Je me présente Bastien, brun, 178 pour 85 kg, plutôt bm. J’ai une copine assez frigide, qui n’aime pas faire l’amour. L’histoire que je vous raconte se situe l’année de mes 19 ans. À l’époque je suis très svelte, je commence ma vie professionnelle dans une société qui distribue du matériel hifi. Je suis préparateur de commande, plus précisément j’emballe et sécurise le matériel que le beau Giorgio dépose sur ma table avec les étiquettes d’envoi. On est en plein mois d’août, dans le hangar il fait une chaleur quasi insoutenable, heureusement des douches collectives ont été installées, et nous en prenons plusieurs par jour. Ce jour-là on est que deux, Giorgio et moi. C’est vendredi et on est pressé de finir les commandes, la messagerie qui vient les chercher ne va pas tarder.
On est tous les deux en short et chaussures de sécurité. J’ai retiré mon teeshirt, comme Giorgio, il court dans tous les sens, je l’aide à imprimer les étiquettes et rassemble les produits par client sur la longue table d’envoi. Giorgio est un beau mâle italien très viril. Il est poilu sur le torse, le ventre, les avant-bras et les jambes. Il a une jolie barbe de 3 jours, avec des pattes qui me font craquer. Quand il court, son paquet bouge d’un côté à l’autre, son sexe semble lourd et imposant. Sa voix grave me chavire, bref je suis amoureux secrètement de lui. Il ne se doute de rien, et demeure très professionnel avec moi. Il nous reste 20 colis à faire. Je m’applique à la constitution des boites, produits bien emballés, étiquette bien posée et scannée, colis bien rangé sur le roll de départ. Les gens du bureau partent les uns à la suite des autres, le patron nous lance « bon weekend les gars, Bastien, tu n’oublieras pas de mettre l’alarme et de fermer à double tour, à lundi ! ». On n’est plus que tous les deux. On redouble d’efforts pour partir au plus vite. La chaleur est un peu descendue, il est 18 h 30 quand je pose le dernier colis dans le roll. Pile-poil au moment où le chauffeur sonne, avec Giorgio on lui pousse les 6 containers de colis. On s’acquitte des formalités administratives, les portes du fourgon claquent, on se retrouve tous les deux.
Je vais chercher deux bières et on se pose un moment pour souffler assez satisfait de notre travail. Giorgio est quasi allongé sur la chaise, ses abdos bien dessinés, ses larges cuisses bien larges écartées. Son paquet semble énorme. On déguste notre binouze. Sa fraicheur nous fait un bien fou. À chaque gorgée, son biceps droit se gonfle et maltraite la veine centrale, les poils de son ventre sont collés par la transpiration. Des gouttes de sueur coulent sur mon ventre. « Tu es pas mal comme mec » me dit-il « bah toi aussi, tu es bien plus viril que moi, je suis brun, mais pas trop poilu, alors que toi tu transpires le mâle » « ah ouais tu me vois comme ça, tu m’affoles là, comme je suis bi, je pourrais te sauter dessus ! » « Chiche, lui dis-je » une alerte générale dans ma tête sonne NO ZOB IN JOB et pourtant, je me laisse faire. Il termine sa bière la tête bien en arrière, la bouteille à la verticale, il est magnifique. Il se lève d’un bond, s’étire en arrière et s’approche de moi, démarche féline. Je ferme les yeux.
