Premier épisode
Quelques jours après mon bel installateur m’appelle, il est déjà 21h :
« Wesh Bastien, je les ai trop pleines, je peux passer ce soir, assez tard vers 23h, je sais que demain tu ne bosses pas »
« Salut Damien, oui pas de blèmes… j’ai très envie moi aussi, je veux que tu me doses grave»
« Tu laisses la porte fenêtre ouverte, je viendrai me glisser dans ton lit…, au fait, je ne viendrai pas seul, mon pote Djibril veut faire ta connaissance, il n’a pas niqué depuis un mois ! Tu vas prendre cher»
Ce soir, je vais franchir un nouveau palier : deux mecs TBM dans mon lit…si mon ex me voyait, je n’ai jamais fait ça… en plus avec un rebeu en mode survie, ils ont la réputation d’être très bien montés… je fantasme grave. Je me douche soigneusement, sur la table de chevet je dispose : poppers puissant, kpot XXL, gel et le l’énorme gode flambant neuf noir avec de grosses veines apparentes…
Il fait très chaud en ce mois de mai, j’ai pris un bon bain à bulle qui m’a détendu, j’avais très envie de revoir Damien et sa grosse teub, mais comment est Djibril ? J’étais un peu inquiet. Baisaient t’il ensemble, Djibril est-il actif, versa ? Les bulles s’arrêtent automatiquement au bout d’un moment, je sors du jacuzzi et fonce à la salle de bain, je prends une douche très chaude, interne et externe. Je me trouve pas mal, je ne me touche pas la queue, elle est en érection totale, le tuyau de la douche dans mon cul a vidé des choses que je ne décrirai pas ici, ça ne va pas ! Non n’insistez pas ! Mdr … je suis propre, mes intentions le sont moins.
Je dîne léger, deux tartines de Nutella, un verre de jus d’orange, il est 22h je vais me coucher, la porte fenêtre est entre-ouverte, je m’allonge directement sur le drap du lit, nu comme au premier jour. Ma queue s’est calmée, je m’endors sur le côté…
Il est minuit et demi, j’entends des chuchotements dans la cuisine, ma queue refait surface la salope, je fais semblant de dormir. Je sais que je vais prendre cher. Une forte odeur de whisky et de rhum envahit ma chambre, le beur boit de l’alcool ? Ils rigolent doucement, ils chuchotent :
Djibril : « Putain tu ne m’as pas menti, il est gaulé ton pote, mate moi ce boule, bien poilu comme j’aime… »
Damien : « On est d’accord tu ne le violentes pas, tu es cool avec lui, tu ne lui fais pas mal, je l’aime ce mec, c’est mon régulier, je veux le garder… ne fais pas de bruit il dort encore…on va le baiser…»
Djibril écarte doucement mes jambes, je bascule sur le ventre, je sens une grosse langue râpeuse qui titille ma rondelle, il grogne de satisfaction, sa barbe gratte l’intérieur de mes fesses, je ne peux m’empêcher de souffler fort, la langue est énorme et pénètre sans frapper dans mon conduit d’amour, c’est comme une petite queue, très agile qui travaille mon anus.
Damien pose sa bouche sur la mienne, sa langue entre « chez lui en moi», je reconnais son goût, un mélange de cigarette de menthe et d’alcool. Il s’allonge à côté de moi.
Damien « ça va bébé, je suis heureux d’être là, avec toi, Djibril mon pote va te baiser, moi je vais te faire l’amour, je veux me marier avec toi, je t’aime plus que toi, je ne veux plus être ton régulier mais ton mari »
En entendant ses paroles, je fonds en larmes, je m’accroche à son cou et dévore sa bouche. Djibril n’a pas perdu de temps, il a enduit le gode de gel et tente de préparer mon cul avec. Je gémis… le gode est gros, le mec est doux et patient, il progresse avec le gode par petit coups… je le sens très bien, il ne me fait pas mal, Djibril caresse mon cul en même temps, son massage déclenche en moi des envies de queue, je pousse fort, le gode entre complètement.
Damien me gaze deux fois par narine. J’ai un éblouissement, mon cul se détend davantage, Djibril enfonce tout, je sens les couilles factices du gode sur mon scrotum. Il bouge un peu le gode, pour bien façonner mon colon, je kiffe cette baise plastique, je préfère une vraie bite d’homme. Je n’ai pas regardé encore Djibril, je sens son odeur de mâle, sa peau est chaude, je tâtonne et touche sa tête, il est chauve, une légère barbe… Damien lui file une capote, Djibril retire doucement la prothèse, ce mec est délicat, je sens qu’il se positionne entre mes cuisses, j’essaye de choper sa queue, je pousse un cri, elle est plus grosse que le gode.
Moi « Nan Damien, il est trop gros, il va me déchirer… non chéri, stp… ! »
Djibril « Ne t’inquiètes pas Damien, je sais faire, j’ai bien préparé ta chatte, tu vas en redemander tu vas voir… »
Il n’a pas fini sa phrase que son gland tente une entrée, Damien me gaze à nouveau, je sens que mon anus se dilate, il a rentré son abricot qui lui sert de gland, je gémis parce qu’il enfonce tout d’un coup. Je me débats, mon chéri me maintient, Djibril est au fond de moi, j’ai l’impression qu’une poutre détruit mon cul. Il se couche sur moi, il est très grand, je peux voir sa tête, il est magnifique, gueule carrée, il a de grosses lèvres qui aspirent les miennes. Il est lourd sur moi, tout est poilu en lui, son torse, ses jambes. Damien joint sa langue à celle de Djibril, deux langues font un combat avec la mienne… je sens ses abdos et ses pectoraux.
