Plus jeune j’ai travaillé dans un restaurant Taï. Le patron, cuisinier, et moi serveur avions des rapports toujours tendus. Il me gardait car je bossais bien, toujours aimable avec le client. En fait je pense que c’est sa copine qui ne m’aimait pas. Petit pimbêche au cul bien rebondi et aux seins trop petits rehaussés par un soutien-gorge rembourré. Elle m’avait bien calculé, elle avait senti en moi la salope en mal de bite. Je conservais un comportement professionnel, respectueux sans jamais un geste déplacé. Habillé d’un jean 501, d’un teeshirt mode et de shoes Air Max. Je lavais mes vêtements le soir pour être impeccable au restaurant. Pas de parfum, juste l’odeur du propre, du savon.
Lui est un pur beaumec ! Un mec bien proportionné, musclé par des années de karaté et de handball. Son travail l’avait éloigné de ces sports exigeants, il avait cependant conservé une allure élancée, un ventre plat, un petit cul bien tenu par un jean moulant. Ses bras bien virils parcourus de grosses veines et d’une fourrure bien noire. J’étais fasciné par ses larges mains aux longs doigts.
Son tablier faisait une grosse bosse là où vous savez, à chaque fois qu’on fermait le restaurant, il retirait son tablier devant sa copine, le gros cul de la pétasse devait réveiller la bête, grâce au traditionnel bisou sur les lèvres, on distinguait nettement le réveil d’une grosse bite orientée vers le bas, reprenant sa liberté en perspective d’une nuit chaude. Je rentrais chez moi vers 23h, seul, croisant d’autres gens pressés. C’était une période de vaches maigres. Il n’y avait pas encore Grindr, Coco et autres applis. J’avais bien un portable avec un petit forfait modeste.
Je recevais un « régulier » marié à une greluche plus du tout attirée par le sexe. Mon mec était en manque régulièrement, à l’heure tardive à laquelle je rentrais chez moi, difficile pour lui de justifier une absence. Sauf le mardi ou le jeudi, jour d’entrainement de handball, il passait en coup de vent pour un coup « d’hygiène » disait-il. Souvent c’était bestial, contre un mur, sans préparation ni capote. Sa queue très longue fouraillait en moi et livrait sa cargaison en 5mn. Une grosse cargaison qui dégoulinait à son départ le long de mes jambes. En reconnaissance il m’apportait des provisions de son épicerie fine ou pour ma fête mon anniversaire lâchait quelques gros billets. Ça ne faisait pas de moi une pute, juste un service rendu à ce mâle, sec, assez musclé qui ne prenait pas sa douche après l’entrainement et dont les effluves viriles m’enivraient. Je sentais ses muscles bander dans l’effort, sa sueur me rendait dingue, j’aurais rêvé qu’il reste avec moi, qu’il me baise toute une nuit… il était marié, c’était compliqué comme on dit.
Tout a basculé avec mon patron un vendredi. Tous les matins, depuis 1 mois, sa gonzesse ne cessait de l’insulter au téléphone rendant difficile un service au client, devant ses trois woks il grommelait à voix basse. Il était devenu courtois avec moi, sa rudesse avait disparue. Je lui avais montré comment bloquer le numéro de sa pétasse, aujourd’hui, il semblait anéanti, après le service de midi, vers 15h, il tira la grille, il m’invita à boire un café et me reposer chez lui, dans l’appartement au-dessus du restaurant. J’avais l’habitude de rentrer chez moi à quelques rues de là, pour 3 heures de pause.
Je découvre un joli appartement bien agencé, bien rangé par mon patron méticuleux et ordonné.
Lui « Bastien, je te sers quoi, un jus de fruit, un café filtre ? »
Moi « Je veux bien un jus de fruit… »
Il posa sur la table basse un grand verre de jus d’ananas. Et il se confia à moi :
Lui « Je n’ai plus personne à qui parler, tu as l’air sympa quand même, quoiqu’en dise cette salope de LAETITIA. J’ai rompu avec elle depuis un mois, elle m’a éloigné de ma famille, de mon meilleur pote. C’était une nympho hystérique. Elle te critiquait tout le temps alors que tu es irréprochable. Depuis que tu es là, mon chiffre d’affaire a augmenté, les clients t’apprécient, d’ailleurs je vais t’augmenter à compter de ce mois-ci. »
Moi « merci patron, c’est sympa. »
Lui « je ne devrais pas aborder ce sujet, no zob in job… mais voilà…tu as une copine, un copain, tu es gay n’est-ce pas… tu as flashé sur moi, mon ex me le disait, cette salope… du coup je me demandais si tu voulais bien me soulager, je n’en peux plus je vais craquer… je ne me branle jamais, je n’aime pas ça… tu veux bien t’occuper de ton patron ? je te le demande en service »
Mon silence surpris et troublé, signe de mon acceptation, l’encourageait.
Il s’approche de moi, et dépose un bisou sur ma joue. J’ai un mouvement de recul, la grosse barre de son pantalon ne cache rien de ses intentions. Ce mec sublime fait tomber toutes mes barrières et mes principes, je m’abandonne à sa bouche gourmande. Sa langue ferraille avec la mienne, elle a un bon goût de mec, ses avants bras velus me basculent contre lui. Je cède. Il glisse sa main dans mon pantalon, et essaye d’atteindre ma petite fleur avide de sexe.
