Je dois me rendre à Marseille, je pars de Tournon sur Rhône, je décide prendre l’A7. Il fait une grosse chaleur, la climatisation fonctionne mal dans la voiture, à fond Shaka Ponk aussi. J’arrive au péage d’entrée, un beau petit gars torse nu en short, très poilu, tient une pancarte Marseille. Je me dis pourquoi pas, c’est moins pénible la route à deux, on pourra discuter. Mon petit démon dans ma tête me dit « tu ne perds pas le nord toi ». Effectivement l’autostoppeur doit avoir la vingtaine, il est assez musclé, très sec, un torse bien poilu, d’un poil blond assez dru, des jambes épaisses, un bulge qui m’intrigue. « c’est très gentil à vous monsieur, ça ne vous dérange pas si je reste comme ça il fait trop chaud » Tu parles j’en suis ravi, il pose son sac à dos sur la banquette arrière, et s’installe à l’avant. Je kiffe ses biceps bien veinés comme j’aime. Ses avant-bras sont très virils, ses poignets sont larges. On engage la conversation sur la météo, le foot et l’actualité. Il y a du monde sur la route, je fais attention à ma conduite, mais je ne peux pas m’empêcher de mater ses cuisses et son entrejambe. Elles sont puissantes, je résiste à poser ma main droite dessus comme je le fais avec mon copain. Son paquet fait une bosse importante, on distingue nettement son membre sur la gauche. J’avale ma salive. Mais pourquoi je me mets dans l’embarras comme ça tout seul. Je respire un grand coup et continue sur l’Olympique de Marseille… on est d’accord sur le sujet.
J’ai baissé le son de la radio, mon invité s’est endormi, la tête posée sur la portière. Du coup je peux mieux l’observer. Il est magnifique. Il est bien bâti, surement assez sportif. Son ventre est bien plat. Son short est un peu descendu, je vois nettement son pubis sur une peau très claire. Il ne doit pas bronzer à poil ce petit mec. Finalement je me sens bien, ce passager est beau, bien fait, agréable à regarder. Je bascule doucement son dossier vers l’arrière sans le réveiller, instinctivement il étend ses jambes. Son paquet ressort encore plus. Il m’arrive, quand je passe les vitesses, de frôler sa cuisse poilue, je n’ai jamais autant aimé la 6ème vitesse de ma vie. Ses poils sont durs et m’électrisent à chaque fois.
« alors je te plais ? » cette réflexion me sort de mes pensées. « euh quoi comment ? » « ben oui tu n’arrêtes pas de me mater depuis que je suis là » « euh, non pas du tout » ce petit effronté prend ma main droite et la pose sur son paquet directement. Je sens son sexe gonfler immédiatement et pointer vers le haut sur la gauche. Je prends un coup de chaleur violent. À 45 ans, daddy de compète, avoir des avances d’un jeune mâle n’est pas si courant. Je ne dis rien, mais ma respiration trahie mon émoi, et dans mon short popaul se réveille, je dois d’ailleurs réajuster l’organisation de mon boxer. À travers son short je caresse son gland qui a l’air énorme. Il a fermé les yeux, ouvert la bouche et gémis tout doucement. Je me rends compte de la dangerosité de la situation, ma conduite prudente, ces attouchements la mettent à mal. Un camion que j’ai dépassé me fait des appels de phares. Je vois le chauffeur qui est hilare.
Je me fais plaise et je le caresse du haut en bas, sa toison soyeuse est excitante, ses cuisses bombées sont magnifiques. Tiens une aire de repos, sans hésiter, j’y rentre et cherche une place à l’écart des gens, il y a beaucoup de monde. L’aire réservée aux poids lourds est parfaite. Peu de camions. On s’arrête, il retire sa ceinture et descend son short, sa queue bondit et se colle sur ses abdos, ah les jeunes ! « fais-toi plaisir papa, vide mes couilles, elles sont trop pleines » je le trouve insolent, mais dans un gémissement je me penche, je peine à gober son gland. Son organe sent le propre, ses couilles sont un peu plus odorantes, un peu en sueur et très poilues. Il pose ses mains sur ma tête et tente une gorge profonde, je le prends au fond de mon gosier et avale pour lui faire découvrir de nouvelles sensations. Il gémit en m’encourageant « ouais, vas-y papa, je kiffe ça grave, vas-y pompe mon dard. Ma copine elle n’aime pas sucer. » Son gourdin est dur comme la pierre, son souffle est rauque, un mâle alpha qui prend son pied et moi j’adore faire plaisir. Ma main gauche masse ses couilles très serrées « tu vas me faire jouir mec » il finit juste sa phrase, 5 jets tapissent mon palais, « ouiiiii salope tu sais faire toi, comme c’est bon putain ! » j’avale le tout et lui nettoie son sexe. Il me regarde les yeux embués de reconnaissance. Il m’avoue qu’il ne se branle jamais, même en l’absence de sa meuf. Sa queue n’a pas débandé. Il descend mon dossier également, on est au même niveau. « mets-toi au milieu, je vais te ken » je sors de la boite à gants poppers, gel et capotes. Je me pose au milieu, il descend mon short, se chausse d’une capote XXL, enfonce le tube de gel sur mon anus et injecte du gel, je refuse le poppers. Je regarde inquiet autour de nous, personne. Il me demande de pousser (tiens un expert) et me pénètre d’un coup. Je hurle, j’ai l’impression d’être éventré. Il a retiré ma chemise, s’est couché sur moi et me frotte avec son torse velu.
Après avoir attendu un peu que ma douleur se calme, il me donne des petits coups de queue, puis amplifie la pénétration. Ce mec-là est un dieu. Je tombe amoureux de sa force, de son coup de reins, de son souffle dans mon cou, de ses mots doux. Il me tient par les épaules ce qui fait qu’il va très loin et maltraite mon colon et ma prostate. J’ai eu déjà deux mini jouissances qui ont bien serrés sa bite, il cogne bien plus fort, son souffle est très viril, je sens tous ses muscles bien durs, deux coups plus puissants et il se vide dans la capote. Moi j’ai juté sur le frein à main. Mort de rire. On reste comme ça collés, lui dans moi, sa queue ne débande toujours pas, elle ramollit un tout petit peu. Il tourne ma tête et prend possession de ma bouche, même si je refuse tout le temps ce contact, là soumis je l’embrasse comme un ado de 15 ans. Il me dit « merci, tu m’as vraiment fait du bien, ça fait deux semaines que je n’ai pas baisé. J’étais directeur d’un camp de vacances, je voulais être très sérieux. »
Il se retire et je retire la capote qui est bien remplie, il y a bien un quart de verre de jus. « oh ben dis donc ! » « oui je gicle toujours beaucoup », on est tous les deux en pleine forme, on se réajuste, remonte les dossiers. Il m’invite à déjeuner à la cafétéria de la station. Il est charmant et charmeur, il a beaucoup d’aisance et de culture. Je l’ai déposé au pied de son immeuble dans le centre de Marseille. On a échangé nos 06, je l’ai quitté non sans mal, mais ainsi va la vie.
LE7
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