Mon amoureux du Burkina Faso

Chapitre 7

Je l'avais senti fébrile toute la soirée.. bien que nous n'étions que tous les deux, il semblait inquiet.. tout le temps que nous avons marché, il me tenait la main serrée.. il m'a coincé plusieurs fois dans des coins sombres pour m'embrasser et coller son corps au mien.. soit il ne disait rien, soit juste "je t'aime" et sa langue me fouillait tendrement.. et après, il parlait de tout, de rien, de son pays qui n'allait plus avec ses djihadistes qui venaient du Mali et qui tuaient des gens qui n'avaient rien demandé et repartaient sans que les hommes du gouvernement ne fassent quelque chose.. il disait que la révolte grondait.. que les gens en avait marre de ne pas pouvoir vivre normalement..

Quand nous sommes arrivés à l'hôtel le patron n'était pas là, si bien que nous avons filé dans la chambre.. il me tenait toujours la main, m'a attiré à lui et j'ai reçu le meilleur baiser de ma jeune carrière..

-on va à la douche

On s'est déshabillé, je bandais comme un jeune cerf et il m'a tiré sous la douche en me tenant par la bite.. mais il a d'abord été sage si je puis dire.. il m'a lavé comme un bébé.. ses mains douces pleines de savon liquide caressaient mon corps.. son sourire était revenu..

-je veux que mes mains se souviennent de tout ton corps mon amour..

Alors je me suis abandonné à ses mains, ses caresses.. et j'ai été lavé des pieds à la tête.. la queue bien frottée, le cul doigté en douceur.. les doigts de pieds lessivés.. tout y est passé.. quand il est venu dans mes bras, je l'ai embrassé pour le remercier et je lui ai rendu la pareille..

On fait souvent ça avec son mec, son amoureux, se savonner sous la douche mutuellement.. se caresser, se faire des bisous, s'exciter quoi!

Là j'avais un corps magnifique, une queue qui bandait raide collée toute seule à son ventre.. des couilles pendantes.. quand la mousse a été enlevé.. je me suis mis à genoux devant ce dieu d'ébène.. pour avoir sa queue juste devant les yeux.. à portée de bouche, de lèvres, de ma langue.. l'eau coulait encore sur nous.. alors j'ai embouché cette belle bite noire.. bien décalottée, imberbe.. le pubis était lisse comme les fesses d'un bébé..

J'ai pris ce beau gland en bouche pour le sucer, le téter.. il a coupé l'eau pour que je l'entende gémir..je tenais ses fesses en mains, le bloquant pour avoir juste le gland en bouche, entre mes lèvres, jouant avec ma langue dessus.. lorsqu'il cherchait à s'enfoncer je reculais la tête, juste pour n'avoir que son gland.. il a fini par se laisser faire, me regardant en riant, mes doigts, tout en tenant ses fesses cherchaient son petit trou.. alors il les a reculé un peu et mes deux index ont trouvé ce qu'ils cherchaient.. c'était encore plein d'eau.. mais l'anus était accueillant, légèrement ouvert, j'ai enfoncé mes deux doigts.. le moteur à gémissements et petits cris étaient ouverts.. d'autant qu'enfin sa queue prenait possession de ma bouche, en même temps que mes doigts accaparaient son cul.. ses mains sont venues se poser sur ma tête.. la bloquant, j'ai glissé ma langue sous sa queue et je l'ai laissé me baiser la bouche tendrement, oh pas profond, juste à la limite pour ne pas m'étouffer.. et quand il ressortait il s'empalait sur mes doigts.. ce qui semblait le ravir au plus haut point.. nous avons continué ce petit jeu un moment.. et ses mains se sont affermies sur ma tête, me bloquant.. j'ai bien fermé mes lèvres sur la belle queue ébène, dure comme du granit.. pour attendre ma récompense qui n'a pas tardée.. en même temps qu'il gueulait son plaisir de se vider en moi.. la bouche inondée du bon sperme burkinabé.. j'essayais de le garder en bouche le plus longtemps possible pour avaler tout d'un coup.. mais les saccades se succédaient comme ses petits cris.. et j'ai dû déglutir et j'ai senti le nectar africain couler dans ma gorge.. j'avais fermé les yeux, renversé la tête.. et je dégustais..

Sa queue est sortie propre de ma bouche, lentement pour retomber entre ses jambes, il s'est agenouillé en face moi.. m'a embrassé avec sa langue à tête chercheuse..

-maintenant tu vas me baiser encore et encore mon amour.. tu vas me baiser comme une pute qui aime ça..

-pourquoi une pute bébé ? je préfère une salope.. dis-je en riant

-mais je veux que tu me démontes complètement ce soir et demain..

