Premier épisode
Chapitre-2
Je lui ai écarté les bras et ma langue est descendue sur le torse noyant la toison brune pour arriver sur le nombril. Je le fouille de la pointe de ma langue, le faisant rire.
Je respire l'odeur de sa toison, de sa belle queue qui bande encore. Je fais des bisous sur les couilles. Les jambes sont écartées et les cuisses intérieures ne sont pas tellement poilues. Je lèche, je fais des bisous et cela le fait gémir. Ses jambes bougent, mes lèvres arrivent au genou, j'en fait le tour et descend sur la jambe.
Je replie sa jambe pour poser son pied sur mon torse. Je caresse ses mollets en regardant les orteils bouger. De vraies petites bites en mouvement.
Je prends le pied en main, le retire de mon torse et j'embrasse de mes lèvres les orteils et vient prendre le gros orteil entre mes lèvres. Le pied se rétracte mais je continue de sucer son gros orteil comme j'ai sucé sa bite tout à l'heure.
Je vois qu'il me regarde étonné et quand ma langue passe entre les orteils, il force pour essayer de les écarter comme pour me faciliter la tâche.
Je prends un malin plaisir de lécher son pied, ses orteils et de passer à l'autre en disant en le regardant :
-faut pas qu'il fasse son jaloux!
Là je m'amuse à mordre les orteils comme si je voulais les arracher, il rigole, pousse de petits cris et j'aperçois sa belle queue couler sur son ventre, déposant la mouille dans les poils!
Je fais en sorte d'avoir ses pieds sur mes épaules et je remonte sur l'autre jambe en continuant mes lèches et mes bisous et je vois le petit cul apparaître.
Je l'ai vu en photo déjà, mais là je l'ai à portée de langue, de doigts, de bite!
Je lui fais replier les jambes sur le torse et de lui-même il vient les saisir sous les genoux, les écartant encore plus et j'ai une vue admirable sur une raie poilue bien ouverte. Les fesses sont également recouvertes d'un duvet.
J'adore regarder un nouveau cul, le découvrir, le caresser avec les mains d'abord, chercher du doigt l'anus dans les poils, toucher, tâter délicatement et sentir que le mec fait des efforts.
J'écarte les poils dans la raie et l'anus sombre est là, bien rond, plissé. Je le touche du bout de l'index, c'est souple mais pas tellement.
Y'a du boulot j'ai pensé.
Je crois que je n'avais jamais eu un garçon si bruyant dans mon lit.
Dès le premier coup de langue, il a commencé à gémir et il a poussé pour faire palpiter l'anus. J'ai léché, inondé de salive et quand la pointe de ma langue a forcé le petit trou, c'est un long gémissement qui s'est fait entendre. L'anus s'ouvrait.
J'ai enfoncé lentement mon index et là le gémissement s'est changé en un petit cri qui a continué le temps que mon doigt touche au plus loin. Quand j'ai caressé la paroi interne, les cris ont augmenté, il marmonnait je ne sais quoi les yeux fermés mais il s'offrait le fermier!
J'ai alterné langue doigt et j'adorais entendre les cris qu'il poussait.
Mais quand j'ai foré de deux doigts, j'avoue pas très délicatement la première fois, là il a crié presqu'en hurlant, mais tirait bien sur ses jambes pour ouvrir encore plus son petit cul.
Cela se voyait qu'il avait de l'entraînement Sébastien, l'anus est devenu souple et quand je retirais mes doigts, il restait ouvert. J'ai fait couler de la salive et ma langue a touché la paroi chaude et humide.
Ce fût un cri de surprise suivit d'un long gémissement.
J'ai pris du gel dans ma table de nuit, me tartinant la queue et son petit trou.
-c'est froid dit il en gémissant.
Et je présentais coquette à ce nouveau conduit.
Quand j'ai posé le gland sur l'entrée, il a sursauté en ouvrant les yeux, il m'a fait son plus beau sourire, d'un air de dire "vas y".
