Majeur depuis deux mois, je décidais de franchir le pas et de m’offrir à un pote qui reluquait toujours mon cul. Il m’avait dit les yeux lubriques « quand tu es prêt tu me dis et je te démonterai »
Plus jeune on s’enfermait dans sa chambre, tous nus, je me couchais sur lui, sa grosse teub frottait la mienne, il est assez poilu, ça me rendait dingue de son corps. On jutait comme ça, juste au contact. Il avait un an de plus, il était déjà bien formé, une barbe bien noire, un torse velu, des jambes noires de poils, c’était un italien à la voix rauque, j’adorais quand je sentais que j’allais cracher, je me soulevais et envoyais plusieurs jets sur son visage, lui éjaculait lentement de puissants jets de sperme épais, assez odorants.
Il venait d’emménager dans un deux pièces, modeste, une table, 2 chaises, un clic-clac, avec l’électroménager qui allait bien.
Il est baraqué, piscine, tennis et rugby ont sculpté son corps d’homme, ses veines sont apparentes partout, il est bien sec, même sur sa queue qu’il a épaisse, un bon 10 cm au repos, large, posé sur deux boules grosses comme des kiwis poilus. On ne lui cherche pas des noises, il est plutôt impressionnant, il impose le respect, j’adore quand il est en chemisette blanche, découvrant ses avant-bras musclés et poilus, il est brun comme un italien du sud, un mâle, une machine à fantasmes.
Je suis moins baraqué que lui, bien que le foot et le tennis m’aient construit un corps bien équilibré, je n’ai des poils que dessous le nombril et sur mes jambes. Mon outil est plus modeste, 8cm au repos assez fin, de grosses couilles, à l’époque je me masturbais plusieurs fois par jour, sans me satisfaire vraiment. Des fois dans le bus qui m’amenait en centre-ville pour aller au ciné, les secousses de ce vieux tacot me faisaient bander, les pantalons serrés de l’époque n’aidaient pas pour la discrétion, j’étais fier de ma virilité et je me foutais du regard réprobateur des autres.
Mes copains me branchaient souvent, 18cm qui barrent une braguette attirent les filles, des femmes, les gars, voire des vieux vicieux, mais je ne suis jamais laissé faire par ces vieux.
On avait décidé que ce serait un samedi soir chez lui, je devais apporter une bouteille de whisky, avec du coca, lui s’occupait de la bouffe. J’avais piqué la vaseline dans la table de nuit de mes parents, la veille j’ai eu du mal à m’endormir, ma queue bandait à me faire mal, j’ai pris plusieurs douches d’eau froide pour me calmer, sans grands résultats, je ne m’étais pas branlé.
Quand je frappe à sa porte, j’ai le cœur qui s’envole, le sang bat à mes tempes. Lui ouvre tout sourire, il est en short satin noir, torse nu, il dégage une force virile impressionnante. Il rigole de me voir ému, ses abdos se dessinent trop bien quand il s’esclaffe. Il n’a pas mis de slip, sa grosse bite bouge derrière le mince tissu en satin.
J’ai l’impression d’aller à l’abattoir, il me prend par la main gentiment et me mène directement sur son lit. Il me parle doucement, sa queue est en érection totale, c’est un gros gourdin qui veut sortir de son short. Je commence à paniquer, ça ne passera jamais…
Il me déshabille, et m’allonge sur le ventre.
Il écarte doucement mes fesses et lèche mon cul, cela provoque des milliers de sensations magnifiques, sa langue est grosse, comme une petite queue, elle s’enfonce en moi, je gémis à en pleurer, j’ai envie de me donner à lui. Il écarte mes fesses avec force maintenant, sa barbe chatouille la peau douce de mon cul, il lape mon trou du cul, sa feuille de rose est délicieuse, il grogne de plaisir, il ose un gros doigt, il prépare mon trou avec force et douceur. Il ouvre le tube de vaseline et masse mon anus avec, il tente deux doigts, ça rentre trop bien, il touche ma prostate, ça me fait des décharges dans mon ventre, instinctivement je soulève mon cul, j’appelle sa bite.
Il me met sur le côté, je touche son immense queue, son gland est trempé, je la sens vivre dans ma main, elle est brûlante, elle va me dilater, j’ai peur maintenant.
