Il entra à pas de velours dans mon appartement au rez de chaussée. Pierre, 35 ans, 180 70kg, très brun et poilu, une grosse teub disait-il sur Grindr.
Moi, Bastien, 178 80kg, chatain, correctement doté… hum hum… en mode très passif pour ce plan. On est en plein mois de mai, les fenêtres sont ouvertes, la nuit est belle, quelques grillons chantent leurs sérénades. Des chats se disputent dans la rue, on entend des rires au loin, des rires de donzelles en mal de garçons, et moi j’en ai un pour moi tout seul, à l’instant. Les arbres en fleur renvoient leurs parfums.
Je suis nu en boxer, allongé sur mon canapé, à la disposition de ce mec qui vient me faire la fête. Il se met tout nu, s’agenouille devant le canapé, prend possession de ma bouche. Sa langue virevolte et fait le tour du propriétaire. Je bande façon taureau à m’en faire mal. Dior homme est son parfum, il est solide, bien bâti, musclé, une énorme toison touffue occupe son torse, elle descend très épaisse vers son boxer, il est rasé de très près, très frais, un très légère odeur de mâle s’engouffre dans mon nez. Je respire en gémissant de bienêtre.
Une semaine d’abstinence, à cause d’un boulot prenant, débouche ce soir à une décompression maximale. Le visiteur du soir, effleure ma peau, passe au-dessus de mon boxer, caresse mes cuisses velues, masse la plante de mes ieps remonte sur mes abdos, capture avec sa bouche mon téton gauche, le malmène à me faire crier.
Je tends ma main gauche vers son paquet comprimé par ce boxer devenu trop petit. Je découvre une énorme barre, un rouleau à pâtisserie qui m’effraie, que je calcule, qui me fait serrer ma rondelle, un truc de ouf qu’on ne voit que dans les mauvais pornos… le sommet de la barre, enveloppé par le boxer tendu trempe dans un liquide visqueux important, comme une petite jouissance. Je soupèse une bonne grosse paire de kiwis… bien pleine.
Lui exacerbe mes sens avec ses effleurements, je deviens très sensible du bas ventre, de mes hanches, de mes pectoraux, de mes fesses, il ne peut plus toucher mes pieds sans que je hurle… je retire mon boxer. Mon glaive soupire, il peut enfin prendre sa dimension de compétition, je suis soulagé. Il ne perd pas de temps, il le lèche sur toute la longueur, sans oublier sous mes kiwis et dans le pli de l’aine. J’ai envie qu’il me prenne là, qu’il me fasse gémir de bonheur de plaisir… lui a décidé de prendre son temps. La chair de poule recouvre mon corps à l’écoute de son désir de mâle puissant.
Il se lève, j’apprécie sa masse corporelle, un ours velu, il retire son boxer, l’objet de mon désir se tend à l’horizontale, je tends la main, je n’arrive pas à en faire le tour, pourtant j’ai de grosses paluches, sa queue est hyper dure et douce à la fois. Mon bras est recouvert de précum dégoulinant.
Il prend appui sur le canapé et force ma bouche, son sexe est chaud, palpitant, je soulève ma tête pour le gober. Seulement un bon tiers tient dans ma gueule, mes lèvres sont écartées au maxi. Je le biberonne comme un affamé, il pousse des soupirs en fermant les yeux. Je me nourris de sa mouille abondante… ses beaux kiwis pendent vers moi comme une invite au gobage, ils dansent contre mon menton.
Positionné à cheval sur mon torse, ses poils irritant ma peau surexcitée, il baise ma bouche comme un bucheron.
Je tiens ses fesses velues, parfois je branle ce mât, parfois je saisie ses boules les tire violemment pour le faire gémir, il se venge en forçant ma glotte… ça ne passe pas de toutes les façons.
Je lui fais comprendre qu’il est temps de me féconder…
Il saute à côté de moi, allongé sur le dos, j’attends sa saillie… en bonne salope l’écarte mes jambes au maximum, luis enfile une grande capote, baigne son sabre avec du gel chauffant, avec deux doigts il enduit mon puits d’amour, je gémis, il a de gros doigts, il malmène mon trou, je feule de plaisir. Le grand, gros, énorme moment est arrivé.
J’en bande encore en vous le racontant…
Son gland glisse souvent avant de trouver l’entrée, cette recherche m’excite au plus haut point, je pousse avec mon ventre, j’ai trop envie de lui, soudain il trouve mon entrée, avec ses reins il appuie d’un coup sec, son gland entre en moi, j’ai le souffle coupé, puis je souffle comme une femelle qui accouche, il n’en n’a que faire, il s’enfonce en moi, sans pitié, j’hurle, dans la rue des mecs crient « oh la salope » je m’en fout grave de chez gravounet, il tient mes jambes à l’horizontale, ça tend mes muscles, ça rajoute du plaisir, je saisie ses fesses et l’attire vers moi. Comment a t’il fait ? Il est entièrement en moi, mes intestins remontent en moi, ma prostate est aplatie cette salope.
Il me baise par petits coups, il est toujours au fond de moi, comme un lapin, très rapidement, il me besogne. Sa sueur tombe sur ma bouche, je la lèche, ses dessous de bras refoulent une odeur forte qui m’enivre, je suis à lui, c’est mon fécondateur, le père de mes enfants…(mdr)
Il est totalement à l’horizontale, mes genoux touchent mes épaules, il me pilonne maintenant que mon colon est à son format, il se retire presque complètement et m’explose à chaque descente, ma queue va exploser, elle va exploser, ohhhhhhh je jouis sur mon visage, il lèche mon sperme, je sens qu’il remplit la capote. C’est un expert, il se retire doucement, pour ménager mon corps.
Il fait un nœud à la capote, une grosse boule de noël blanche, il tire sur sa queue et dépose les dernière gouttes sur mes lèvres, il m’embrasse fougueusement.
Il me couvre avec un plaid rouge, et disparait comme il est entré.
Je suis sur un nuage, j’aurais voulu qu’il reste, il est parti, j’ai mis son profil en favori… pourvu qu’il revienne…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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