Après 4 mois d’attente, j’arrive à mon rendez-vous chez l’ophtalmo… il est 19h30, je suis le dernier patient. Je m’installe dans la salle d’attente, il y fait très chaud. De réputation, les gens disent qu’il a des tendances à tripoter les patients, les patientes ne l’intéressent pas. C’est un bel homme, la quarantaine, très svelte, musclé, poilu comme un ours, presque deux mètres, des yeux bleus clairs, très brun, il respire la virilité mâle de compète.
J’ai mis un pantalon blanc assez moulant, une chemisette en lin, des converses, un string léopard (mdr).
« Bonjour, monsieur, c’est à vous, je termine la journée avec vous, entrez entrez. »
Quand je passe devant lui, je sens les effluves d’un parfum chic, discret mais présent. Je sens la chaleur de son corps qui provoque en moi des frissons.
« Mettez-vous à l’aise, asseyez-vous ici…, posez votre menton là et ne bougez plus… »
Avec son siège à roulette, il se rapproche de moi, à coller sa cuisse gauche sur la mienne. Elle est ferme et bien plus longue que la mienne. Je joue l’indifférence… avec ses gestes, sa cuisse appuie souvent sur la mienne. Ce contact viril ravive ma queue qui était bien calme… Elle forme une barre bien visible, qui part sur le côté droit, et qui palpite au rythme de mon cœur. Son odeur discrète virile, me mets dans tous mes états, j’ai envie d’une queue épaisse large à sucer… je pose ma main sur sa cuisse… et lâche un « Oh excusez-moi… pas fait exprès… »
Pour toute réponse, il tourne ma tête et me roule une galoche puissante… il masse en même temps ma grosse queue, la sienne déforme son pantalon… elle a l’air courte mais très épaisse. Je le vérifie dans l’instant, il tombe son pantalon et m’enfourne sa grosse queue dans ma bouche… je la décalotte, elle sent fort, toute une journée de travail, une odeur de pisse, la cigarette, la mouille qui s’échappe est abondante. Le gland est énorme, elle doit bien faire 20x7.5… c’est gros hein ?
Je m’applique à la nettoyer, ces odeurs m’enivrent, il sent l’homme puissant… il bourrine ma gueule sans pitié, sa queue viole ma glotte et mon gosier sans scrupule. Il gémit fortement, son secrétaire entre, et se met à poil. Je suis en plein délire… ce n’est pas possible, c’est un vicelard ce mec… s’il me fait payer je le bute… son secrétaire est très mignon, avec une toute petite queue, à la limite du micro-pénis… il est imberbe, il s’approche de nous…
On me touche l’épaule « Monsieur, Monsieur, réveillez-vous c’est à vous… excusez le retard, mais j’ai eu beaucoup de patients aujourd’hui… Fabrice (son secrétaire) vous pouvez rentrer, je finirai tout seul »
J’ai honte, je me suis assoupi dans la salle d’attente, j’ai dû patienter plus d’une heure. L’homme qui vient de me faire rentrer dans son cabinet est plutôt élégant, assez sec, châtain, en chemise bleue, un pantalon large en tergal, une ceinture chic, des chaussures beiges assez brillantes. Il sent le frais… tout l’inverse de mon rêve. Il est très viril, il ne semble pas de la paroisse… une touffe de poils noirs s’échappe du col de sa chemise. L’examen est rapide, très professionnel, sans contact, sans attouchements bref normal. 80 euros quand même… en m’accompagnant il ferme à clef la porte d’entrée… euh je suis encore dedans…
« Tu vas me sucer Bastien ! J’ai trop envie là… » Retour dans mon cauchemar !
Je me jette sur sa braguette, sa bite est très longue et fine, elle passe directement dans ma gorge, il souffle fort, cela lui fait du bien. Il jute direct dans mon gosier… il est éjaculateur précoce…
« J’avais trop envie avec toi, j’ai eu plein de minets aujourd’hui… un vrai mec ça change »
Il me rend mon chèque, me caresse la tête, je sors avec le goût de son jus en moi.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
LE7
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