Mon amoureux du Burkina Faso

Chapitre 7

On a dormi un peu plus longtemps ce matin là.. se sont leurs doux ronflements à mon oreille qui m'ont réveillé.. j'étais toujours coincé entre les deux, leurs jambes sur moi, ils me tenaient par le torse, et j'avais une tête de chaque côté.. c'était quand même Marcel le plus beau, je tournais la tête pour le regarder, ses traits fins, sa peau douce.. je lui fais des bisous sur son nez légèrement épaté.. mais cela lui allait bien.. je touche son nez avec la pointe de ma langue, il le remue, je recommence, il passe sa main sur son nez.. ouvre les yeux et me voit la langue sortie.. son sourire rayonne déjà.. il approche ses belles lèvres et avale ma langue que je lui offre.. il la suce, on est les yeux dans les yeux.. je sens ma queue se redresser encore plus.. sa main descend dessus et s'en empare, la serrant tendrement.. nos langues se touchent, se caressent.. je sens sa queue dure contre mon flanc.. il soupire en me faisant des bisous sur la joue.. sa main joue avec ma queue.. j'essaie de bouger pour me coller à lui, mais la jambe de Jean François me bloque.. il grogne à côté de moi, bouge , et, miracle il se retourne, me tournant le dos.. je peux me tourner vers Marcel et le serrer contre moi.. nos queues se touchent, se frottent, suintent ensemble .. je lui caresse le dos, ses belles fesses fermes..

-tu me baises ? demande-t-il doucement.. touche mon cul, il a faim..

Je furète entre ses fesses, la raie est humide, mon doigt trouve l'anus, il soulève une jambe, mon doigt s'enfonce dans le trou déjà ouvert.. je le doigte lentement en l'embrassant.. son souffle entre dans ma bouche..

-il n'a pas vu ta belle queue cette nuit.. il est en manque.. baise moi bébé..

Il a un air implorant.. miséreux.. comme si sa vie en dépendait.. et il m'achève en disant..

-s'il te plait mon amour..

Mais ses yeux rient.. il est heureux Marcel..

-tourne toi alors

J'ai pas fini mes quelques mots, que je sens ses fesses sur ma queue.. il lève une jambe, prend ma queue en main, la dirige vers son trou humide, pose le gland pas encore totalement découvert sur son anus et force pour le faire entrer.. ma queue suintante de mouille et l'humidité de son beau petit cul font des miracles et je sens ma queue s'enfoncer lentement en lui, je sens son sphincter envelopper ma queue, la serrer tendrement par à coups.. et toute ma queue entre dans ce beau cul accueillant.. je le serre contre moi, ma bouche sur sa nuque.. je lui fais mille bisous, le lèche et je bouge lentement mon bassin.. il tend bien son cul, s'offre.. et je prend mon temps à posséder ce beau mec.. sentir sa peau du dos sur mon torse, sa peau chaude, lisse, tendre et dure en même temps.. sentir ses muscles rouler sur les miens.. je descends ma main sur sa poitrine, lui pince un téton et descend l'autre sur sa belle queue bien raide.. je la caresse et la branle lentement en cadence de mes petits coups de reins..

Et on fait durer le plaisir.. je l'entends gémir doucement quand je caresse sa belle queue, de temps en temps il lève sa jambe comme pour m'inviter à aller plus profond.. c'est que c'est un gourmand Marcel..

Il finit par se mettre à plat ventre, m'entrainant sur lui, toujours enfoncé dans son cul..

-baise moi maintenant! donne moi ton jus!!

J'avais essayé de ne pas faire trop de bruit et de mouvement pour ne pas réveiller Jean François.. en fait j'avais un peu peur qu'il se réveille et vienne m'enculer.. je reconnais que j'avais encore mal au cul!

Mais avec ses paroles.. j'ai oublié la présence de Jean François.. et j'ai baisé Marcel comme il semblait aimer.. il avait juste écarté ses jambes et mon pieu coulissait dans son cul.. et j'allais profond, car il soulevait ses fesses pour l'accueillir.. la sueur coulait de mon front et tombait sur sa nuque.. je me suis penché pour la lécher, l'embrasser.. il couinait en gémissant.. ma queue chauffait.. je sentais le plaisir monter.. quand une main a caressé mes fesses, c'était Jean François, le sourire aux lèvres..

-vas-y petit français.. il aime ça Marcel une bonne bite dès le matin.. baise le fort..

Il est venu m'embrasser le dos, descendant le long de ma colonne vertébrale.. me caresser les fesses, les ouvrir.. j'ai ralenti les coups de reins et sa langue est venue lécher mon anus juste pour l'inonder.. et j'ai reçu plusieurs claques amicales sur les fesses et dans un grand rire..

