Prendre le shuttle pour aller à Londres est toujours une expérience. En ce beau mois de mai, malgré le Brexit, et ses complications, je décide d’un weekend in London. Dès mon arrivée je saute dans un taxi qui me dépose au pied de mon hôtel. Logement au 4ème, ascenseur vaste, joli parfum d’ambiance, musique de Michel Legrand dans l’ascenseur… bizarre… ma chambre est très grande pour un prix serré. Un lit king size, une salle de bain avec une double douche à l’italienne. Cet endroit commence à me plaire. Je m’effondre sur le grand lit et m’endors de suite. Je me réveille, plus précisément mon estomac me réveille en gargouillant bruyamment. Après une douche revigorante, je sors de l’hôtel. À 10 m un pub bien anglais propose de la bière et des snacks. Je ne suis que mon instinct, entre dans ce bel établissement. À mon entrée, les conversations s’arrêtent je dis « hello froggies » salut les grenouilles, ça provoque l’hilarité générale, les conversations reprennent, un bel homme me prend par les épaules et m’invite à boire une pinte de bière bien fraiche. (ils ne boivent pas que de la bière tiède). Il n’y a que des hommes dans ce pub, de tous les styles, du barbu au punk iroquois, cette atmosphère virile m’émoustille. Mon nouveau copain me parle trop rapidement pour je capte complètement ce qu’il raconte. Le Brexit, Boris Johnson, Emmanuel Macron, Angela Merkel, la terre entière y passe. Il est visiblement contre le Brexit, ça lui fait peur.
Les trois binouzes avalées me provoquent une envie de pisser, mon copain me dit « i come with you » on descend aux w.c., des mecs se paluchent, d’autres s’embrassent, une porte de w.c. cogne très fort, d’autres sont adossés au mur, la pissotière n’est pas discrète : un long mur en zinc, où coule un filet d’eau. Je sors popaul et me soulage en soupirant, mon copain sort sa teube… son mastard très gros lâche un gros jet puissant. Il est un peu pompette et pose sa tête sur mon épaule. Je le prends par les épaules et on se soulage ensemble en rigolant. Il prend ma queue et me demande de prendre la sienne, nos pisses sont interminables. Son engin est vraiment gros, il me fait fantasmer. Son jet s’arrête, je secoue sa queue, et là véridique il bande instantanément : un truc de 22 cm incroyablement puissant et gros. Ma queue fait petite à côté. « hey frenchy i m going to fuck yr little ass » hey mec je vais baiser ton petit cul. Il me pousse vers un mur, descend mon pantalon, mon boxer, un mec lui file un tube, et une capote xxl. En un rien de temps, il s’est habillé et graissé mon cul.
Ses mains sont sur le mur, et m’entoure, un mec prend sa queue, la positionne sur mon entrée secrète, il commence sa progression. Je serre les dents, je pousse et accepte cet énorme chibre. Mon baiseur me traite de pig. « French is so good to fuck… » Deux autres mecs se branlent à côté de moi, ils sont fascinés par la grosse teube qui me ravage. Moi je subis les assauts de mon baiseur, mon cul n’est que plaisir, quand il touche mes fesses, ses mains rayonnent de partout sur mon corps. Involontairement mon anus se serre sans arrêt, je n’en ai plus le contrôle. Quand il serre, mon baiseur me traite de « bitch » (salope). Son chibre se durcit, je sens ses veines, le bruit de ses assauts est indécent, le gel aide au pilonnage, et quand il est à fond, je le sens cogner en moi. Je ne me touche pas au risque d’exploser, malheureusement un des mecs qui se paluche me choppe les couilles par derrière mon baiseur… j’explose instantanément bloquant la queue de mon baiseur qui jouit en cascade. On crie de concert, nos deux voix graves de mâles en rut font juter les deux voyeurs. Je suis aspergé de jus des deux côtés. Des mecs sont descendus du bar pour voir ce qui se passait. Beaucoup me tapent sur les épaules comme si j’avais réussi un challenge. La queue de mon baiseur pend entre ses cuisses et arrive aux genoux. Elle est plate et du sperme coule encore. Moi j’ai du mal à marcher.
Mon mâle viril baiseur m’aide à remonter au bar et m’offre une autre pinte. Ma tête tourne, je suis euphorique, plusieurs mâles me font signe de descendre avec eux aux w.c.. Je leur fais comprendre plus tard. Le bar ferme à 4 h la nuit va être longue. Dans la vie, protégez-vous !
LE7
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