J’attends avec impatience ce sèche-linge, par temps de pluie c’est vachement pratique quand même. En l’achetant j’ai choisis livraison/installation/enlèvement de l’ancien. A 18h on sonne au portillon, je regarde par la fenêtre, c’est bien le livreur de chez B.
C’est bien mon jour de chance le portillon ne s’ouvre pas à distance. Sous la pluie, je vais lui ouvrir en petit short noir et en débardeur très échancré. Le molosse qui me livre, prend l’appareil directement, et le rentre dans le hall de ma maison. Il a soulevé ça avec facilité. Il est en teeshirt blanc, bien trempé. Sans dire un mot il débranche l’ancien, nettoie l’espace et place le nouveau après l’avoir déballé. Très professionnel il travaille proprement, je savoure les efforts du mec et le jeu de ses muscles. Son pantalon assez moulant ne cache rien de son équipement… un gros bulge… qui occupe bien la cuisse droite… j’ai une demi-molle.
Je pense qu’il m’a bien calculé, il a deviné mes préférences… il évite mon regard.
Lui « je mets l’ancien appareil dans la fourgonnette et je suis à vous, je vais prendre mes affaires pour me changer, je suis trempé et j’ai froid »
J’adore les temps de pluie… en sens inverse il sort l’ancienne machine à deux mains, c’est léger pour lui.
En attendant son retour, j’enfourne la lessive et lance le séchage. Miracle aucun bruit ne sort, aucun frottement, cette machine est nickel.
Je l’attends dans le salon, assis sur le canapé, jambes bien écartées, j’ai replacé mon sexe… insolent de provocation.
Je veux me le faire cet homme, il est trop beau et ce putain de confinement m’a rendu chaste depuis deux mois. Mon chéri est bloqué à Hong-Kong en attente d’un avion. Le sexe virtuel ce n’est pas trop mon truc. Je veux sentir les odeurs, humer les muscles, caresser sa toison, griffer ses cuisses très poilues, écarter mes fesses pour appeler son…
Lui « je peux me changer ici, ça ne vous dérange pas ? »
Sans que j’ai eu le temps de répondre, il retire ses chaussures techniques, son pantalon, son tee-shirt. Il y a dans mon salon un géant hyper musclé, poilu, avec un boxer hyper rempli.
Lui « vous pouvez me prêter une serviette svp ? »
Moi en bafouillant « je vais vous chercher ça… ben venez par-là, vous pourrez prendre une bonne douche chaude »
Lui « ah c’est vraiment cool de TA part »
Ben pourquoi il me tutoie lui maintenant ? il entre dans la salle de bain avec moi, j’essaye de lui attraper une grande serviette sans faire chuter la pile, c’est trop haut. Je n’utilise que des petites…
Lui « attend je vais t’aider »
Il se colle à mon dos, son paquet touche mes reins, je ferme les yeux et m’appuie contre cette masse de muscles… mon cœur bat à tout rompre, il pose un baiser dans le cou. Une énorme barre martyrise mes reins, il attrape la serviette, ses aisselles sentent la journée de travail et les phéromones. Je tourne la tête et donne un coup de langue. Il m’enlace, et appuie son bassin contre moi, il tourne ma tête et prend ma bouche. Elle sent le menthol, beaucoup de salive. Il me galoche violemment. Il descend mon short et mon boxer simultanément, ma queue épaisse est enfin libérée, il retire mon marcel, je baisse son boxer. Son membre lourd humidifie mes reins.
J’ai envie de lui. Son érection magistrale ne laisse aucun doute, il va me féconder. Il écrase dans sa main mes couilles, je souffre mais je reste soumis à lui. Il m’entraine dans la douche italienne, il se rince à l’eau vite fait, il décalotte sa queue, nettoie le gland, verse du savon dessus, et il m’embroche d’un coup.
J’hurle ma douleur, je m’échappe de sa poutre… sa queue est arrogante de puissance. Il me regarde en me suppliant de ne pas le laisser comme ça. Je me pends à son cou, enserre sa taille avec mes cuisses, il positionne son gland à mon entrée, je descends doucement. La bouche ouverte, je subis sa puissance, je sens la moindre des veines de sa queue.
Il me laisse faire en me fixant du regard, dominateur. Quand j’ai fini ma descente sur son mat, il donne un coup de rein puissant affirmant son autorité. J’hurle encore une fois.
Il me tient par les fesses, me soulève et me lâche pour bien me posséder. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement, je jouis contre ses poils, les contractions de mes sphincters provoquent son orgasme. Il remplit mon colon de jus bouillant qui coule le long de mes cuisses. Je reste branché à sa bouche, on a senti mutuellement nos orgasmes.
Il me repose, nettoie sa grosse queue, il met le pommeau de la douche en jet et nettoie mon fondement. Je l’aime ce mec. Il sort de la douche, se rhabille et fuit. Son alliance doit en être le motif. Il a signé le bon de livraison à ma place.
Quel mec !
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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