Je décide de me faire une toile un dimanche matin à 10 h. Le film ne m’emballe pas, mais bon je me laisse mener. Surprise quand je rentre dans la salle, il n’y a qu’un spectateur au milieu de la salle. Je m’assois juste derrière lui. Les lumières s’éteignent et le film commence. Le mec se lève, et vient s’assoir juste à ma droite. Il est en short de foot et en teeshirt. Je prends cela comme une invitation au partage, mais je ne prends pas l’initiative. Je suis moi-même en short court, tous poils dehors. J’écarte au maximum mes jambes pour laisser un éventuel accès à la salle de jeu.
Mon voisin est loin dans le fauteuil, les cuisses aussi très écartées de telle sorte qu’elles touchent les miennes. Ses poils et les miens font velcro. Il remonte son teeshirt sur un torse très velu, un filet de poils très fourni très noir descend vers son pubis. Ses tétons sont gros, signe qu’il les travaille souvent. Il ne me regarde pas, mais pose sa main gauche sur ma cuisse, caresse mes poils et remonte doucement vers l’aine. Avec dextérité il extirpe mon paquet hors de mon boxer. Je suis encore habillé, mais à poil pour mon zob. Je n’ai qu’une demie molle, sa main très douce et très habile va s’en charger. Moi je reste immobile, les mains dans mon dos, je fixe l’écran, je ne comprends pas d’ailleurs ce qu’il raconte. Mon souffle et mon cœur est assujettit au massage de mon nouveau copain. Il se pose à genou devant mon fauteuil, et approche sa bouche de mon gourdin. Je suis au maximum de l’érection, ma queue me fait mal. Il engouffre mon membre, j’étouffe un cri tant la sensation est forte. Mon sexe étant comprimé par mes vêtements, je descends à mes pieds, mon boxer et mon short. Je peux écarter alors mes cuisses, mes lourdes couilles reposent sur le fauteuil. Le bomec reprend sa suce. C’est un virtuose, il aime la bite et ça se sent. J’aurais aimé un peu plus de poésie, de charme. Là c’est la situation soudaine qui me plait, cet inconnu est plutôt beau. Il a une coupe militaire, il est plutôt musclé, des épaules très larges. Il aspire ma queue, on dirait qu’il va chercher le jus dans mes organes. Une douce chaleur m’envahit. Cela fait une semaine que je n’ai pas craché. Je n’aime pas me masturber. Je sens que ça gronde, je le préviens, mais lui me fait une gorge profonde, je balance la purée directement dans son estomac, en criant. Je regarde mon bienfaiteur qui se met debout et se branle énergiquement. Plusieurs jets blancs giclent sur les fauteuils de devant. Lui aussi crie fort pendant que sur l’écran des bombes explosent. Il se rhabille et tombe dans le fauteuil, visiblement épuisé. En remerciement je pose ma main droite sur son paquet qui dégonfle lentement. Lui pose sa tête sur mon épaule et me dit en anglais « thank you sir ».
Le film est fini, je le réveille, on sort tous les deux en même temps. Le caissier à un large sourire…
Aurait-il vu quelque chose ?
LE7
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