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Chapitre 6
On est rentré à l'hôtel tranquillement, entouré des deux burkinabés, Marcel me tenait la main et Jean François la frôlait de plus en plus, pour arriver enfin à me la prendre.. il me lançait des oeillades quand je le regardais.. on aurait dit un jeune dragueur timide..
Le patron de l'hôtel nous attendait, il a fallu boire une bière avec lui.. il souriait en me regardant, voyant que j'étais encore bien entouré.. on a parlé un moment de tout et de rien et nous sommes montés dans la chambre, où tout s'est accéléré..
Marcel est allé pissé.. et, quand il est revenu j'étais dans les bras de Jean François, serré contre lui, bouche contre bouche et j'appréciais sa langue fouineuse.. il avait fermé les yeux et me savourait.. j'ai vu Marcel revenir.. et s'asseoir sur une chaise, nous regardant..
Jean François m'a déshabillé, détaillant mon corps, me touchant, me caressant partout quand je fus nu devant lui.. il était à genoux et caressait ma queue bien raide.. cela avait l'air de lui plaire.. et ses mains parcouraient mon corps.. pas un endroit n'a pas été exploré par ses mains douces qui me donnaient des frissons.. j'ai vu que Marcel s'était déshabillé et se branlait tranquillement en nous regardant.. les yeux rivés sur ma queue..
Jean François avait sa tête de collée sur mon ventre, se frottait la joue sur ma peau.. je sentais son souffle, ses lèvres m'ont embrassé le ventre, léché le nombril et d'un seul coup est descendu sur ma queue, la décalottant à fond d'une main pour l'avaler comme Marcel le fait, d'une seule traite, entièrement.. son nez dans mes poils.. son autre main sur mes fesses me tenant serré et sa langue qui jouait avec ma queue.. je regardais Marcel qui souriait devant le tableau.. j'aurais aimé qu'il vienne aussi.. mais il préférait regarder et branler sa belle queue d'ébène.. je me suis fais sucer comme un chef! les belles lèvres black enserrant bien ma queue montaient et descendaient dessus.. sa main avait saisie mes couilles et les tenait serré.. on entendait que le bruit de succion par dessus celui du ventilo.. il se donnait à fond Jean François et ce qui devait arriver est arrivé.. j'ai posé mes mains sur sa tête crêpue, je l'ai bloqué et les jets de bon jus français ont giclé dans cette bouche accueillante.. et je lui en ai donné du jus à Jean François.. et il a tout avalé.. m'a regardé, c'est léché les lèvres en riant..
-c'est bon le jus français!
-déshabille toi maintenant dis-je en lui tirant son tee-shirt..
-non! toi fais le! et mon corps est à toi.. tu as le droit de me faire ce que tu veux..
J'ai enlevé son tee-shirt.. la couleur ébène luisait sous la faible lumière de la chambre.. des bras puissants, un torse bien dessiné avec les deux tétons qui pointaient, j'ai passé ma main dessus, descendant sur les abdos! purée que c'était beau! ils étaient beaux et très durs.. j'ai caressé, il souriait en retenant sa respiration.. je l'ai caressé partout sur le torse.. il était plus grand que moi.. ma tête, mes lèvres arrivaient juste au niveau de son cou.. j'ai posé mes lèvres dans le creux, il a levé la tête et, avec ma langue je suis descendu sur la poitrine pour venir titiller un téton, pendant qu'avec ma main je me saisissais de l'autre.. un coup de langue sur l'un, un pincement sur l'autre.. et le moteur à gémissement était lancé.. il était très sensible des tétons.. et j'en ai profité un max! quand je léchais un des tétons, je pinçais l'autre.. et quand je mordais doucement au départ et pinçait fortement l'autre.. il fallait l'entendre gémir.. alors j'ai joué avec ses tétons, arrivant à les mordre assez férocement.. mais jamais il n'a cherché à se retirer.. au contraire il bombait tout le temps la poitrine pour que j'y ai accès un maximum..
Puis j'ai passé ma langue en direction de ses aisselles.. il a soulevé les bras.. et, tenant toujours un téton d'une main j'ai sniffé son aisselle humide pleine de petit poils.. ça sentait la sueur, le mâle dans toute sa splendeur.. il tenait ma main qui lui martyrisait son téton, non pour l'enlever mais pour que je continue.. et j'ai léché son aisselle..