-allez achève le ton amoureux dit Jean François..

J'ai repris mes vas et viens, plus secs, et la main de Jean François me caressait les couilles.. les couilles qui se sont vidées rapidement dans le conduit chaud de Marcel.. je lui ai mordu la nuque.. le faisant rugir, et ma bouche est remontée sur la sienne.. nos langues se sont touchées et j'ai juté encore une fois dans son conduit.. pour m'affaler sur lui, la queue toujours en lui..

On a repris notre souffle.. le ventilo séchait notre sueur.. la main de Jean François me caressait encore..

Marcel m'a fait tomber sur le côté, il s'est retourné montrant sa belle queue ébène bien raide, bien droite.. tel un vorace Jean François s'est jeté dessus en me présentant la sienne..

je ne pouvais ignorer une si belle queue.. avant de la prendre en bouche, je l'ai caressé de haut en bas, soupesant les grosses couilles, voir la mouille sortir du méat.. la flatter comme pour l'apprivoiser.. et j'ai avancé ma bouche pour avaler tout ce que je pouvais.. ma main a glissé entre ses fesses, il a levé une jambe pour me faciliter le passage et avec mon doigt j'ai frotté son anus, et je l'ai enfoncé dans ce cul doux et chaud..

Pendant que Jean François suçait à pleine bouche la queue de Marcel.. je le doigtais et le suçais également, enveloppant son gland et le début de la hampe de salive.. j'aspirais, caressais son boyau.. je les entendais gémir tous les deux.. et ma récompense ne fut pas longue à venir.. et quelle récompense! le premier jet m'a noyé la bouche, je sentais le sperme couler dans ma gorge, passer sous ma langue, dans mes dents, j'en avais partout .. je n'ai pas eu le temps de tout avaler que les autres giclées arrivaient.. j'en ai avalé certes, mais ça sortait de partout.. et les deux burkinabés râlaient, criaient, gémissaient en se vidant..

Ca sentait le fauve, le sperme, la sueur dans la piaule.. et le ventilo qui brassait tout ça.. mes deux amants avaient toujours le sourire.. c'est Jean François qui s'est retrouvé entre nous deux, nous tenant chacun dans un bras..

-ça vaut bien un bon petit déj non ? dit Jean François en riant..

On lui a fait un bisou sur la joue chacun de notre côté..

-je voudrais vivre comme ça dit-il avec vous deux, tout le temps à poils.. bander pour vous deux.. vous offrir ma queue et son jus, vous offrir mon cul pour tous les plaisirs que vous désirez! on serait pas bien ?

On a paressé encore un peu tous les trois.. je voyais le gros sexe de Jean François, flasque pour une fois reposer sur sa cuisse.. quel morceau quand même! même mou il était imposant.. et ce corps! musclé comme jamais! un putain de beau mec quoi! et j'avais eu la chance de l'avoir dans mon lit, de me faire baiser et, surtout de le baiser.. car j'ai su par Marcel plus tard.. qu'il n'accordait son cul à très peu de monde.. il fallait être jeune et beau.. m'a dit Marcel sans rire!

J'ai été très fier sur ce coup là!

C'est lui qui s'est levé en premier, disant qu'il allait prendre une douche et rentrer chez lui se changer, car il avait un repas ce midi..

-et une sieste crapuleuse l'après-midi ? demande Marcel en riant

-bien sûr! il va prendre cher le vieil attaché d'ambassade.. car quand je vais le baiser.. je penserais à vos culs les mecs!

Et, il est vite parti.. me prenant dans ses bras pour m'embrasser tendrement, tel un amant heureux..

-je ne sais pas si on va se revoir avant ton départ, car je suis très pris ces jours ci.. mais sache petit blanc que je ne t'oublierais pas! et si jamais tu reviens dans mon pays et que Marcel ne veut plus t'accueillir.. je le remplacerais volontiers..

J'ai encore le goût de son baiser dans ma bouche, sa belle langue chaude et agile.. et son odeur de mâle en rut..

-t'as de la chance m'a dit Marcel.. je ne l'ai jamais entendu dire ça à un mec.. et surtout dire haut et fort ce qu'il fait.. enfin ce que nous faisons tous..

-j'avais compris Marcel dis-je tendrement

Il est venu se blottir dans mes bras, et sans que je demande rien, m'a expliqué leur boulot, comme il disait.. ils connaissaient tous trois ou quatre mecs, pleins de fric, qui aimaient se faire baiser.. certes ils n'étaient pas de première jeunesse.. mais étaient sympa avec eux et payaient bien.. alors ils étaient entretenus par ces mecs.. et étaient heureux comme ça!

