L’aire de repos de Matran en Suisse, sur l’autoroute de rentrée en France, grouille de mâles en mal de sexe. C’est un cruising permanent de mecs de tous les âges, même des pères de famille, mariés avec le siège bébé à l’arrière de la voiture. C’est une soupape pour la plupart d’entre eux, tirer un coup vite fait, puis rejoindre bobonne comme si de rien n’était.
J’ai découvert ce lieu de drague par hasard, persuadé naïvement qu’en Suisse, chantre de la propreté ça ne pouvait pas exister en oubliant que les hommes sont partout pareils, la chair est faible. Les plaques des voitures sont de toutes les nationalités avec des hommes seuls ou même des familles entières sont garées, des hommes seuls font des kilomètres à la recherche de leur bonheur, des femmes aussi d’ailleurs, beaucoup de buissons s’agitent, des cris étouffés voire des mini hurlements d’un sphincter explosé, des toux d’un jus qui est passé de travers, d’une double vraiment ravageuse.
Le lieu n’est pas très propre, toutes sortes de déchets, beaucoup de mouchoirs, de capotes usagées, parfois incrustées dans la terre, des flacons de poppers, des tubes de gels… faut dire que les poubelles débordent, et que le ménage n’y est pas fait régulièrement, ça aussi ce fut une déception nuisant à la réputation de nos amis helvètes.
J’étais pour ma part seul dans mon véhicule, un mec n’arrête pas de me tourner autour… il jette un œil discret sur mon entrejambe, et pousse des soupirs d’extase et de calcul de plaisir. Il doit avoir la trentaine, son jean développe un beau bulge, il porte vers le bas, d’un bon calibre, sa ceinture large retient ce pantalon sur une taille assez mince, sa chemise courte suit les contours d’un torse en V.
Je sors de la voiture, j’ai en poche une capote et un sachet de gel. Je m’enfonce dans la forêt, le gars me suit à distance. Il bande comme un taureau, une énorme barre déforme son jean, il veut baiser c’est sûr, il est là pour ça moi aussi, je veux juste trouver un coin propre et plutôt à l’écart des voyeurs, et des familles.
J’ai dû parcourir au moins 200m, les arbres sont assez rapprochés, il y a une mini clairière de 2M carrés qui me convient. Je m’appuie face à un gros arbre, je le sens il est derrière. Son parfum de grande marque m’enivre. Il embrasse mon cou, il est plus grand que moi, il lèche l’intérieur de mon oreille, ça me fait frissonner. Il tâte mon cul, il m’enlace et colle son bassin pour que je sente son désir. En bonne salope je me cambre, sa queue m’appelle. J’en ai envie, il donne des coups de bassin en échauffement de ce que sera sa baise.
Il défait son gros ceinturon, baisse son jean et son caleçon aux chevilles. J’adore sentir un mec nu contre mes habits. Sa queue bat contre mon pantalon, il défait avec dextérité mon pantalon, il met à nu mon boule, sa queue se colle de suite dans mon sillon fessier. Je tâte l’engin que me parait très énorme. Sa queue est chaude, elle dégouline. Je lui passe la capote, déchire le sachet de gel et me tartine le lieu du crime. Il sort de sa poche un tube de gel, et un flacon de poppers, il me gaze deux fois par narine. J’ai une énorme bouffée de chaleur, il positionne son gland et pousse. Je fais la grimace, elle est vraiment grosse. Je pousse, il franchit mes barrières, je gémis, il s’accroche à mes épaules et me met tout. Ses couilles sont collées à moi, il n’attend pas que je m’habitue et commence sa baise effrénée.
Le gars est puissant, sa queue me dilate au maximum, je prends mon pied, ses 20cm me comblent, il est assez essoufflé, je me libère contre l’arbre, c’est un orgasme violent accentué par les vas et vient de mon beau mec.
Mon beau gars s’enfonce de plus en plus loin et de plus en plus fort, il me serre de toutes ses forces, il ne veut pas que je lui échappe en ce moment crucial, il arrête ses coups de boutoir au fond de mes intestins, je sens sa jouissance, je l’entends aussi, il grogne comme un ours, il remplit la capote en criant, trois voyeurs s’en vont.
Il se retire délicatement, sa queue est grandiose, elle tombe lourdement, elle dépasse la moitié de ses cuisses, je retire la capote, fait un nœud, il la récupère dans sa poche. Il a les traits tirés, son visage est apaisé.
Lui « Danke, see you soon, bye »
Ce seront les seules paroles échangées, de la baise à l’état brute. J’ai son odeur sur moi, un musc très viril, une odeur qu’on n’oublie pas. Mon colon garde son empreinte, son passage. J’en aurais bien voulu plus. On se rhabille silencieusement. Des mecs rodent, encore et encore. Je rejoins ma voiture, il y a deux sièges auto dans la sienne…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
LE7
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