J’ai une passion pour les espagnols, pour leur voix, leur virilité.
Un 31 décembre à Madrid, c’est quelque chose ! Je me retrouve à 23h00 Plaza de España au milieu d’une immense foule, à attendre le moment crucial.
Les gens sont joyeux, l’alcool coule à flot, beaucoup renverse leur gobelets, j’ai les pieds trempés de sangria, bière et autres breuvages. Je suis entouré de mecs très bruns, barbes noires. Je sens que la pression de la foule augmente. On est de plus en plus serrés. Les femmes sont belles, maquillées pour la circonstance, élégamment vêtues, les hommes sont charmants, il dégage d’eux une sensualité très virile.
Il y a des mouvements de foule, comme une houle, les gens se plaignent, avec mes voisins, on s’accroche où on peut pour ne pas chuter. Plusieurs fois on me saisit à la taille, ou par l’épaule. Les mains sont larges et fermes. Je leur souris. Il y en a un qui est à côté de moi, la trentaine puissante, une chemise blanche déboutonnée à moitié sur un torse viril et poilu. Il est hyper charmant. A la faveur d’une bousculade, je pose ma main sur son torse, il me tient le bras, ce contact, cette chair tiède, ces poils drus provoquent en moi une réaction directe. Mon sexe bande. Il me retient pour que je ne tombe pas.
Cette solidarité de la foule rend ce moment très sexy. Les mecs sont gentils, du haut de mes 40 ans, je ne me sens pas exclu, bien au contraire. On est comme dans un bateau, soumis aux vagues.
La pression de la foule augmente, sa densité aussi, mes voisins me collent davantage, le gars au torse velu, est derrière moi maintenant, il me colle vraiment. Je sens son corps musclé contre moi, je sens aussi la bosse de son pantalon, il ne bande pas mais la bosse est grosse, elle s’insère parfaitement bien contre mes fesses. Je sens son souffle contre mon cou. Il a le souffle puissant, chargé de sangria et de chorizo…
Je ne peux pas échapper à son corps, devant moi un grand gars est très proche aussi.
Il saisit de plus en plus mes hanches pour s’équilibrer, j’ai l’impression qu’il me fait l’amour, d’ailleurs la sensation d’une barre est de plus en plus nette. Très rapidement il passe sa main sur ma braguette et touche ma queue qui n’en peut plus. Il revient sur mes hanches après son contrôle. Moi aussi je veux vérifier, je passe ma main entre nous deux, je suis effaré par la grosseur du membre, il est le double du mien, il barre en oblique son pantalon dépassant sa poche gauche… je tourne la tête, il me sourit. Un autre mec à côté de moi passe sa main dans mon dos sous ma chemise et caresse mes reins. Entre griffures et massage, je ferme les yeux. Il touche aussi la queue madrilène qui exerce des pressions sur mon boule.
Sa main passe devant et saisit mes tétons, il les pince. La sono diffuse Ella de France Gall, les gens bougent ensemble, quelqu’un défait le bouton de mon pantalon et le descend à mi-cuisses. Je chante à tue-tête, trop heureux de ce qui m’arrive. On approche de minuit, le mec d’à côté met à nu mes fesses et insère un gros doigt dans mon intimité. Il a dû mettre du gel, le doigt pénètre sans effort.
Je repasse ma main derrière, le gars a sorti sa grosse queue uniquement par la braguette, elle est bien énorme, très veinée, elle dégouline de mouille. C’est moi qui la présente sur mon anus, je suis essoufflé, un mouvement de foule la fait entrer en moi, je crie en chantant, le macho déchire mon cul, s’enfonce à fond dedans, je sens son pantalon sur mes fesses. Je perds de la voix, perforé jusqu’aux entrailles.
C’est la foule qui va me faire l’amour, les gens bougent beaucoup, en puissance, lui accentue les pénétrations.
« Hijo de puta, cabron, pédé de Francia, maricon » il m’insulte, il apprécie mon cul, sa queue grossit de plus en plus, elle dilate ma chatte à fond. A chaque décompte, il donne un coup de boutoir, je m’accroche au mec de devant, qui se retourne et me fourre sa langue dans la bouche, au douzième coup, mon baiseur m’ensemence, dans un cri bestial, je jute sur le pantalon du grand mec. On reste comme ça collé, les gens nous regarde bienveillant, un français me lâche :
« Tu commences bien l’année petit pédé, alors elle est grosse la poya expagnole ? »
L’homme qui me doigtait, se penche et nettoie la grosse bite qui n’a pas débandée, il a du sperme plein la gueule. Je me rhabille vite fait, mon boxer est trempé au cul. Mon baiseur met une bouteille de champagne à la bouche, m’oblige à boire, il me fait des bisous, je suis tellement bien… la sono crache les tubes à la mode, tout le monde danse, j’ai la tête qui tourne, mon baiseur a disparu, je suis seul dans cette foule joyeuse. J’ai mal au cul, le sperme apaise l’irritation, je suis en nage, j’ai son odeur sur moi. Je ceinture le grand mec devant moi pour me reposer, mes mains sont sur ses abdos durs comme l’acier, il les tient.
Tout le monde me caresse, la nouvelle de ma sodo s’est répandue autour de moi. Les gens sont cool, ils ricanent beaucoup, parfois un doigt touche ma chatte humide, parfois une langue pénètre ma bouche.
Il est 3h, je rentre à l’hôtel, accompagné du grand mec. Il me baisera jusqu’au matin. Heureusement que mon colon avait été détendu, je n’aurais pas pu accueillir son énorme sexe, avec ses couilles énormissimes. Un monster comme on les fantasme… hein les mecs ? Lui baisait lentement avec puissance, dans toutes les positions, j’étais un pantin dans ses bras. Il me pinçait partout quand je sautais sur sa grosse queue. J’étais couvert de bleus de plaisir. Il m’a dosé plusieurs fois, moi je n’avais plus de jus, lui était intarissable…
J’avais encore mal dans l’avion du retour…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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