Je ne me reconnaissais pas.. je faisais rarement ça avec un mec.. alors pourquoi j'ai fait ça avec lui ?.. mystère! mais il a apprécié.. et a soulevé son autre bras pour m'inviter.. j'ai changé de côté sans problème, toujours un téton en main..
Et ma langue s'est retrouvée sur ses abdos, la peau d'ébène, chaude, lisse avait l'odeur du mâle viril qui aime montrer sa puissance.. de mes deux mains je le tenais en le caressant sur ses flans musclés.. ma langue a envahi son nombril peu profond.. et j'avais ce p..n de pantalon encore fermé devant moi.. une grosse bosse descendait dans une jambière..
Je me suis mis à genoux.. Marcel se branlait toujours en nous regardant.. j'ai défait le pantalon qui est tombé à terre, je lui ai retiré.. son boxer large laissait passer une belle paire de couilles et le barreau de la queue sortait.. je descendait le boxer rapidement pour enfin découvrir la belle queue toute black! je n'en avais jamais vu de si belle.. mes deux mains dessus, il restait encore le gland et un morceau de la hampe qui étaient apparents.. mes doigts faisaient juste le tour et arrivaient à se toucher en serrant! et ils voulaient que je me fasse baiser par ça!!
J'ai commencé par la caresser, l'examiner en détail.. il me fallait des souvenirs précis de cette bite, douce au toucher.. mais dure de chez dur! le gland moins noir que la tige, était décalotté naturellement.. le gland bien dessiné avec un méat assez important d'où sortait un filet de mouille qui coulait.. j'ai appuyé sur le gland entre mes doigts pour élargir le méat et voir la mouille arriver et sortir.. j'ai caressé la queue, m'approchant d'elle pour donner de petits coups de langue sur ce beau gland.. mes lèvres l'ont épousé doucement, tétant juste le bout pour l'envelopper entièrement.. quel morceau que j'avais en bouche! rien que le gland me remplissait.. j'ai senti sa main se poser sur ma tête, me caresser les cheveux tendrement.. j'ai fait glisser mes lèvres sur le gland, l'enveloppant complètement et faisant entrer la hampe au plus loin que je pouvais! mais je n'étais pas près d'avaler le tout! il est restait et avec ce que j'avais en bouche j'étais étouffé complètement.. j'ai donc fait des vas et viens sur un peu plus de la moitié de ce beau sexe ébène.. la mouille coulait de plus en plus.. je me suis appliqué du mieux que je pouvais.. cela devait être pas mal car il a recommencé à gémir.. il avait l'air d'aimer qu'on lui tète le gland en caressant ses couilles.. des grosses couilles, de vrais oeufs!
Puis il a retiré son sexe, s'est retourné, me présentant son cul.. et, en se penchant en avant, il m'a ouvert ses fesses.. et j'ai découvert son trésor, j'ai enlevé ses mains pour mettre les miennes, caresser ses belles fesses dures et lisses..il avait un peu de poils frisés dans la raie.. j'ai passé ma langue qui a trouvé l'anus fermé.. j'ai bien écarté encore les fesses pour que ma langue fore ce petit trou.. qui a résisté.. mais au fur et à mesure des coups de langue, de la salive.. il s'est entrouvert.. j'ai mouillé un doigt et je l'ai perforé d'une seule traite.. le moteur à gémissements était reparti..
En fait je ne comprenais plus grand chose, on m'avait présenté Jean François comme n'étant qu'actif.. et là je me retrouvais à le doigter comme Marcel aime.. mais bon!
Et j'ai vu Marcel bouger, enfin, venir devant Jean François penché en avant et lui donner sa queue à sucer.. pendant que je doigtais le beau cul qui s'ouvrait de plus en plus.. deux doigts passaient tranquillement.. et je fouillais le trou chaud et humide, caressant la paroi.. à trois doigts l'anus restait ouvert.. et je voyais la muqueuse rouge qui attendait les caresses..
-baise le ! a dit la voix de Marcel, il n'attend que ça ! hein Jean François que tu veux te faire baiser par un petit français ?
-hon hon a répondu Jean François qui avait la bite de Marcel bien profond en bouche..
