Il devait passer à 22h… j’étais endormi nu sur mon lit. Mes oreilles ont bougé, elles ont détecté une présence, il vient d’entrer à pas de loup dans ma chambre…on s’était dit baise sans blabla…
J’entends le bruit d’un ceinturon qui tombe au sol, de chaussures qui valdinguent dans la pièce, d’un boxer qui glisse, d’un teeshirt qui tombe au sol, et d’une odeur d’homme, mélange subtil d’odeurs corporelles et de déodorant frais, le gars souffle fort, 5 étages à pieds ça pompe le cœur…
Je suis allongé sur le ventre, la lumière est éteinte, seule celle d’un lampadaire filtre par les volets entrouverts. Il écarte mes jambes jusqu’au point de rupture, mes tendons sont au maximum. Il écarte mes fesses, renifle mon anus, il gémit de plaisir, sa grosse langue vient laper mon anus propre. Je me sens bien, sa barbe gratte l’intérieur de mes cuisses, de mes fesses, sa langue va loin en moi. C’est comme un petit sexe explorateur qui dilate mon sphincter. Il a passé une main sous moi pour se saisir de ma queue, il la tient fermement, comme une poignée.
Il saisit le tube de gel, injecte du gel directement en moi, cette substance froide me transcende grave, deux de ses doigts ont remplacé sa langue, il y va doucement pour me dilater, il dépose des bisous sur mes fesses, il me pistonne très lentement avec ses gros doigts… je lui tends une capote sans la pochette, il me dit…
Lui « attend j’ai apporté des formats XXL, sinon ça me fait mal… »
Je prends peur, j’essaye de vérifier l’engin, il est trop loin…
Lui « ne t’inquiète pas tu vas en redemander… je vais détruire ta chatte de salope… »
Je me gaze 3 fois dans chaque narine, mon cerveau part en vrille, mon anus se détend, ce poppers est très puissant. Il choppe deux oreillers, me retourne sur le dos, les place sous mes reins, je le vois enfin.
Il a une gueule carrée, une barbe poivre et sel bien taillée, des épaules larges, une toison bien noire sur le torse, des abdos bien secs recouverts de poils et et et…un engin monstrueux… un vrai monster. Il a ce sourire carnassier de l’homme qui va baiser, du macho qui va se vider. Grace aux coussins, j’ai les jambes en l’air, offert à sa loi.
Effrayé par son sexe, j’écarte mes fesses, il pose son gland à l’entrée, mime une pénétration, il fait durer le plaisir, il badigeonne mes couilles de son jus pré-séminal, je sens l’extrême dureté de son gourdin, il revient sur mon trou, fait semblant de me pénétrer et repart… c’est délicieusement agaçant.
Moi « s’il te plait encule moi, baise moi… j’en ai envie… »
Lui « tu es sûr ? Tu as vu la bête, tu vas morfler ta race mec… je vais te défoncer en mode bourrin»
Moi « Oui oui oui »
Sa queue est énorme, son gland est plus petit que sa teub, une tête chercheuse assez pointue, mais un corps de bite qui part en cône énorme, façon canette, de 24 cm, balancé par deux énormes couilles poilues. On va dire 24X9… je vais morfler…
Je comprends mieux pourquoi son gland passait bien, il me gaze encore deux fois, il crée une flaque de gel sur mon trou, il prend possession de ma bouche, il pousse son braquemart en moi, j’ai l’impression d’être déchiré malgré le poppers, je souffle dans sa bouche, il respire mon souffle, mais n’arrête pas sa progression. Je sens mes sphincters craquer, sa queue n’est qu’à la moitié, je me libère de sa bouche pour pousser un cri de douleur. J’écarte mes fesses, il m’encule jusqu’à ses grosses couilles. Je pleure chaudement, je suis anéanti par cette putain de bite !
Il tient mes jambes, il fait fi de ma douleur et me laboure puissament, j’ai l’impression qu’il embarque mes boyaux à chaque fois, comme à chaque fois, la douleur cède la place au désir de sa queue. Je n’ai jamais pris un tel calibre. J’ai mal, mais j’en veux encore et encore, elle coulisse comme dans du beurre, lui me fixe de son regard bleu acier, il me défie, son bassin claque le mien de plus en plus fort, de plus en plus loin… je suis offert à son plaisir, il me retourne en levrette, sans déculer, j’ai mal, il va plus loin encore, il me branle, je jouis de suite de long jets, je ne peux pas serrer sa queue, mon cul me fait mal à chaque éjaculation.
Il me remet sur le dos, il m’enjambe, sa queue à la verticale de ma bouche, il largue sa cargaison de jus, comme s’il me pissait du jus en visant ma bouche. Pas de jets, juste un long filet de jus qui sent très fort. Je ne veux pas tout boire, il m’asperge la gueule en gémissant.
Mon cul ne se referme plus, je suis inquiet. Il repart aussi sec, sans un mot, en laissant la grosse capote à la forme de sa bite, je remonte la couette sur moi… son sperme sur moi, le poppers et la fatigue m’ont cassés. J’ai mal à la tête et au cul. Salop ce daddy, salop, il ne m’avait pas dit qu’il était TTTTBM…
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
LE7
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