Ma queue plus modeste tend mon futal, je le retire, ainsi que mon slip, lui aussi se dénude, nos deux queues claquent nos ventres. On est nus maintenant. Je mate ce beau mec, sexy à souhait, musclé, 35 années d’efforts et de sport ont sculpté cette masse virile très poilue. Une fine toison recouvre son torse, ses tétons sont cachés dans une broussaille virile, elle descend vers son sexe imposant, tendu. Il n’est pas super long environ 15 cm, hyper large, comme un rouleau à pâtisserie. Elle devait bien couiner sa pétasse.
Il me couvre de baisers, il dépose des gouttes d’huile de massage sur mon sillon fessier et commence à travailler ma rosette… cette douceur cette habileté, me fait du bien. Je me détends et m’ouvre au maximum. Faut dire que la veille mon régulier m’avait bien défoncé… j’étais un peu irrité… mdr
Il reprend possession de ma bouche et s’empare de mes couilles qu’il malaxe gentiment, ma mouille enduit sa grosse paluche, je me penche et gobe son gland énorme, il me remplit toute la gueule, ce mec est monté comme un âne, il pousse un cri de bonheur, il attrape ma tête et guide ma succion. Il est divinement délicat, il impose sa loi avec tact. Son corps sent la sauce sucrée salée des plats Taï et celle du riz cuit.
Lui « Ouiiii Bastien, ne met pas les dents stp, oui c’est ça, ah tu me fais du bien, tu es exceptionnel, fais bien ta gourmande… ahhhh j’adore… »
Je le branle en même temps, il se raidit et m’envoie en pleine figure 8 jets puissants de sperme, j’en avale 5, les autres maculent mes cheveux et mes yeux.
Lui « Putain c’est bon ça fait si longtemps, l’autre elle n’arrivait pas à me sucer, tu es mon dieu… Whaaa » il ne débande pas une seconde…
Moi « Baise moi stp, baise moi »
En bonne lope, je me pose sur le canapé sur le dos, mon cul en l’air, j’écarte mon cul avec les mains. Je dévoile mon trou, sa langue s’engouffre dedans, je kiffe de ouf ses coups de langue, sa barbe accentue le plaisir, je bande au maxi, sa queue palpite, elle est prête à exploser, son gland est rouge vif, ses veines sont gonflées, lui aussi est cramoisi d’excitation.
Il chausse une capote, il a du mal à rentrer son gros sexe en moi, malgré le gel et le poppers qu’il me fait sniffer… je pousse de toute mes forces, on gémit tous les deux, lui parce qu’il a franchi le premier sphincter et moi cause que je suis dilaté à donf… il se retire et rentre à nouveau sa grosse queue, je saisie ses fesses et l’attire en moi, sa poutre dilate atrocement mon colon, je suis rempli comme jamais. Il ajoute du gel chauffant. Je pousse en bonne salope, il prend son élan et me colle tout son membre… mes yeux se révulsent, je le serre dans mes bras, je lui donne tout. Ses grosses couilles s’écrasent contre moi, ses poils me font frissonner.
Moi « Vas-y mec baise moi comme un chien »
Il ne lui en faut pas plus, sans se préoccuper de moi, il me défonce sans pitié, la douleur disparait, j’adore ce coulissement de piston énorme en moi. Sa queue est énorme dure comme du béton, il a des heures de baise à récupérer, sa baise est bestiale, très virile, très mâle, comme un bucheron…
Lui «quand je pense que cette salope n’a jamais voulu que je l’encule, comme c’est bon avec toi Bastien » me crie t’il essoufflé, ses couilles claquent et rajoute à mon plaisir…
Je jouis le premier serrant sa queue comme le peut mon anneau, je n’ai jamais autant craché, même avec mon régulier. Je le regarde avec amour se déchainer en moi, les muscles de ses bras, ses abdos, ses cuisses sont magnifiques, je gratte l’intérieur de ses cuisses, (sachez-le les gars ça déclenche la jouissance), lui se retire, enlève la capote et m’asperge de son jus très épais. J’en ai partout, il mélange nos deux jus très odorants… je suis comblé. On s’allonge tous les deux.
Il n’ouvrira le restaurant qu’à 18h30. Il ne cessera pas de me remercier, son visage est détendu, il a les traits tirés comme moi, il en avait besoin, on prépare la vingtaine de commandes à deux, pas un seul geste équivoque au restaurant, seulement des regards amoureux. Pendant le coup de feu du dîner, il s’autorisera que de poser sa main sur ma taille quand il passe à côté de moi, je suis resté chez lui toute la semaine, on a baisé comme des malades.
J’étais très heureux, son copain l’a trouvé changé en bien.
Lui « Oui je crois avoir trouvé le bonheur… tu n‘imagines même pas… »
Le copain « Je devine, à voir comment te regarde Bastien, ça doit te changer de l’autre conne ! Ne t’inquiètes pas, ça ne me gêne pas poto, du moment que tu es heureux, je suis heureux. Tu es mon meilleur ami et ça ne changera jamais… » Dit-il avec une belle accolade virile.
J’ai failli courir lui faire une bise, je n’ai rien fait, juste du rose aux joues. Son copain karateka aussi est un peu plus balaise que mon nouveau chéri. Il est imberbe, ses muscles sont luisants de beauté, son…
Je reçois beaucoup de messages pour mes histoires, j’imagine des hectolitres de jus… mdr. Si vous souhaitez une suite… écrivez moi amis lecteurs…
Prenez soin de vous, dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com
LE7
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