Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 5
Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, Marcel dormait encore du sommeil du juste, son bras sur ma poitrine.. il ronronnait à mon oreille.. j'entendais des voix dans la cuisine.. je me suis levé sans réveiller mon beau burkinabé.. qui s'est retourné .. je me suis habillé et je suis allé dans la cuisine.. la maman finissait de ranger les bols du petit déjeuner, il en restait deux sur la table.. au moment où j'entrais dans la cuisine je croisais les jumeaux, qui sans façon m'ont fait une bise chacun sur une joue.. en disant bonne journée! ils sont sortis me laissant seul avec leur mère..
-Tu as bien dormi ? me demande-t-elle
-oui vous en faites pas! tout c'est bien passé..
-et Marcel dort encore! ah quand il vient à la maison il resterait au lit.. je me demande s'il dort à Ouaga!
Et les questions ont recommencé.. elle aussi voulait tout savoir de la France, de notre mode de vie.. mais ne s'est jamais plainte de sa situation..
Puis Marcel est arrivé, m'a fait une bise devant sa mère, l'a embrassé également tendrement en se réfugiant dans ses bras.. on est bien tous pareil avec nos mères lol!
Et nous avons pris un solide petit déjeuner.. elle tenait à ce qu'on reste pour le déjeuner.. on a accepté.. qu'il était plaisant de se reposer dans leur cour, à l'ombre des arbres.. j'aurais bien fait la sieste..
On s'est un peu baladé le matin.. déjeuner et nous avons repris la route sur l'engin de malheur qui nous avait amené..
On s'est arrêté plusieurs fois, Marcel n'arrêtait pas de parler.. me disant que je plaisais à sa mère.. et que c'était une référence! car elle était très difficile dans ses copains.. elle connaissait Jean François par exemple et ne l'aimait pas! elle disait qu'il n'était pas franc.. alors que c'est le plus gentil des garçons..
On a joué les amoureux, se baladant dans le début de brousse, se tenant par la main, s'embrassant comme des affamés, nous faisant bander comme des malades.. nous obligeant à faire sortir le trop plein..
Enfin nous sommes revenus à l'hôtel, après avoir rendu la mobylette.. et nous sommes allés déposer nos affaires.. il faisait une chaleur terrible.. et Marcel, tendrement m'a enlacé en disant..
-on pourrait faire une petite sieste sous le ventilo en attendant que la température baisse un peu pour sortir..
Bien sûr que j'étais d'accord, bien sûr que je le voulais dans mes bras, sentir sa peau chaude et tendre contre la mienne, sentir ses longues mains me caresser.. on s'est caresser mutuellement en se déshabillant.. et, nus, il m'a pris par la main, m'a fait reculer et m'a observé des pieds à la tête..
-je n'ai jamais pris le temps de bien te regarder mon petit français, t'es beau! je penserais tout le temps à toi tu peux en être sûr.. tourne toi.. que j'admire tes belles fesses..
Je lui tournais le dos.. il s'est approché doucement pour poser ses mains sur mes fesses, une main sur chaque, les caresser, les pétrir tendrement en m'embrassant dans le cou.., son corps s'est collé au mien et j'ai senti sa belle queue raide se caller dans ma raie fessière..
-t'es toujours d'accord pour ce que je t'ai demandé hier soir ? demande tout bas Marcel à mon oreille
-oui mon bébé, mais c'est ta langue qui devra tout préparer.. car ta langue est magique bébé..
Il a ri de son beau rire, m'a retourné contre lui, me serrant dans ses bras et, sa langue magique entre dans ma bouche allant jusqu'au fond de ma gorge.. me faisant presqu'avoir une nausée, tellement il allait profond..
Il m'a fait reculer pour que je tombe sur le lit, m'a poussé sur le dos, soulever les jambes..me mettant les pieds sur son torse.. il a observé mes pieds.. les touchant, les caressant.. passant un doigt entre chaque orteil.. m'a regardé tout sourire..
-j'ai jamais léché un pied.. je veux bien essayer avec toi..
-fais ce que tu veux bébé, fais toi plaisir..