Il dépose un baiser baveux sur ma bouche. Je maintiens sa tête en prenant sa nuque. Mon zob a doublé dans mon short et fait une bosse assez explicite. Sa bouche sent la bière, sa langue visite toute ma bouche, un combat de langue commence. Je le prends par les hanches, me lève et me colle à lui. À travers nos minces shorts, nos queues se cherchent. Toute sa pilosité me chatouille sur tout mon corps. « Viens on va se doucher, on baisera là-bas, ici c’est risqué si le patron revient » bras dessus, bras dessous, on entre dans les douches. Nos shorts tombent rapidement au sol. Son zob est très épais et long. 23 cm par 8. Son gland est très gros. « Ça fait longtemps que tu me mates Bastien, je l’ai bien vu, maintenant que ma copine est partie avec un rebeu, cette salope, je vais profiter de toi » pour toute réponse, je tombe devant sa queue et gobe son gros sexe. Il est hyper dur et mouille beaucoup. Il me prend la tête et utilise ma bouche comme un sextoy. Il force ainsi mon gosier. Plusieurs fois je manque de vomir, mais il n’en n’a rien à faire. Je lui suis entièrement soumis. Je masse ses grosses couilles très velues. « Arrête tu vas me faire cracher et je veux te prendre » « non, lui dis-je t’as vu comme tu es monté ! » « T’inquiète pas je sais y faire ». Il me relève gentiment m’embrasse et me retourne. Il me penche sur un muret et écarte mes jambes, je suis offert et attend sa saillie. Il revient 1 mn après avec du gel, du poppers et des kpot xxl. « Je vais te faire l’amour copain, tu vas jouir ma chérie ».
Il prépare mon anus avec application, deux doigts dans une capote, pour ne pas me blesser, massent mon anus. Le gel est très agréable, je me gaze, c’est un poppers très puissant qui fait tourner la tête puissamment, il en profite pour ajouter du gel et un doigt. Je me sens ouvert à sa queue, il est à la limite du fist. Il pose des bisous partout qui me rendent dingue. Je veux qu’il me pénètre maintenant, je le veux en moi, même si sa queue très imposante m’inquiète. Il se colle à mon dos son sexe dans le sillon fessier, ses bras autour de moi, je me sens bien. « Je vais te baiser Bastien, laisse-moi faire » il me penche et pose son gland sur ma rondelle. Je respire à fond, je pousse, son gland est déjà entré, je respire très fort, il me prend les épaules et s’enfonce en moi. Je panique, je suis coupé en deux, une poutre est en moi. « Voilà c’est bien ma chérie, détend toi » je veux lui dire que je suis un homme, mais je n’en n’ai pas la force. Je suis concentré sur son membre qui a pris possession de moi. Je suis à lui. Cette acceptation détend mon cul, il commence à bouger. Mon boyau est malmené, broyé, mais je crie à chaque progression. Giorgio est un mâle alpha, c’est sûr. Il est conscient de sa puissance. Il me pistonne sans pitié, sans égard. Je pars en live. Je recule sur sa queue jusqu’aux couilles, il avance son bassin pour me faciliter l’action. Je me baise sauvagement et me branle en même temps, sa queue a encore grossi. Il ajoute du gel et me gaze souvent. Mes jambes flageolent, mon cul va me faire jouir. L’orgasme est hyper violent, il hurle car je comprime sa queue. Je la sens qui expulse son sperme dans la capote. « Putain putain que c’est bon ! Bastien, je t’aime ». Je suis assis par terre, la tête entre mes genoux, le cul explosé, mais heureux. Il s’accroupit et m’entoure de ses bras virils. « Bastien ! Giorgio ! ou êtes-vous ? » C’est Mathieu le patron qui revient. On se cale vite sous la douche. « On est là chef » « OK finissez votre douche je vous emmène boire une bière, vous avez fait du bon boulot ».
Les yeux à peine cernés, nos queues en demi molles on se rhabille vite fait, on grimpe dans le RAV4 du patron et on fonce chez MY BEER. Giorgio m’embrasse et me dit « j’ai adoré mec, on refera çà. »
Depuis ce jour-là, on ne s’est plus quittés avec Giorgio. On a emménagé dans un loft, on se fout du qu’en-dira-t-on, au boulot ils ont bien accepté, ils sont cools avec nous. Nos familles pareilles sauf nos anciennes copines, mais ça se comprend. Mon mec me fait l’amour tous les jours, je suis de moins en moins actif… on est heureux comme jamais. Tout nous réussit comme ce jeu concours qui nous a envoyés en Californie pour un mois de vacances, pendant que l’entreprise était également en vacances.
À notre retour en octobre, deux préparateurs avaient été embauchés, notre patron nous a confié un magasin en centre-ville de service après-vente, de relais colis. Il a confiance en nous. Nous on est heureux.
LE7
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