unisson de ma queue dans son cul.
Son cul est devenue une chatte, ma queue coulisse sans effort dedans, mes couilles cognent à son entrée, je ne lui fais pas de cadeau, c’est une baise sans concessions, il me prévient, il va venir. J’accélère du coup, je veux bien sentir ses contractions d’éjaculations, c’est ce qu’il se passe.
Il crie à la limite du supportable, je le pilonne fort, ses anneaux serrent ma bite mais je ne lâche rien. Il jouit puissamment devant lui, d’un blanc très crémeux, longuement, à 6 ou sept reprises. Quand je sens qu’il se détend, je me retire, retire la capote et asperge sa jolie petite gueule de ma semence virile.
Ses yeux sont fermés par mes jets, sa bouche est remplie de mon jus, il avale tout au fur et à mesure. Je retombe sur le lit, contre lui. Je lui essuie sa figure avec un bout de drap, il rigole heureux.
Je rentre chez moi, vidé et heureux aussi. En partant je mate son cul, son orifice est encore bien ouvert… je sors ce soir sinon je l’aurais encore défoncé, dilaté, détruit sa chatte poilue… je repars torse nu, dans l’ascenseur je sens l’amour, je sens le jus, sa sueur est mêlée à la mienne, une légère brise en sortant de l’immeuble me fait frissonner, la nuit va être belle…
Dans ma poche, sa carte de visite, avec un gros cœur en rouge… c’est un coach sportif…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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