Ses belles lèvres sont venues se poser sur un pied qu'il avait levé à hauteur de sa bouche, entourant le gros orteil, le suçant, le léchant, sa langue agile passait partout, c'était chaud, c'était tendre, c'était doux.. il s'est appliqué à lécher partout, étonné que je me laisse faire sous la plante des pieds sans réagir.. et il a recommencé avec l'autre pied.. cela a duré moins longtemps.. il a repoussé mes jambes sur mon torse.. je les tenais sous les genoux.. il a soulevé mes fesses, les écartant le plus possible.. et sa tête a disparu..
J'ai de suite senti sa langue passer dans la raie, l'inondant de salive et revenir sur l'anus, le titiller, le forcer, l'inonder.. la chaleur commençait à m'envahir malgré le ventilo qui tournait lentement au dessus de nous brassant la chaleur de la chambre.. mais cette chaleur que je ressentais était due à sa langue.. qui s'enfonçait en moi.. encore plus que la dernière fois.. jamais j'avais eu cette sensation de plaisir.. et sa langue n'arrêtait pas de bouger, de rentrer, de sortir, d'inonder.. elle faisait le tour du trou qui s'élargissait.. je forçais pour l'aider.. et cela a duré, duré longtemps.. il lapait comme un petit chiot l'intérieur de mon cul ouvert.. j'avais envie qu'il soit comblé, par un doigt, par deux.. je pensais bien à sa queue.. mais j'allais déguster c'est sûr!
Quand j'ai vu sa tête réapparaitre, c'est pour le voir fouiller dans son sac, sortir un tube et revenir sur mon cul..
Et sa langue est revenue..
Ce que je n'ai pas vu et que j'ai su après, c'est qu'il s'est tartiné le gland et la queue d'un gel local anesthésiant selon lui.. j'ai toujours eu des doutes.. c'était un gel préparé par un sorcier local!!
Et quand il s'est redressé une nouvelle fois, c'était pour poser son gland sur mon anus ouvert.. grand ouvert m'a-t-il dit après.. la chaleur de sa langue avait disparu remplacée par le froid du gel.. il a mis mes jambes de chaque côté de ses épaules, il était au dessus de moi.. et j'ai senti son boa forcer mon cul.. il me fixait de ses beaux yeux, il souriait et le gros serpent glissait inexorablement en moi.. je me sentais écartelé, m'ouvrir comme jamais j'avais été ouvert.. et sans forcer, j'étais envahi lentement mais sûrement..
Le gland, plus mince est passé je dirais facilement, mais quand la hampe d'ébène a suivi.. élargissant le conduit, je n'ai pu retenir une grimace, j'avais pas vraiment mal mais c'était la sensation, j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer..
Il s'est arrêté, bougeant juste sa queue en moi, et a continué.. le gel devait quand même y être pour quelque chose.. car tout s'est engouffré en moi d'un seul coup.. je serrais les draps dans mes mains, je grimaçais, mais j'étais heureux, heureux d'avoir pu prendre la belle queue de mon amoureux et de lui faire plaisir, lui qui aimait tant en prendre!
Ses grosses couilles sont venues se coller sur mes fesses.. la peau nue de son pubis sur les miennes.. c'était bizarre de ne sentir aucun poil..
-ça va mon amour ? demande Marcel
Je clignais des yeux, je souriais malgré moi..
-alors je vais te faire l'amour.. tu vas devenir un vrai africain dit-il en riant..
J'avais des doutes de devenir un vrai africain.. mais là où j'en étais je ne pouvais que continuer..
Ceux qui ont l'habitude de se prendre de grosses bites savent le plaisir qu'ils vont avoir.. moi j'avais déjà pris des bites, mais pas de cette grosseur.. et il faut bien dire que je n'avais jamais réellement pris mon pied à me faire sauter.. mais là c'était trop tard pour la réflexion.. j'étais l'emmanché!
Et Marcel a été doux, très doux.. au départ! quand le boa est sorti presqu'entier de sa cachette, j'ai senti comme une libération.. je pouvais respirer!, mais il est revenu lentement.. il a fait ça de nombreuses fois, toujours en me fixant.. souriant.. je sentais mon boyau s'ouvrir , se fermer et se faire réinvestir.. sa longue et belle queue coulissait maintenant comme si elle était chez elle.. m'arrachant, à chaque fois qu'elle revenait à la charge, des gémissements, j'avais des picotements dans le cul et je me suis surpris à pousser, ouvrir mon cul le plus possible pour recevoir mon cadeau!! ma queue ne faisait pas la fanfaronne, je la sentais se recroqueviller sur mon ventre..
