Mardi matin, 9 h la sonnette retentit. Je dois recevoir un colis mais je n’attendais pas cette livraison aussi tôt, à poil, j’enfile un short court de running et ouvre la porte torse nu à un magnifique rebeu souriant.
« Bonjour monsieur, pouvez-vous signer sur la tablette ? j’ai une petite enquête à vous faire remplir ça ne vous prendra pas longtemps ».
Un peu gêné je fais rentrer le bomec. Je me rends compte que j’ai une demie-molle et que mon sexe fait une lourde bosse dans mon short. Quand il passe devant moi pour entrer dans le couloir, le livreur laisse une légère odeur de mâle et d’une toute légère transpiration, d’où mon début d’érection. Il reste derrière moi, je choppe un stylo et me penche sur la commode de l’entrée pour cocher les cases du questionnaire. En bonne salope opportuniste, je mets un temps fou à remplir ces petites cases… je sens le souffle du mec qui s’accélère derrière moi et je sursaute un doigt vient de se poser entre mes fesses, son autre main se pose sur le devant de mon short et saisit mon sexe qui n’en demandait pas tant. Il m’embrasse dans le cou, cela m’électrise et baisse mon short d’un coup aux chevilles. Il me penche en avant sur la commode pour lécher divinement mon trou. Il écarte, à m’en faire mal, mes deux globes, et avec ses deux pouces écarte ma rosette.
Il dit « mmmmm t’es une bonne salope toi, j’ai envie de te mettre mon gros zob d’arabe ». Je m’entends répondre « oui oui oui vas-y ». Il me dit « ma femme m’a quitté il y a 3 semaines, mes couilles sont pleines, tu vas prendre cher ». Je me penche sur la commode à nouveau et écarte mes fesses en guise de soumission. Je ne me suis pas retourné, je n’ai pas touché son sexe mais quand il pose le gland sur ma rosette je réalise qu’il est énorme et que je vais être déchiré. Par chance mon sac à dos est là, je prends un tube de gel tartine mon cul et son zob. Je n’arrive pas à faire le tour avec ma main. Je me positionne, et j’allais lui dire doucement stp que je pousse un hurlement il m’a pénétré d’un coup comme font les Arabes. Je sens ses cuisses très poilues et ses couilles qui se posent sur les miennes. J’ai le souffle coupé et mon cul me fait un mal de chien. Mes jambes me lâchent, il me maintient par les hanches, je subis cet envahissement très viril.
Sa queue est dure comme l’acier et donne des soubresauts qui me font gémir. J’essaye de prendre le flacon de poppers, je me gaze 6 fois, lui aussi en prend. Mon cul se détend un peu lui donnant le signal du pilonnage de ma chatte. Ses lourdes couilles tapent mes cuisses, il crie des hans à chaque pénétration, moi je suis en extase, même mon chéri tbm ne m’a jamais enculé comme ça. La douleur est partie, sa baise exacerbe tout mon bas ventre, maintenant il ressort complètement sa queue pour me pénétrer encore plus violemment jusqu’aux couilles qu’il écrase contre moi. Je ne me touche pas sinon je vais cracher. J’attrape ses couilles, j’attrape ses cuisses pour qu’il me sodomise plus loin encore. Son énorme gland ravage mon colon, il est très endurant et semble ne pas vouloir s’arrêter. Mon anus est comme anesthésié par cette puissance, ses cuisses, ses fesses ses abdos sont autant de force pour me démonter. Maintenant en fin de pénétration il me prend par les épaules pour s’enfoncer plus loin signe que sa jouissance n’est pas loin. La mienne explose sans me prévenir, 3 petites éjaculations après la nuit d’amour avec mon homme, mais je provoque avec mes contractions la sienne.
Je le sens éjaculer je vous jure 10 fois dans mon cul ! Ce beau sperme apaise instantanément mon boyau mis à l’épreuve. Du sperme coule le long de mes cuisses, il le récupère et me le mets en bouche. Il sent fort. Il décule complètement dans un bruit indécent de muqueuses souillées, de floc de sperme. Je me retourne et avec frayeur mate son sexe. Au moins 25 cm et un diamètre de 8 cm. Je palpe mon anus qui a du mal à se refermer. Lui se rhabille rapidement et me dit « tu as kiffé hein sale pute ! » je souris péniblement en faisant oui. Il me dit « tiens, complète ton téléphone là. Je viendrai me vider régulièrement. »
Adossé à la commode je le vois prendre la feuille et claquer la porte. Des flots de sperme très odorant coulent sur mes jambes, ma queue fait pitié. Je m’allonge par terre directement sur son sperme, que je renifle, et je m’endors épuisé. Le froid me réveille je me mets debout grâce à la commode, j’ai du mal à marcher, je vais me faire couler un bain chaud. Son gros zob vraiment cassé ma chatte, mais je suis déjà en manque. Je suis tombé amoureux de ce rebeu, amant puissant viril. Je reçois un texto. « Merci de m’avoir vidé, je te dirai quand je reviens te baiser, peut être avec un pote monté comme moi. Bye petite salope. »
LE7
Toutes les histoires de LE7