Il avait l'air soulagé de m'avoir raconté ça.. il ne souriait plus, certes.. mais je voyais qu'il était content de me l'avoir dit..

-là, j'ai dit à mes mecs que je ne pouvais les voir cette semaine, que je recevais un ami et que je voulais être seul avec lui..

-t'es bien le meilleur des mecs Marcel.. c'est peut être pour ça que je t'aime tant.. et que j'aime tant t'avoir dans mes bras..

-et moi qu'est ce que tu crois ? j'ai tellement rêvé de toi, t'avoir dans mes bras, te sentir, t'embrasser, te caresser, te sucer, t'enculer..

-arrête tu m'excites Marcel..

Il a ri de bon coeur!

-bon on se douche, on va aller déjeuner rapidement et ensuite je t'emmène dans mon endroit secret.. là où je me réfugie quand je veux être seul avec mes pensées.. je veux te le faire connaitre.. à toi! rien qu'à toi!

Là j'avais les larmes aux yeux.. on s'est embrassé en se frottant l'un contre l'autre.. puis il m'a entrainé dans la douche.. une bonne douche crapuleuse avant de sortir au soleil, sous la chaleur..

il m'a fait connaitre un autre petit "restaurant".. où nous avons mangé encore quelque chose de bon..

Puis on a trainé dans la ville.. heureusement que j'étais avec lui.. je serais incapable de revenir à l'hôtel.. il faisait chaud, très chaud.. lui semblait ne pas être gêné par la chaleur.. quand nous sommes arrivés à un grand rond point.. un square fermé au milieu.. on a traversé et il m'a fait passé par dessus un petit mur.. et, me prenant par la main, à l'ombre des arbres.. il m'a emmené jusqu'à un banc en pierre, que l'on ne voyait pas de la rue.. au milieu de la végétation caché par les buissons..

On s'est assis face à face, à califourchon sur le banc.. il m'a pris les mains, et posé sa tête sur mon épaule.. je sentais son souffle dans mon cou..

-je t'aime, tu vas me manquer beaucoup quand tu vas être parti..

Il disait ça d'un air triste, fataliste..

-toi aussi tu vas me manquer mon bébé.. tu sais que tu m'as fait passer mes meilleures vacances depuis longtemps.. trouvé un mec comme toi en plein milieu de l'Afrique, beau, doux, tendre, amoureux comme toi.. j'en suis toujours pas revenu.. je ne t'oublierais jamais tu sais.. jamais

-moi non plus dit-il en se redressant et posant ses lèvres sur les miennes..

Ce baiser fût doux, tendre, passionné.. nos corps se sont rapprochés.. ses jambes sont passées sur les miennes.. le baiser a pris de l'ampleur, les langues s'activaient, les mains caressaient les corps, les têtes, on s'arrêtait pour se regarder, et les lèvres étaient de nouveau attirées comme des aimants, les yeux se fermaient et on se dégustait l'un l'autre..

Nous étions dans le silence, on entendait que les bruits des moteurs de voitures qui passaient autour de nous.. des coups de klaxons.. mais pas un bruit de voix!!

-je voudrais te demander quelque chose dit Marcel, me tenant la tête entre ses mains..

-quoi ?

-que tu me baises ici, sur le banc.. dans ma nature.. comme ça quand je reviendrai, seul.. ce sera mon souvenir à moi.. et je pourrais penser à toi comme si tu étais avec moi..

-ici ? dis-je étonné.. et voyant sa détermination.. j'acceptais.. on se met tout nu ?

-bien sûr dit-il avec le sourire, se relevant et commence à se déshabiller..

On s'est retrouvé nu tous les deux, debout devant le banc, serré l'un contre l'autre.. se caressant.. il est venu me sucer, assis sur le banc.. sucé, léché, les couilles caressées et avalées.. puis il s'est mis à genoux sur le banc, me présentant son cul .. les fesses ouvertes on voyait son anus palpiter d'impatience.. ah il aimait la bite Marcel.. et j'avoue que j'en ai bien profité à ce moment.. après l'avoir inondé de salive, fouillé de deux doigts son petit trou, caressé son intérieur de velours.. j'ai mis ma queue dans le trou.. c'est lui qui a reculé sur ma queue.. gémissant.. il tortillait son petit cul sur ma queue.. je l'ai laissé jouer, faire ce qu'il voulait pour qu'il ait les souvenirs qu'il avait envie d'avoir.. ma queue au fond de lui, il a passé sa main entre ses jambes pour venir me caresser et serrer les couilles.. ses fesses s'ouvraient encore plus.. je donnais de petits coups de reins comme pour aller encore plus profond.. il gémissait de plus en plus fort.. mais le bruit des voitures couvrait tout.. sa main douce caressait mes couilles, les serrant tendrement.. j'ai caressé ses fesses, le claquant par surprise.. le faisant sursauté en criant puis riant..