Imperceptiblement, Djibril a bougé son sexe en moi, ses mouvements deviennent de plus en plus amples. Qui a dit que la taille ne compte pas ? C’est faux archi faux. Cette poutre qui aplatit ma prostate génère en moi des petites jouissances, j’aime le souffle de ce type sur ma joue, il est puissant, il est chaud. Il tient mes bras sur le lit, je suis soumis à son plaisir. Damien me regarde prendre mon pied.
Damien « Tu le sens bien en toi, t’as vu je ne t’ai pas blousé, il est chaud de ouf, hein ? Je vais lui demander qu’il te démonte maintenant mon chéri…»
Je ne peux lui répondre, j’adore que ses lourdes couilles tapent mon scrotum…
Djibril a capté le message, il me retourne sur le dos, bascule mes jambes sur MES épaules, et pénètre mon trou d’un coup. Je crie de douleur et de bonheur. Damien écarte mes jambes au maximum, Djibril fait ses pompes sur moi, sa longue queue me pilonne à fond la caisse maintenant. C’est un mâle alpha, il est large d’épaule, poilu comme un ours, un bassin étroit, mes muscles de partout. Sa queue entre et sort comme dans un moulin, il souffle de plus en plus fort, je sens sa queue se durcir, elle me fait mal, Damien tient ma tête, Djibril me roule une grosse galoche et en gémissant dans ma bouche il remplit la capote. Damien embouche mon gland et recueille mon jus… je jouis en hurlant de bonheur sur les poils de mon ventre. Djibril se retire, je suis effaré par l’engin, au moins 25X7, il retire la capote, fait un nœud, et présente sa queue à Damien qui lui nettoie.
Damien prend la place de Djibril, il ne met pas de capote, seulement du gel et me pénètre lentement, je saisie ses fesses musclées, il m’embrasse, et commence à me baiser lentement. Mon cul a eu le temps de se rétracter, je sens tout de lui, son gland énorme, ses veines, ses grosses couilles. Le fait que ce soit lui que me baise me rend deux fois plus réceptif à ses coups de boutoir, son odeur m’imprègne, sa sueur je la bois, sa salive je la bois; c’est mon homme, je jouis en permanence, je suis comme une femelle qui se fait engrosser. Il me retourne à quatre patte, et me défonce la chatte, à chaque poussée de sa queue, je crie, Djibril a enfoncé sa grosse queue dans ma bouche, il tient ma tête. Derrière moi mon chéri ressort sa queue et la re-rentre sans pitié. Son bassin claque, il me projette sur celle de Djibril qui gémit quand sa queue descend dans ma gorge. Défoncé des deux côté, je prends mon iep.
Damien et Djibril grognent en même temps, les deux m’inondent fortement. J’avale tout de Djibril, son jus oriental a un goût sucré et celui du cumin, le jus de mon homme apaise mon cul comme du miel… je m’effondre sur le lit, repus, avec le cul en trompette, les deux se collent à moi malgré la chaleur… on s’endort comme ça. La chambre pue le mâle en rût. Je suis face à Damien, Djibril derrière met sa très longue queue entre mes jambes, je tiens celle de Damien, je m’endors entre ces deux hommes alpha.
Il est deux heures 45, je me réveille, Djibril finit de tartiner ma rondelle, allongé sur le dos, il me bascule sur lui, oriente son zob vers mon anus, et me pousse par les épaules, son sexe entre en moi, je souffre, mon anus est encore très sensible, il saisit le poppers et me gaze 3 fois dans chaque narine, la dose maximale, la tête me tourne, je pars en live, une chaleur intense m’envahit, je sens Damien derrière moi « Non les mecs je ne veux pas, non je ne veux pas, vous allez me déchirer, non je… »
Je hurle à la mort, Damien vient de me pénétrer, à côté de son copain, ce n’est pas possible, mon cul va exploser, et pourtant, petit pas par petit pas il s’enfonce à fond en moi. Je suis écartelé. Les deux hommes m’embrassent, je suis une lope, un pantin désarticulé, ma queue est minuscule, je bave. Ma peau est hyper sensible, leurs queues palpitent, je touche mon cul, ce contact me fait crier. Comment ai-je pu encaisser ces deux-là, plutôt TTBM ?
Djibril enserre mon corps contre lui et commence à me baiser, Damien me baise en alternance. Le poppers et le gel facilitent le travail. Je pensais cela impossible, mais les deux me défoncent comme des affamés, on gémit de concert, leur queues se frottent, elles frottent et dilatent mon conduit, je suis dingue de ça. C’est une découverte sensationnelle, plus forte que toutes les drogues, en plus il y a de l’amour là-dedans. J’ai jouis deux fois à une minute d’intervalle, chose rare en pratique normale… je ne sais pas comment je vais retrouver mon corps… je kiffe de ouf cette baise nocturne. Ils se retirent en même temps, allument la lampe de chevet et à genoux à côté de ma tête m’aspergent de leur sperme épais et odorant. Ils hurlent en même temps se tapent dans les mains, étalent le jus sur ma gueule et mon torse. Moi je n’ai plus de jus, ça fait longtemps que j’ai craché sur le corps de Djibril.
Mon cul se referme doucement, des humeurs s’en échappent, un mélange de gel et de… je ne sais quoi. Mes deux mecs s’allongent, mon mec me pénètre à nouveau et s’endort en moi de suite, il est bien au chaud dans mon cul. Djibril face à moi lèche mon visage comme un chat. Et se met à ronfler. Le poppers a du mal à se dissiper, je mets du temps à sombrer… le weekend va être long…et jouissif ! Je nage dans le bonheur, satisfait, comblé.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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LE7
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