Je me suis appuyé sur ses cuisses et j'ai forcé l'entrée glissante de gel.
Je sentais son sphincter s'ouvrir et recouvrir lentement mon gland, lui avait toujours les yeux fermés, il se mordait la lèvre inférieure en gémissant encore.
Le gland glisse doucement ouvrant encore plus l'anus, il grimace, je vois bien qu'il doit avoir mal. Je m'arrête le temps que la grimace disparaisse et quand son sourire revient en ouvrant les yeux, je donne un petit coup de reins le faisant crier et de suite hurler, car le gland s'invite dans le cul chaud, comprimer par le sphincter qui le retient prisonnier.
Il hurle, mais ne bouge pas, moi non plus! Il ouvre les yeux, rigole :
-continue, c'est bon! ça fait mal mais qu'est ce que c'est bon une bite, mieux que mon gode!
Avec tout le gel que j'avais mis cela coulissait bien et je l'ai rempli comme il se doit.
Il avait ouvert les yeux et me regardait, ses yeux me détaillaient le visage, il souriait le garçon!
-alors c'est ça se faire enculer ? dit il dans un souffle.
-oui mais maintenant je vais te baiser ton petit cul, car je trouve qu'il a l'air de bien aimé ma queue dis je en riant.
Je vois l'envie dans son regard et je commence à me retirer lisant l'étonnement sur son visage. Je racle son conduit comme si j'allais ressortir mais je reviens plus vite que l'entrée et il crie de surprise en riant. Je m'amuse à faire de petits allers retours et le cri s'intensifie à chaque fois!
J'augmente les va-et-vient qui deviennent plus secs et les cris reprennent mais il s'offre le mec et je peux dire que ma queue est bien.
Je reprends un de ses pieds et toujours en le baisant je fais des bisous aux orteils, ce qui le fait rire, entre deux cris.
Mais je sens le tsunami arriver. Je m'appuie encore plus sur les cuisses, me redressant et ma queue voyage bien dans ce conduit serré. Lui crie mais c'est mon tour de crier très fort quand je me bloque et laisse partir toutes les giclées que je sais abondantes.
Je vois encore de l'étonnement sur son visage, c'est la première fois que cela lui arrive et je vois qu'il va aimer ça le bougre!
Ma queue encore raide nageait dans son jus chaud quand je me suis écroulé sur lui, ses jambes m'enfermant et je l'ai embrassé en lui disant merci.
Je suis sorti de lui délicatement laissant le trou se refermer, mon jus s'échappait.
Il s'est jeté sur moi pour m'envelopper de son corps et de ses membres.
-c'est moi qui doit te remercier Fabrice! j'ai eu mal, même très mal, mais putain quel pied, tu n'as même pas vu que j'ai juté sans me toucher.
-non je n'ai pas vu, mais j'ai senti ton jus entre nos ventres!
-alors tu vois que les mecs ont raison, que je suis vraiment une salope!
-pfft ils n'y connaissent rien les mecs, moi aussi je suis une salope, une salope qui aime baiser les mecs et toi ben si t'es une salope, t'es une salope qui aime se faire baiser! Tu sais heureusement que les deux existent...
Il rigole en m'embrassant.
Sa main vient me toucher la queue qui bande encore.
-tu bandes encore dit il.
-pas toi peut-être ?
Il rigole.
-si, j'me demande si je vais débander si je reste ici avec toi!
-tu veux déjà partir ? j'ai demandé prenant l'air triste.
-c'est dommage qu'on soit dimanche, je serais bien resté dormir avec toi.
-tu veux rentrer à quelle heure ?
-il faut que je sois couché à 22 heures car je me lève très tôt demain!
-regarde il est juste 19 heures, si tu veux je te garde pour dîner et pour user de toi encore un peu que tu te souviennes de moi durant la semaine à venir.
-c'est sûr que je vais me souvenir de toi Fabrice, je vais me branler tous les soirs en revivant tout ce qu'on a fait ce soir!