Il se colle à moi, tourne ma tête vers lui et m’embrasse, je m’abandonne, c’est moi qui positionne son gland contre mon anus, il me caresse, il me serre contre lui. Je lui dis entre deux galoches « viens en moi, baise moi ».
Il donne plusieurs coups de reins, il agrandit mon trou, son gros gland finit par passer, je crie fort la douleur est atroce, il me reprend la bouche et ressort : « ça y est mon chéri, tu n’es plus puceau, tu veux que je continue ? » Sur une autre planète et dans un râle je lui dis « vas-y baise moi montre moi qui est l’homme »
Il donne un coup de rein plus puissant, son gland entre sans me faire mal, j’essaye de reculer sur sa bite, ça me fait mal, mais j’en ai trop envie, ses bras m’enlacent, sa langue est dans ma bouche, il donne le coup de grâce et m’encule à fond, mes cris sont étouffés par sa grosse langue, je sens ses couilles contre mes fesses, je n’ai jamais ressenti cette sensation de pénétration, de possession, sa queue pousse mes intestins, comme vous le savez tous, et puis la douleur disparait.
Il se met à ressortir complètement sa bite pour la rentrer plus fort encore, j’ai rejeté ma tête en arrière, je suis sa lope, sa chose, sa chatte il me baise sans retenue, mon cul fait un « chloup » quand il ressort. Lui transpire, ses poils chatouillent mon corps, son souffle rauque d’homme me rend dingue, il ahane comme un bucheron, comme un mâle qui prend son pied, moi je suis abandonné à sa force, sa puissance, j’essaye de serrer mes sphincters, il gémit de bonheur « Bastien je vais venir mec » je sens sa queue grossir en moi encore, m’arrachant des cris de bonheur, ma bite expulse son jus, serrant sa queue, il hurle de plaisir. On a jouit de concert.
On est en nage, mon corps glisse contre le sien, sa queue en pleine érection est en moi, il ne débande pas, il me serre contre lui « Bastien je t’aime… ». Je ferme les yeux dans ses bras et je m’assoupis apaisé, défloré, par un homme qui a pris le temps, attentif à mes sensations et mes désirs.
Incroyable, sa queue est toujours en moi, je la touche elle est dure, il me bascule sur lui, elle ne sort pas, il me pousse pour que je sois assis sur lui, il me soulève un peu et me baise comme ça, son jus coule sur ses couilles, je prends un pied immense, je l’accompagne dans cette baise, je me soulève au maximum de sa queue et me laisse tomber, la pénétration est profonde, elle déclenche d’autres sensations inédites, je crie à chaque fois, ma queue complètement flasque bat la musique.
Je masse ses couilles visqueuses, une odeur de sperme, de sexe, de sueur est dans la chambre, je suis comme en transe, lui me met en levrette, il me défonce, il me démonte, ma tête est posée sur le lit, sur mon propre sperme, il cogne fort contre mon cul, il choppe mes mains pour que je ne puisse pas m’échapper.
Il décule d’un coup, sa bite est devant mon visage, il ouvre ma bouche et lâche sa semence jusqu’au fond de ma gorge dans un cri de bête, impressionnant « avale salope, avale ma chérie, bois le jus de ton mec » les 5 jets sont acres, épais. Je lui ai tout donné, mon cul qui a du mal se refermer, ma bouche qui boit son sperme de mâle endurant. Sa bite ramollit légèrement, elle est impressionnante comme ça, un très gros boudin. Je dépose un bisou sur le méat, léchant le reste de jus. Il a les yeux cernés, comme moi d’ailleurs.
On s’écroule, on se couvre.
Voilà comment j’ai perdu ma virginité, j’avais 18 ans et lui 19, on a souvent baisé ensemble, il était seulement actif, moi bi, je n’ai jamais ressenti de telles sensations avec d’autres, lui pour une première fois m’avait fait l’amour comme un dieu, sans me faire mal. C’était un homme un vrai, indulgent, compréhensif. Si vous êtes dans sa situation, aimez votre partenaire, partagez votre plaisir, ne soyez pas brutal. C’est lui qui m’a fait aimer les hommes.
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LE7
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