-arrête de te dévaloriser bébé.. je vais te faire l'amour, comme j'aime et comme je crois que tu aimes.. comme deux mecs qui s'aiment et qui vont peut être jamais se revoir.. mais tu sais la vie réserve tellement de surprise.. qu'on ne sait jamais..

-tu reviendrais me voir ?

-je ne sais pas pas mon bébé.. mais c'est vrai que j'en ai beaucoup envie.. je suis bien avec toi..

Je me suis relevé d'un bond.. il avait ma queue ,juste devant ses lèvres..

-allez! viens au lit! regarde elle attend un petit cul burkinabé.. alors comme tu es le seul.. ben c'est ton tour!

Il s'est relevé en riant, me traitant de voyou adorable.. on s'est essuyé rapidement puis on est allé dans la chambre.. il s'est mis à quatre pattes, le cul tendu vers moi.. je me suis allongé sur le lit..

-viens dans mes bras ma belle salope.. maintenant je veux un amant, un amour de bébé comme toi.. je veux que tu te fasses tendre avec moi.. je veux des caresses partout, je veux sentir tes lèvres partout sur mon corps.. je veux que tu prépares ma queue qui investira ton petit trou qui mouille déjà j'en suis sûr, je veux le préparer ce petit cul de salope pour le percer, le forer de toute ma force..

Au fur et à mesure de mes paroles, je voyais son visage sourire, ses lèvres s'élargirent et ses yeux se remplirent de désir..

-je ne sais plus par où il faut que je commence dit-il en riant et en se jetant sur moi..

La nuit fut douce, silencieuse en parole mais pas en râle et grognements.. le ventilo tournait doucement au dessus de nous..

Au réveil, Marcel était encore dans mes bras.. il faisait grand jour.. j'ai regardé l'heure 6h30.. voilà que je me mettais à devenir burkinabé! Marcel dormait , il ronronnait doucement.. je passais un doigt sur sa joue, sa peau douce, lisse et chaude qui m'excitait tant.. il n'a pas mis longtemps à ouvrir les yeux.. et sourire de toutes ses dents..

-bonjour mon amour de petit français

-bonjour mon amour de petit burkinabé au cul et à la bouche délicieuses..

Il rit..

-t'as aimé ta séance de cette nuit ?

-faudrait être difficile de ne pas aimer bébé.. avoir un mec comme toi dans son lit.. tu vas me manquer bébé.. je vais rêver de toi longtemps longtemps longtemps..

-t'auras qu'à revenir.. dit-il en se couchant sur moi et m'embrassant..

Son corps dur se frottait au mien et nos queues étaient déjà prêtes..

-allez à la douche.. juste une branlette pour ne pas être embêté pour la journée.. et après on part vite!

-parce que tu crois qu'une branlette va me calmer pour la journée ? dis-je en riant.. surtout avec toi à mes côtés..

-alors tu penseras à la nuit, la dernière nuit qu'on passera ce soir mon amour! allez lève toi! fainéant de petit français!

Il m'a entrainé sous la douche faisant couler de l'eau froide.. on a chamaillé comme des gamins que l'on était.. pour finir par s'embrasser en se branlant mutuellement .. puis on s'est vite préparé..

Le petit déj a été pris en cours de route.. on a pris un bus pour se rendre en dehors de Ouaga et arriver à l'entrée du parc national.. où l'on a fait un très beau safari photo.. dans une jeep fermée.. j'ai fait pas mal de photos, mais la plus belle bête rencontrée fût Marcel.. car vu le nombre de fois où je l'ai en photos dans ce parc..

On a déjeuné dans un restaurant pour touristes.. j'ai enfin pu l'inviter comme il le méritait.. la visite était magnifique, la chaleur semblait avoir disparue.. on avait mis des chapeaux de brousse.. de vrais explorateurs.. comme d'hab on a rigolé, on s'est touché.. fait des bisous tendres.. heureux les mecs!

J'ai passé une journée inoubliable de beauté tant en paysage qu'en animaux de toutes sortes avec un compagnon de voyage qui ne dépareillait pas dans le décor.. et il avait l'air heureux de m'avoir fait connaitre cet endroit.. je l'aurais bien culbuté dans la savane.. mais les bébêtes qui y trainent ne l'encouragent pas..

Lorsque nous sommes revenus à l'entrée, la nuit arrivait.. on a pris le dernier bus pour Ouaga et aller directement à l'hôtel prendre une douche et soulager les bêtes qui sommeillaient dans nos boxers.. avant d'aller dîner et dire au revoir à Jean François et Michel..