-t'as une chambre tout seul j'espère dis je en riant.
-oui heureusement, mais je voudrais te demander autre chose.
-quoi donc ?
-est ce que tu voudras me revoir le week-end prochain ?
Je fais mine de réfléchir.
-oui mais à une condition.
-laquelle ? demande t-il les yeux brillants.
-que tu viennes samedi jusqu'au dimanche soir, je crois qu'il va falloir perfectionner certaines techniques jeune fermier!
Il rigole et l'usine à bisous, à jeux de langue est reparti.
Je le bloque dans on élan, le forçant à me regarder.
-tu veux boire l'apéro ? j'ai demandé innocemment.
-maintenant ? dit il en se blottissant contre moi.
Je prend sa main et la pose sur ma queue.
-là il y a une bonne liqueur de sirop de corps d'homme de prêt!
Il rigole, me fait un bisou.
-t'as déjà fait un 69 ? moi jamais...
-rho mais les jeunes qu'est ce que vous apprenez à l'école ?
-pourquoi tu as appris ça à l'école ?
Je rigole en le serrant contre moi.
-va goûter à ma queue et donne moi la tienne Sébastien!
Son premier 69 fût une réussite. Il savait sucer le fermier, je n'étais pas sa première queue qu'il tenait en bouche. Il savait gober les couilles, les avaler, les sucer, sucer le gland, titiller le frein, jouer de la langue et quand il sentait que la queue était prête à lâcher son jus, il revenait aux couilles.
On entendait plus que les bruits de succions. J'ai adoré et j'adore toujours sa belle queue.
J'ai passé un doigt entre ses fesses et je l'ai fait glisser dans son petit trou, ce qui l'a fait jouir rapidement en râlant que je trichais, avant de recevoir ma récompense et ce gourmand n'a rien perdu.
Il est revenu dans mes bras m'embrasser.
-je t'ai dis que je n'avais pas fait grand chose avec les mecs, c'est de leur faute aussi, j'aime sucer une bite mais je n'aime pas m'entendre traiter de salope parce que je prends une bite en bouche, alors j'ai toujours refusé le reste avec les mecs!
Il était reparti à parler de ses mecs de rencontres, des mecs qui baisaient à l'internat mais qu'il ne s'était jamais mêlé à eux et heureusement, deux s'étaient fait prendre dans les douches et avaient été expulsés.
Je l'ai écouté sans trop rien dire, le caressant, entretenant sa raideur comme il entretenait la mienne.
On a dîné tous les deux vite fait pour retourner au lit et il m'a offert son cul à nouveau, se mettant à quatre pattes sur le lit me disant :
-baise moi comme une salope que je sache ce que cela fait de ne pas voir le mec qui t'encule!
Je suis faible avec de telles demandes... et il a gueulé encore Sébastien pour finir par me dire :
-ben tu vois je préfère quand je te vois, je vois dans tes yeux ton plaisir!
-pfft t'avais les yeux fermés!
Il rigole.
-pas complètement je t'observais entre mes cils!
Je l'ai viré à 21h30 pour qu'il soit au lit à l'heure dite.
Il m'a appelé tous les soirs et il se branlait en me parlant, m'excitant en me racontant ce qu'il voulait que je lui fasse le week-end d'après.
Qu'est ce qu'il était content de revenir, et moi donc!
Des week-end entiers à baiser.
Bien sûr qu'il est devenu une belle salope qui aime la bite, mais il aime s'offrir, et donner du plaisir.
On ne s'est jamais dit des je t'aime, mais est-ce nécessaire ?
Maintenant qu'il a fini ses études et obtenu les diplômes nécessaires, il travaille à la ferme avec son père et les autres ouvriers, mais je le vois débarquer souvent en semaine disant :
-j'en peux plus, traire des vaches et j'ai même pas une main secourable pour me faire la même chose!
J'aime faire plaisir!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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