Un échange lapidaire sur le site COCO et j’attends un soi-disant beau mec pour ma nuit. Moi Bastien, 30 ans, 178 70 brun poilu 17X5 versatile. Lui je ne sais pas, il se dit très bien monté aux c… pleines… rebeu très chaud.
« Euh quand j’arrive tu es à genoux derrière la porte d’entrée, à poil, la bouche ouverte pour mon zob, et tu ne me parles pas…
« OK ok… il fait pas chaud là, je peux mettre un pull ? »
« Tu fermes ta gueule et tu obéis salope ! À poil »
Je suis resté comme ça 45 mn à l’attendre, les genoux en compote, quand soudain, la porte s’ouvre sur deux rebeus en survêts Adidas. Ce sont des jumeaux, habillés pareil de pieds en cape ! Ils s’approchent de moi et me crachent tous les deux dans ma bouche en me demandant d’avaler… beurk je suis grave dégouté, ils se mettent côte à côte et frottent ma tête sur leurs bulges déjà bien enflés. Ils ont du matériel, je le sens bien, et tous les deux de même taille. Je dirais un bon 24x7… (oui j’ai toujours un mètre de couturière sur moi eh eh) je descends leur bas de survêt, je découvre des cuisses puissantes bien poilues et un boxer bien lourd barrés par deux grosses queues, orientées l’une à droite et l’autre à gauche, leur gland se touchent presque… je passe ma langue sur le boxer juste en bout de gland, mon expertise me permets de lécher les deux en même temps. Les deux bites battent… la mouille traverse le tissu pour venir me désaltérer… et m’exciter encore plus…
J’enlève leurs boxers, leur queues sont droites devant ma bouche, je les gobe en même temps, je ne pensais pas que ce soit possible.
« Venez les mecs dans ma chambre il fait plus chaud… »
Je reçois une grosse baffe, je me mets à chialer, il n’y est pas allé de main morte, je m’assois au sol.
« Écoutez les gars, je kiffe vos queues, mais pas la violence, si vous voulez partir je ne vous retiens pas, désolé ce n’est pas mon truc les coups, je m’offre à vous, faites ce que vous voulez, mais cool sans violence… sinon partez »
« Bon bon ok, nous on n’a pas baisé depuis 1 semaine, on veut te remplir… wesh »
Ils m’aident à me relever, et je les emmène dans ma chambre.
Voilà la suite la semaine prochaine… nan je rigole…
Ils s’allongent contre moi, leur queues reposent sur moi, je les saisis, deux gros membres palpitants, je les branle en même temps, ils me caressent par effleurement, j’adore ça et mon corps tendu comme un arc répond à leur touchers. Ils ne touchent pas mon sexe, ils l’évitent soigneusement. Leurs deux mains fonctionnent en miroir, elles se dirigent vers le haut de mes cuisses et titillent mon anus. Leurs doigts sont fins et tripotent mon trou. Pour faciliter je leur file du gel. Leurs pénétrations sont délicieuses. Ils écartent de concert mon anus, en prévision d’une visite plus importante… je retrouve mon excitation, leurs muscles sont noueux, leur odeur est forte, la transpiration est présente. Leurs odeurs d’homme me font tourner la tête. J’ai envie de plus de plaisir.
J’enjambe le rebeu de droite et fiche son zob sur mon trou. Son frère met du gel, je sens que je vais déguster… je respire un grand coup, je pousse et m’assoie sur sa queue. Elle me traverse le corps en me faisant hurler. Elle me dilate à fond, elle va explorer des contrées vierges de bite… je sens bien ses couilles velues signe qu’il est au fond de moi. Je me soulève un peu, il se met à me pilonner sans pitié, son frère me biffle en m’insultant
« Sale pédé céfran, tu l’aime le zob de mon frère hein, salope ! »
Puis sans prévenir, il s’agenouille derrière moi et tente d’enfiler son zob avec celui de son frère… je me débats, mais son frère me maintient fermement sur lui, d’un grand coup de rein, il m’enfonce sa grosse queue, je pousse un hurlement de douleur, mais il n’en n’a rien à foutre. Il s’enfonce à fond en moi. Atrocement déformé, je gémis comme une salope bien dominée… je ne sens plus mon cul, je ne suis jouissance de ce côté-là, en plus ils vont tous les deux au fond de ma chatte, leurs couilles frottent les miennes, leurs jambes sont belles, leur souffle est viril, on ne fait qu’un. Ma queue est collée à mon ventre, elle est branlée par celui du dessous, je ne suis que plaisir, je me laisse aller, je lâche prise, j’essaye d’embrasser celui du dessous, mais il évite ma bouche, alors je pose mon menton sur son épaule, je me laisse partir.
Avec un hurlement de loup, je jouis de tous les côtés, du cul de ma queue, de ma peau qui devient ultra sensible, leurs deux zobs livrent leur marchandise bien chaude et bien visqueuses. J’encaisse des jets et des jets de sperme arabe puissant. Eux crient leur orgasme.
« Tiens sale femelle, on t’a fécondée petite pute, prend ça, prend ça… c’est sûr tu es enceinte salope »
On se sépare, on se retrouve allongés comme au début, du sperme coule de mon cul, je me mets sur le côté, je colle celui de devant, tandis que mon amant de derrière m’impose son chibre entre le haut de mes cuisses. C’est mortel, je suis leur chose, leur vide couille. Je saisis la grosse bite de celui de devant et m’endors comme ça.
Ils sont partis pendant la nuit, ils m’ont recouvert de la couette. Finalement ils ne sont pas si méchants ces jumeaux.
Dans la vie protégez vous les petits gars, la vie est trop belle.
LE7
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