J'ai eu droit à plein de bisous, de mains au cul, des caresses sur ma bite.. des compliments pour avoir osé venir dans le repère des fauves à Ouagadougou.. je leur ai dit qu'ils étaient les plus belles bêtes que j'avais rencontré jusque là et qu'ils resteront pour toujours dans ma mémoire.. ils étaient ravis de mes paroles.. et la séparation a été quand même un peu pénible.. je n'avais pas envie de partir!

Là c'est Marcel qui m'a "consolé" lors du retour à l'hôtel, où le patron nous attendait pour offrir un verre et me questionner sur mon séjour..

Et nous avons pu enfin monter dans la chambre.. j'avais hâte d'avoir Marcel dans mes bras pour cette dernière nuit.. et je sentais bien que lui aussi.. il me regardait de ses beaux yeux qui avaient envie de moi.. alors je me suis abandonné dans ses bras..

Lorsque son bâton d'ébène s'est enfoncé en moi, lentement, tendrement.. j'ai su qu'il allait me manquer.. sa tendresse, sa douceur de beau mec.. son sourire quand sa bite s'enfonce en toi.. pas comme un vainqueur mais comme un beau mec qui te promet d'avoir plein de plaisir.. et c'est vrai qu'il donne du plaisir le beau burkinabé.. la douceur d'enfoncer un cul et la rudesse de sa baise qui t'élargit le conduit.. qui te fait gueuler mais qui fait un bien énorme de se sentir à sa merci..

Et cette dernière nuit, j'ai eu droit à plein de tendresse et plein de coups de culs, bien secs, bien durs et pénétrants.. avant d'être inondé par plusieurs tsunamis de bon jus.. et il m'a offert son cul, à bouffer, à lécher, à pénétrer, à doigter et à baiser le plus hard possible.. ce que je me suis fait un plaisir de lui faire..

On s'est endormi.. j'ai été réveillé dans la nuit.. il se branlait, assis sur moi en se baisant avec ma queue..je l'ai renversé sur le lit et baisé rapidement de grands coups de reins.. pour l'entendre gueuler, et s'écrouler sur le lit, m'entourant de ses mains..

-dort dit-il

Pour être réveillé le matin par sa bouche qui aspirait ma queue déjà raide.. heureusement que personne ne m'attendait à Paris.. car j'allais être à cours de sperme.. et j'ai eu une pipe superbe.. ma dernière pipe burkinabé..

Je tenais à lui rendre la pareille.. pour garder le goût de son sperme en bouche pour mon voyage.. je vous l'avais bien dit que j'étais un vicieux..

il m'a laissé prendre ma douche.. me préparer.. et nous sommes partis à l'aéroport..

On a pris le petit déj à la cafétaria.. on avait les larmes dans les yeux.. on n'osait plus se regarder.. le bagage enregistré, on est resté silencieux à se tenir la main.. puis mon vol a été annoncé.. l'embarquement commençait.. sa main a serré la mienne.. nos corps se sont rapprochés, j'ai mis ma tête dans le creux de son épaule, je l'ai embrassé dans le cou.. tendrement, il a relevé ma tête me prenant sous le menton et a posé ses magnifiques lèvres sur les miennes.. dernier baiser, dernière fois que j'avais sa langue jouant avec la mienne.. et ce baiser a duré.. on se foutait complètement des gens qui nous regardait.. et qui avaient l'air de s'en foutre également..

Mais il fallait y aller..

-reviens quand tu veux dit Marcel, les larmes coulaient de ses yeux sur ses belles joues..

Je les ai essuyé d'un doigt que j'ai porté à ma bouche.. il a souri..

-je veux garder un sourire de toi.. ton plus beau sourire bébé et n'oublie pas que Whatsapp est encore en place..

Il s'est exécuté et nos lèvres se sont dit adieu..

La séparation physique fût dure.. je n'osais plus le regarder tellement je pleurais..

Je me suis retourné pour lui faire un signe au moment de passer la porte coulissante..

Je quittais le Burkina Faso, le "Pays des Hommes Honnêtes" avec tristesse..

Du temps est passé.. on se parle et on se voit toujours sur l'application.. mais depuis un mois je n'ai plus de nouvelle..

J'ai su par les infos que les militaires avaient pris le pouvoir, renversé le Président du Burkina Faso et fermé le pays.. aucune communication avec l'extérieur.. et dernièrement les militaires au pouvoir avaient attaqué les djihadistes qui venaient du Mali.. pays où nous ne sommes plus les bienvenus à ce jour..

En Afrique, le temps ne s'écoule pas de la même façon que dans le reste du Monde.. il faut attendre et espérer!