Merci pour vos très nombreux courriels, j’en suis flatté, merci à Cyrillo pour sa confiance.
Cette histoire est vraie, j’avais loué une petite maison dans la banlieue de Marseille, il y a quelques années, pour trois mois de séjour… je revenais de faire des courses…Il est là, adossé au mur, ses vêtements sont déchirés, il vient de se battre, il a mis en fuite 3 mecs qui en voulaient à son iPhone.
Il est beau comme un dieu, sa chemisette Lacoste est déchirée, laissant apparaitre un torse velu et un pec droit hyper bien dessiné, un tout petit téton rose pointe.
Sa pommette gauche est rouge, il a quelques griffures sur les avant-bras très velus. Son short en toile est déchiré à la hanche, il donne une vision par l’échancrure d’un boxer bien rempli, sa lourde queue prend beaucoup de place.
Ses poings sont tuméfiés, celui qu’il a battu a dû ramasser, il a eu du mal à se relever, ses deux copains l’ont emmené et ils ont couru à perdre haleine.
Je vais vers lui :
Moi « vous allez bien monsieur ? Ils voulaient quoi ces salopards ? »
L’homme « ils voulaient me taxer mon iPhone ces crevards, je suis ceinture noire de karaté, il a ramassé le gars »
Moi « Vous êtes un peu blessé, j’habite à côté, venez on va nettoyer tout ça »
L’homme se décolle du mur, sa stature prend une autre dimension, il doit faire au moins 1m80, je dirai 80kg de muscles, des épaules de rugbyman, un petit cul affolant, des hanches étroites, et un paquet… je ne dis que ça.
L’homme « c’est gentil à vous, mais je ne veux pas vous déranger… »
Moi « nan nan venez il faut désinfecter ces petites plaies. »
Sa bouche dit non, mais ses yeux verts disent oui, ses cheveux noirs sont en bataille, ça lui donne un air voyou qui me fait craquer. Il entre chez moi, je défais sa chemise et son pantacourt, il a des bleus de partout. Je vais chercher du désinfectant, de la bétadine, et des petits pansements.
Il se laisse faire, il est posé sur la table de la cuisine, les bras en arrière, et se laisse nettoyer. Cette position met en valeur ses abdos et son torse hyper velu. Ses cuisses sont assez grosses et velues, en haut de ses cuisses, sa grosse queue est une barre horizontale qui me fait penser à un tube de dentifrice, il est vraiment très velu.
Il ne tient pas la position et s’allonge sur la table. De profil son bulge me fait bander illico, son ventre plat est tapissé de poils bien noirs. Il réajuste sa bite dans son boxer, il a une demie molle.
Je pars en live d’amour pour ce mec, et je lui fais des bisous sur ses bleus, il sourit, sa mère lui faisait pareil quand il était petit. Il met ses bras en arrière déployant son corps de mâle puissant, viril, sûr de lui.
Il s’abandonne, il sourit les yeux fermés, sa queue tend son boxer, je libère avec précaution la bête qui se colle aux poils de ses abdos, l’homme pousse un soupir de soulagement, le gland se décalotte, il est rose et luisant, beaucoup de veines sur sa bite, une grosse veine sur le dessus, plein d’autres veines qui vont dans tous les sens.
L’engin est massif, je dirais 23x7 cm. Un gros gourdin. Ses couilles se sont resserrées, hyper poilues. Je n’arrive pas à en faire le tour avec ma main, sa peau est douce, je le branle un peu, elle recouvre tout le gland.
L’homme s’installe sur la table, il est à ma portée, à la bonne hauteur. Je renifle toutes les parties de ce corps de mâle hyper puissant.
C’est derrière les couilles que son odeur est la plus forte, la sueur du combat mêlée à une odeur d’homme, sur son torse, entre les pecs, une odeur musquée d’un parfum à la mode, sa bouche est ouverte, elle exhale des vapeurs de menthol, sur ses aisselles, l’odeur de la sueur est bien présente, une autre odeur provoque en moi des frissons au plus profond de mon être.
Mais celle que je kiffe le plus sera celle du frein de son gland, un mélange de sueur, d’urine et de jus. Un coup de langue le fait sursauter, son goût est divin, quand je bise son gland il sursaute à nouveau, sa bite bat au rythme de son cœur.
Lui « suce moi mec stp, je n’en peux plus, suce moi… »
Je rentre sa queue direct dans ma gorge, il pousse un cri de bonheur, je déglutis pour accentuer sa sensation, son souffle est rauque, ses abdos se contractent en continue, il prend ma tête à deux mains et me maintien en fond de gorge. Je le suce sur toute la longueur pendant 5mn, il souffle fort, sa voix est rauque, il pousse un long grognement Il largue 5 jets de sperme dans ma gorge, je m’étouffe un peu, son goût est sucré, le jus est très épais, très visqueux, comme une pommade, il a jouit un peu trop rapidement à mon goût. Je me serais bien assis sur son zob jusqu’aux couilles pour me faire engrosser.
Lui « putain ma femme et ma maitresse ne savent pas sucer mec, scuze, je n’ai pas pu me retenir, tes soins, tes attouchements, tu as des doigts de fée, tes bisous, il fallait que je te féconde ma petite pute. Je ne t’encule pas, je n’embrasse pas, je préfère les meufs… »
Je pose une couverture sur lui, il s’endort. Je monte à l’étage me branler sur mon lit, quand je redescends il est partit, sans une parole, sans un merci, en piquant ma dernière pomme rouge… le salop.
Un mot sur le journal du jour écrit sur l’ardoise blanche de la cuisine : «je reviendrai me faire pépom ».
Si vous voulez une suite écrivez le moi.
Le virus est encore là, prenez soin de vous et de vos proches.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire…
Merci de laisser vos impressions.
LE7
Toutes les histoires de LE7