-encore dit-il

J'ai caressé son dos, faisant glisser mes mains sur cette belle peau ébène .. et je l'ai saisi aux hanches, affermissant mes mains.. il a lâché mes couilles et s'est cramponné au banc.. il était pratiquement en équilibre.. et j'ai ressorti ma queue lentement, appréciant encore une fois son boyau serré.. pour revenir d'un coup sec et ressortir rapidement.. allant de plus en plus vite, de plus en plus fort.. il poussait des "Ahhh" des "Ohhhh" très fort.. mais tendait son cul.. mon pubis claquait sur ses fesses, nos couilles s'entrechoquaient.. et je lui mettais des claques de temps en temps.. cela le faisait rire..

Quand je sentais le plaisir arriver.. je ralentissais.. il revenait me toucher les couilles.. et je reprenais.. toujours aussi fort, toujours aussi sec.. et il râlait, gémissait, ronronnait.. jamais il n'a demandé d'arrêter, de jouir..

Quand j'ai vu l'heure à ma montre.. cela faisait une heure que je le baisais.. oh on s'y était repris en plusieurs fois.. il avait changé de position, s'était mis sur le dos sur le banc, et ma queue glissait toute seule dans son conduit.. le comblant bien au fond.. et c'est dans cette position, le cul bien offert, les jambes bien écartées relevant les fesses, que je me suis vidé en lui.. le regardant dans les yeux.. et voyant son visage s'épanouir au fur et à mesure des giclées qu'il accueillait dans son cul .. et je lui en ai donné du bon jus français.. on était heureux quand je me suis écroulé sur lui, cherchant sa bouche, sa langue pour l'aspirer, avaler toute sa salive.. ses bras me serraient contre lui.. on était seul au monde, entouré de klaxons et de voitures..

Je sentais sa queue d'ébène, dure et raide entre nos corps.. j'ai réussi à me séparer de sa bouche pour venir recevoir ma récompense.. mais il s'est relevé d'un bond.. m'a fait allonger sur son banc.. la tête dans le vide.. j'ai compris ce qu'il voulait.. me baiser la bouche..

J'ai juste eu à ouvrir la bouche, tirer la langue et le laisser faire.. sa grosse queue noire a coulisser dans ma bouche, s'arrêtant juste à la luette, j'ai fermé les lèvres dessus et la queue à coulisser telle un piston dans son conduit.. il s'est allongé sur moi, et j'ai senti sa langue venir lécher ma queue dans tous ses recoins.. même les couilles y ont eu droit.. et il a recommencé sa baise.. ses mains parcouraient mon torse.. et sa queue coulissait bien, je trouvais qu'elle grossissait.. et quand il s'est bloqué.. heureusement que j'étais dans cette position.. tout à couler dans ma gorge.. je n'avais qu'à déglutir..

Il a sorti son engin doucement de ma bouche, m'a aidé à me relevé, s'est assis sur mes genoux pour m'enfouir sa langue dans la bouche, comme s'il cherchait des restes de son sperme..

-je t'aime m'a-t-il dit

-moi aussi je t'aime..

On devait être mignon tous les deux à poils au milieu de la végétation.. on est resté un moment à ne rien dire dans les bras l'un de l'autre, se caressant, s'embrassant.. je trouvais qu'il faisait de plus en plus sombre.. car la nuit tombe vite le soir..

-ça va bébé ?

-oui dit Marcel je suis très heureux d'avoir fait ça avec toi ici! il n'y personne d'autre qui connaitra cet endroit..

Il avait les larmes aux yeux quand il m'a embrassé .. je l'ai serré fort contre moi..

On a fini de se rhabiller, et sortir de notre cachette.. on était bien là tous les deux!

-tu repars quand exactement ? demande Marcel

-encore deux nuits avec toi dis-je en lui serrant la main..

-alors on les passe que tous les deux si tu veux bien..

-bien sûr que je veux bien.. je suis très content d'avoir connu tes amis Michel et Jean François.. mais c'est bien toi le meilleur mon bébé..

-alors on va dîner.. puis on rentre à l'hôtel, demain on prendra le bus pour visiter un parc zoologique.. que tu vois quand même la faune africaine et on passera notre dernière nuit ensemble..

Et on a fait comme il disait.. on est allé dans un autre "restau" pour ne pas rencontrer ses potes.. qui se seraient sûrement invités à l'hôtel..

A 22 heures, on était nus sous la douche.