Etant toujours prêt à faire plaisir, je me suis relevé.. ma queue était dure depuis un moment, le gland bien humide de mouille.. j'ai juste eu à bien le décalotter pour le poser à l'entrée qui se refermait doucement.. prendre Jean François aux hanches et m'enfoncer en lui doucement, appréciant son sphincter épouser mon gland, l'envelopper lentement pour qu'il passe l'entrée.. et entendre Jean François gémir encore plus fort.. Marcel me regardait en souriant comme toujours, et ses coups de reins dans la bouche de son pote n'étaient pas feints.. toute sa queue entrait dans la bouche.. ça m'a excité encore plus.. ma queue était toute rentrée, mes couilles tapaient dans celles de Jean François.. et mon instinct de baiseur invétéré est revenu.. s'occuper d'un bon cul.. le trouer, le perforer, le pénétrer bien à fond.
Mes mains se sont affermies sur ses hanches et j'ai enclenché la vitesse supérieure.. pour n'entendre que des gémissements et de claquements.. on se regardait avec Marcel, m'encourageant des yeux.. je voyais sa queue entrer et sortir de la bouche de Jean François, qu'il avait penché pour que je vois bien.. et de voir ça.. de sentir ma queue dans le velours chaud et humide du cul de Jean François se faire traire par le boyau.. le plaisir est arrivé.. il est monté, monté.. j'ai senti la vague arriver dans ma queue et dans un cri j'ai largué la première salve dans ce beau cul burkinabé.. et les giclées se sont succédées.. j'avais fermé les yeux rempli de bonheur, de plaisir.. et je les ai rouvert quand Marcel a crié à son tour.. il tenait fermement la tête de Jean François et je voyais sa queue tressauter dans la bouche.. et Jean François avaler tout ce que Marcel pouvait fournir..
J'étais anéanti, vidé.. ma queue restait prisonnière de ce beau cul, mes mains toujours sur les hanches.. et je reprenais ma respiration.. haletant!
Quand Jean François s'est redressé.. ma queue est sortie en débandant..
Marcel l'a poussé sur le lit, il est tombé sur le dos en riant.. et on s'est jeté sur lui, enfin sur son sexe bandé et suintant encore plus.. il y avait à manger pour deux.. alors Marcel et moi on s'est partagé la belle saucisse.. on lui a bouffé la queue à Jean François.. deux bouches pour lui tout seul, quatre mains à jouer avec son corps et quand, on sentait que sa queue raidissait et qu'il gémissait encore plus.. on lâchait tout pour qu'il se calme et on remettait ça.. il râlait en riant.. disant qu'il voulait jouir maintenant.. mais on l'a fait durer.. et quand les geysers sont sortis.. c'étaient vraiment des geysers doublés de tsunamis.. on avait beau essayé d'en récupérer le plus avec nos bouches, il y en avait partout.. sur son corps, sur nos têtes, nos visages.. on riait comme des petits fous qui s'amusent avec un jet d'eau.. devant Jean François on s'est léché le visage pour enlever les traces puis on lui a nettoyé sa queue, ses abdos, son torse.. bref partout où il y avait des traces de sperme.. et sur un burkinabé ça se voit bien!!
Il nous a pris chacun dans un bras, on s'est embrassé tendrement..
-vous êtes doués les mecs! j'ai adoré avec vous deux!
-merci a-t-on répondu en choeur..
-eh bien je vais reprendre des forces et après je vais m'occuper de vos petits culs ..
Devant mon air un peu effrayé quand même, il a ajouté..
-t'en fais pas le français.. la langue de Marcel et la mienne font des miracles et ma queue se faufile partout.. tu verras.. attend qu'elle reprenne des forces..
Marcel avait l'air de s'en foutre complètement de se faire baiser par son pote.. ce n'était pas la première fois, lui!
Peu de temps après la queue de Jean François avait repris des forces comme il disait.. surtout qu'on la caressait tous les deux.. et, elle durcissait de plus en plus.. et Jean François a commencé à donner ses directives.. le mâle puissant entrait en scène!
Il m'a demandé de préparer le cul de Marcel.. ça c'était le dessert avant le plat de consistance.. je me suis appliqué.. et le trou affamé de Marcel s'est ouvert largement.. comme s'il savait ce qu'il allait prendre..
-regarde bien me dit-il comme ma queue rentre facilement et donne du plaisir..