Et, Marcel a accéléré la cadence.. oh doucement au départ.. mais ensuite de plus en plus vite, la sueur coulait de son front et tombait sur moi.. il souriait toujours, me montrant sa langue caressant ses belles lèvres.. les coups de reins se sont faits plus secs, ça claquait sur mes fesses, mon trou devait être béant pour se faire remplir comme ça.. et il a continué un moment dans le style marteau piqueur.. et j'ai apprécié cette belle queue en moi.. le sourire m'est revenu entre deux gémissements et petits cris.. il a ralenti la vitesse, mais les coups de reins cherchaient à aller encore plus loin.. j'étais ouvert, écartelé.. mais de bonheur! heureux le petit français de se faire sauter comme une salope.. et d'aimer ça!
Et la première giclée est arrivée.. pas une giclée mais un vrai tsunami de chaleur irradiant tout mon intérieur.. la queue qui se retire et revient d'un coup sec libérant une autre charge aussi abondante.. et j'ai cru qu'il n'allait jamais arrêter.. il donnait toujours des coups de reins secs et du sperme sortait!
Un miracle est arrivé.. quand le premier geyser a surgi.. j'ai senti ma queue se réveiller et bander d'un seul coup se détendre en s'allongeant entre nos ventres..
-la bite de Marcel est magique m'a-t-il dit en s'écroulant sur moi pour m'embrasser tendrement, magnifiquement avec sa belle langue que j'aimais tant.. merci mon amour de m'avoir donné ça! je n'oublierais jamais!
-eh je pars pas demain mon beau! on a le temps de recommencer..
-mais t'es un vorace!
Je sentais sa queue sortir doucement de mon trou, laissant un grand vide.. pourvu que ça se referme pensais je légèrement inquiet.. mais Marcel était déjà penché sur ma queue et l'avait avalé comme une sucette.. et sa langue, sa belle langue en prenait possession, je subis (décidément c'était l'après midi qui voulait ça!) une pipe mémorable.. il s'est appliqué mon petit africain.. et je lui ai donné sa récompense sans être radin.. il a tout avalé, léché, m'a soulevé les jambes pour avoir accès à mon cul et l'a léché encore et encore.. ouf mon petit trou c'était bien refermé!
On s'est allongé sur le lit, il m'a enserré dans ses bras.. me fixant dans les yeux, ses lèvres touchaient les miennes par intermittence, et de la pointe de sa langue les caressait, il sentait le sperme!
-je suis bien avec toi! tu vas me manquer mon amour..
Il était triste, ça se voyait..
-profitons de l'instant présent dis-je en le caressant, touchant ses belles petites fesses fermes..
-tu veux mon cul ?
-attend qu'on reprenne un peu des forces..
On est resté un long moment , comme ça, sans rien dire, les mains caressaient les corps, on se faisait de petits bisous en rigolant.. j'étais heureux et il semblait que lui aussi..
-On se prend une douche, on va manger, on va rejoindre les potes et on revient pour 22 heures! le programme te va ?
-ah ah oui et Michel il revient dormir avec nous ?
-ou Jean François peut être..
-mais.. euh il va vouloir m'enculer..
-maintenant t'es prêt mon amour! la sienne est juste un peu plus grosse.. mais ça ira! et de toute façon je passerais en premier..
Ca ne ne me rassurait pas vraiment..
Nous avons retrouvé ses potes au restau.. il n'y avait que Jean François.. c'est vrai que j'aurais préféré Michel.. mais bon!
Ils étaient sympas ses potes, on a bien rigolé ensemble, certes ils parlaient beaucoup de cul.. des vieux qu'ils baisaient.. en fait j'ai cru comprendre qu'ils tapinaient pratiquement tous.. et je me demandais si Marcel n'en faisait pas autant.. quand j'abordais le côté travail, il restait toujours évasif et changeait de conversation..
A 22 heures, Jean François a demandé à Marcel..
-vous pouvez me loger ce soir les mecs ?
Mais c'est moi qui ai répondu
-avec plaisir Jean François je vais avoir enfin le plaisir de te connaitre mieux.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :