18 ans et demi, une gueule carrée, une barbe de 3 jours, des cheveux en bataille noir ébène, un regard bleu pâle, une démarche féline, des abdos et des pectoraux dessinés sur son teeshirt, des jambes bien poilues, son pantalon est assez court, Stan, mon nouveau stagiaire pour 3 jours.
Charmant, un sourire éclatant, une démarche dynamique, il a déjà fait craquer la gente féminine, laquelle population me déteste : il sera dans mon bureau.
Je lui installe un téléphone, un ordi, une lampe de bureau, on va travailler ensemble jusqu’à 22h tous les jours. Pour l’instant il a les yeux rivés sur son smartphone, ses deux pouces travaillent à vitesse folle. De temps en temps il allonge ses jambes et s’étire en arrière, son bulge explose en volume, son teeshirt remontant révèle un filet de poils noirs épais qui remonte.
Quand les collègues sont rentrés chez eux, ce soir on doit faire le tour des bureaux pour vérifier les équipements téléphoniques.
Il nous reste une heure à attendre, alors je le l’emmerde pas, je me contente de le mater, il dégage de lui une force animale, une puissance virile étonnante pour un si jeune mec. J’ai un nombre inhabituelle de visites dans mon bureau de femmes, il y a aussi Gérald, pédé notoire qui me demande plein de conseils alors que je ne le vois jamais.
Stan « Bastien tu as un succès de ouf ! »
Moi « Oui mec, je pense que c’est toi que les gens viennent voir, tu les excites »
Stan « Pas trop intéressé par ces vieilles meufs, je suis plutôt branché mec, comme toi je vois… »
Ce gars est direct, je prends sa réflexion en pleine gueule, moi qui ne mélange jamais zob et job. Il a la franchise de la jeunesse, il se touche, il prend sa teub au travers de son jean. Je ravale ma salive, la soirée va être compliquée.
Il continue de jouer sur son téléphone, je l’emmène au distributeur boire un café, il commande un chocolat. Deux filles dans un coin de la pièce font des messes basses en le matant et en gloussant. Je suis rouge pivoine, lui leur décoche des sourires affolants.
Il est de profil, sa braguette semble prête à exploser, comme souvent avec ce genre de mec très mince, la braguette devient le sexappeal incontournable. Stan porte à gauche, un gros tuyau court sur une paire de couilles bien grosse.
18h00 un contrôle sur la pointeuse, on n’est plus que tous les deux. On commence à vérifier son téléphone, je suis penché sur lui pour taper les commandes sur son clavier, il s’est reculé un peu, l’odeur de son parfum Hugo Boss et la chaleur de son jeune corps m’envahissent. Je bande taureau. Mes 19cm larges se voient… lui mate ma braguette discrètement.
Mais le boulot d’abord, on traite les 25 téléphones de l’étage, et les 10 autres de l’étage en 3 heures. On s’est répartit le boulot, il bosse très rapidement. Le téléphone ordinateur est situé dans la réserve. Je le laisse faire, je vais pisser et quand je reviens, je suis resté bouche bée en entrant dans la pièce.
Stan est penché sur le bureau, il n’a plus son pantalon, il est cambré et semble attendre une grosse queue.
Je suis essoufflé à mort, ma queue me fait mal, lui me regarde en souriant.
Moi « Stan putain tu fais quoi ? Pas ici ! Merde ! »
Stan « allez fais pas ta tepu, montre-moi ton beau boule, j’ai besoin de me vider, trop de jus dans mes couilles mec »
Moi « Mais je, mais non, nan, je suis actif »
Stan « Mdr, tsssss, respire mec, cool, je veux juste te démonter pour te montrer qui est le patron ici ! »
Je ne sais quoi répondre, après tout il sera parti mercredi soir, l’aplomb de ce mec me coupe les jambes, les bras et ma volonté. Je suis comme anesthésié, sa voix grave, son attitude me désarçonne, comme hébété, je me dirige vers le bureau, je prends la pose, penché en avant, mon cul offert à sa matraque.
Il retire ma ceinture, déboutonne ma braguette, descend d’un coup mon pantalon, descend mon boxer sur mes chevilles. Je vais me faire enculer… il avait bien tout prévu, il s’accroupit, il lèche mon cul, salive bien dans mon trou, je perds pied tellement c’est bon. Je ne me gêne pas pour crier mon plaisir, il écarte bien mes fesses, sa grosse langue me rend dingue, sa barbe frotte l’intérieur de mon cul. Il fait chaud dans la pièce, la chaudière est à fond, je retire mon polo…
Un gel froid est appliqué sur ma chatte, il chausse rapidement une capote, je me retourne pour évaluer sa teub. Elle est énorme et très longue, elle va me ravager, c’est sûr. Ça fait longtemps que je ne me suis pas…
Putain ! Il y va pas de main morte, son gros gland est entré en moi par surprise et me dilate fort. Je crie plus fort.
Stan « Mais non ma pute ce n’est rien, attend que je te mette tout, du vas voir comment c’est un vrai mâle. »
Il ressort, injecte du gel dans mon anus dilaté, et replonge sa queue plus loin, il va refaire cette manœuvre jusqu’à que ses lourdes couilles s’écrasent contre moi. Je suis rempli par cette poutre, il est impossible qu’il la bouge, je la serre avec mes sphincters… je me suis trompé, il se retire presque à fond et m’enfile à donf.
Sans poppers je morfle grave, lui me pilonne en claquant mon cul, il ahane comme un bucheron, je crie comme une vierge dépucelée, en bonne lope, j’écarte bien mes fesses, il en rentre plus encore, ma queue va exploser, il retire son teeshirt, il se couche sur moi, je sens sa pilosité griffer mon dos.
Il me démonte comme jamais, sa grosse queue glisse en moi, comme dans une chatte bien lubrifiée.
Stan « Putain tu as un cul de salope, je vais te féconder grosse pute, après tu vas faire tout ce que je voudrai, sinon je te balance à ta direction. Tiens prend ça, tu l’aime ma teub hein tu l’aimes ? »
Il sort, retire le condom, me met à genou et se branle très vite, je suce son gland, il recule ma tête, deux jets partent dans mes yeux, le reste dans ma bouche, 5 jets bien crémeux, trop épais. Je suis soumis, humilié.
Il souffle comme un mâle, en grognant, il ne débande pas, il me couche sur le dos au sol, il essuie mes yeux, il me pénètre à l’horizontale, en prenant appui sur mes cuisses qu’il écarte à fond, mes genoux touchent mon visage gluant. Ce mec est une bête sexuelle, il me pilonne sans capote cette fois-ci.
Il me crache à la gueule, il s’enfonce en moi, sa pénétration est profonde, il reste plus longtemps au fond de moi, sa queue grossit en moi, il est en train de me féconder, je sens sa bite se contracter 8 fois. Je viens de jouir entre nous deux.
Il se couche sur moi, sa langue visite ma bouche en terrain conquis.
Je suis à lui, vaincu, les deux jours qui restent il n’a pas bossé, toujours sur son téléphone, le soir il me dosait directement. Je n’avais plus aucune autorité sur lui. Il me traitait comme une sous merde. Je ne l’ai plus jamais revu.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
Toutes les histoires de LE7