Et, sans façon, il a enculé d'une seule traite Marcel qui serrait des poings et grognait assez fort.. je suis sûr qu'il se retenait de crier vu qu'on était dans l'hôtel.. et j'ai vu ce gros boa noir, s'enfoncer d'une seule traite dans le beau cul ébène de mon amoureux.. le sphincter s'ouvrir au maximum auquel, je pense il pouvait..
Jean François a de suite commencé de longs vas et viens dans ce cul.. mais lentement pour que je vois bien.. et c'est beau une grosse queue qui baise un beau cul.. et quand il y a la couleur je trouve que c'est encore plus beau!
Mais il s'est arrêté et sorti sa queue.. qui pointait vers moi..
-allez à toi !
C'était dit avec le sourire.. mais directif quand même..
-t'inquiète on va bien le préparer ton petit cul! allez Marcel en piste..
Et j'ai reconnu la bonne langue de mon amoureux, s'engouffrer en moi rapidement, je ne sais pas si mon cul la reconnaissait mais il s'est ouvert facilement.. et sa langue s'est engouffrée très loin.. j'adorais cette caresse.. et, comme il l'avait promis, Jean François est venu remplacer Marcel, sa langue moins longue que celle de Marcel, me caressait juste l'entrée, et ses deux gros doigts ont fini d'élargir le conduit.. je sentais sa queue posée sur une de mes fesses.. je regardais par en dessous et Marcel lui suçait la queue.. ça va pas tarder pensais je.. et j'avais raison..
Les doigts se sont retirés, remplacés par le gland chaud.. ce gros gland que j'avais peiné à prendre en bouche, m'ouvrait encore plus le cul.. et entrait doucement.. je sentais mon cul s'ouvrir et soudain une douleur fulgurante est arrivée.. je n'ai pu m'empêcher de gueuler.. la main de Marcel s'est vite posée sur ma bouche.. sa voix près de mon oreille..
-respire mon ami. respire.. ça va aller! tout va bien..
Tout va bien! il en avait de bonnes Marcel..
Certes la queue avait cessé d'avancer.. mais je la sentais bien encore.. et Jean François l'a fait bougé faisant réagir mon sphincter dessus.. ce qui l'a encouragé à continuer.. et je crois que j'ai récité toutes les voyelles de l'alphabet.. je ne sais pas si tout était rentré.. mais oui quand j'ai senti ses poils sur mes fesses et ses grosses couilles caresser les miennes..
Je respirais à pleins poumons, la douleur était encore là.. et je savais que c'était pas fini..
Effectivement il a commencé à se retire un peu pour revenir d'un coup sec.. ça c'est accéléré.. et là je ne sais plus vraiment, j'ai pas arrêté de râler, de gémir, de crier.. Marcel m'embrassait, me regardait en souriant, me donnant sa langue.. j'étais content qu'il ne me donne pas sa queue à sucer.. je crois que je serais mort du coup..
Mais mon cul a été ouvert et baisé au plus profond.. et la délivrance est enfin arrivée quand il a joui.. j'avais jamais été si rempli de sperme.. il n'arrêtait pas de jouir en gueulant.. et quand il s'est retiré.. un grand vide est resté..
Marcel s'est penché sur lui pour nettoyer sa queue..
Ils m'ont retourné comme une crêpe sur lit.. et j'ai eu les deux bouches pour moi tout seul.. oh elle était pas vaillante au départ.. mais je les ai quand même bien arrosé à l'arrivée.. et j'ai eu un burkinabé de chaque côté..
Ils étaient tendres, caressants et me faisaient des compliments..
-si tu restes au Burkina dit Jean François je ferais de toi ma plus belle salope dit-il
Cela avait l'air d'être un sacré compliment ..
-oh tu dois bien en connaitre d'autres!
-oh oui dit il en rigolant, mais ils sont tous vieux mon ami.. et ne viennent que pour prendre ma queue.. ils se foutent de moi mais ils payent chers!
Son visage était devenu dur.. il ne souriait plus.. je me suis penché et je lui ai fais un bisou..
-pourtant sous tes airs de dur, t'es un tendre Jean François, un mec bien! j'ai aimé baiser avec toi.. bien que je pense que je vais avoir mal au cul pendant un bout de temps!!
-ah ah mais non tu vas voir ça passe très vite.. mais faut continuer! faut pas arrêter..
-euh.. on verra ça! dis-je
Marcel et Jean François ont éclaté de rires, en se jetant sur moi, étouffé par deux burkinabés.. on s'est endormi, les jambes emmêlées.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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