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Chapitre 4
J'ai passé pratiquement 5 mois de bonheur intense.. je lui avais proposé ça, parce que cela me faisait envie.. mais je n'avais encore jamais vécu avec quelqu'un plus de deux jours..
Alors, forcément, ce fut un changement pour moi.. et pour lui!
Autant quand il venait passer la nuit, je ne l'ai jamais senti gêné avec moi.. il faisait ce qu'il voulait dans l'appart.. comme chez lui.. mais là, qu'il s'était installé.. mêlant ses boxers aux miens, les chaussettes.. on se chamaillait comme des gosses heureux, de comment disposer les affaires pour qu'on ne se trompe pas..
On le faisait exprès d'ailleurs de se prendre nos boxers.. et on faisait la bagarre pour se les retirer..
J'étais heureux et je pense qu'il l'a été aussi.. on était dans le même lit, corps contre corps et les bisous et caresses pleuvaient.. et après une bonne nuit on partait au travail comme si de rien n'était.. on arrivait séparément à sa demande pour ne pas que je sois gêné, disait il.. je ne l'ai jamais été d'afficher mon amitié pour le rebeu vigile..
On bossait, on sortait de temps en temps et on baisait.. surtout!
Oh pas des baises sauvages tous les soirs! mais on se vidait.. faut toujours évacuer le stress de la journée disait Mourad.. et qu'est ce qu'on était stressé!
Ces cinq mois sont passés trop vite..
On était pas tout le temps l'un sur l'autre.. je savais qu'il faisait des recherches pour trouver un appart, mais il en voulait un près de la cité où il avait vécu..
Mais ce qui est arrivé plus rapidement, c'est son changement de boulot.. je le voyais souvent consulter les petites annonces.. jusqu'au jour où je l'ai entendu hurler..
Je me suis précipité dans la chambre.. pour le voir à poils sur le dos tenant sa tablette serrée contre lui..
-y se passe quoi ?
-le boulot que je cherchais depuis longtemps, la place de chef des vigiles dans un grand centre commercial..
-où ça ?
-tu devineras jamais.. celui près de la cité où j'ai grandi.. les diplômes qu'ils demandent je les ai, les années d'ancienneté aussi.. il me faudra juste une lettre du directeur de la banque pour dire que je suis un bon élève et que je travaille bien..
-et t'es sûr d'avoir le poste Mourad? je veux pas t'inquiéter mais dans ce domaine y'a beaucoup de demandes tu sais..
-oui je sais.. mais si je postule pas je pourrais pas le savoir..
-qui c'est qui a passé l'annonce ?
Et le voilà parti de chercher.. me donner le renseignement.. et me voir sourire..
-pourquoi tu souris comme ça ?
-parce que je connais le mec qui a passé l'annonce..
-bah mais tu le connais comment ?
-c'est un bon client de l'agence.. et figure toi que je le vois dans deux jours à mon bureau..
-et ?
-et si tu veux je te le présenterais.. juste en disant que tu es notre chef de la sécurité et que tu es très compétent.. on verra bien ce qu'il dit.. t'en penses quoi ?
-tu ferais ça pour moi ?
-ben oui! sinon qui va le faire ?
Les larmes lui venaient aux yeux, je l'ai pris dans mes bras, le serrant contre moi, joue contre joue..il reniflait..
-je te remercie Fabrice, je n'arrêterais jamais de te remercier..
-ben t'es mon meilleur ami, mon meilleur amant et je t'aime! il faut bien que je te le dise.. je t'aime! alors tu peux tout me demander je ferais tout ce que je peux ..
Il m'a renversé sur le lit, j'étais en boxer et tee-shirt.. lui à poils, il est venu m'écraser de son beau corps de rebeu.. m'enlevant mon boxer qui reste coincé dans mes pieds.. et ce que j'adorais avec lui, frotte nos queues l'une sur l'autre, les fait rouler, sa bouche prend la mienne.. et sa langue vient caresser mes amygdales.. et on a pas mis longtemps à jouir en gémissant et râlant..
-t'es un amour Fabrice.. je sais que tu m'aimes, mais je t'ai déjà expliqué..
J'ai mis un doigt sur sa bouche..
-dis moi juste une fois que tu m'aimes aussi Mourad..
Ses yeux pétillaient de mille étoiles, son beau sourire sur ses lèvres, sa langue pointait prête à servir.. il les a déposé tendrement sur les miennes.. m'a regardé..
-oui je t'aime Fabrice..
Et il est revenu mettre sa tête dans mon cou me faisant plein de bisous..
J'étais le plus heureux des hommes!
Deux jours après je recevais son futur employeur qui avait un problème de trésorerie à résoudre, et comme j'avais naturellement une solution et que je savais qu'il en serait content, on avait mis en place un petit scénario avec Mourad.. il devait se pointer dans mon bureau pour me faire part de quelques soucis.. et j'en profiterais pour le présenter..
Tout c'est déroulé comme sur des roulettes.. ce monsieur d'une cinquantaine d'année, avait déjà repéré Mourad dans la banque.. c'est vrai que quand on le voyait c'était dur de ne pas s'en souvenir.. même si on est pas gay! et mon client ne l'était pas!
Ils se sont parlés tous les deux, je suis sorti de mon bureau pour finaliser les papiers du clients et je ne suis revenu qu'un quart après, au moment ou Mourad sortait de mon bureau, son beau sourire aux lèvres..
-je peux vous poser une question monsieur Fabrice P. ?
-bien sûr..
-vous saviez que je cherchais un nouveau chef de la sécurité ?
Il me fixait, mais gentiment.. alors je n'ai pas chercher à finasser..
-oui dis je, c'est Mourad qui m'a dit qu'il cherchait une autre place, plus importante pour sa carrière, qu'il avait vu cette annonce et, comme on se connait bien maintenant et que j'ai toute confiance en lui, il m'a demandé ce que j'en pensais.. et, quand j'ai vu votre nom, je lui ai dit que je pouvais vous le présenter.. j'espère que je n'ai pas fait d'impair.. j'ai juste voulu rendre service, donner un coup de pouce à un ami..
-ah ah je reconnais bien les banquiers dans les tractations.. mais vous savez mieux mentir que votre chef de sécurité..
-c'est pas vraiment un mensonge.. de toute façon je ne suis pas intervenu pour vous forcer la main en aucune façon.. je n'aimerais pas ça non plus! il faut toujours garder son libre arbitre..
-mais vous allez quand même me dire tout ce que vous en pensez de ce monsieur Mourad B., car le poste que je propose a besoin d'un type chevronné, à poigne mais sachant ne pas envenimer les choses..
Nous avons parlé de Mourad pendant un quart heure environ.. j'avais jamais vendu un mec! j'ai vendu mon pote, mon amant.. en disant bien sûr tout ce que je pouvais dire..
Et c'est lui qui a conclu..
-il va m'envoyer sa demande par mail avec les documents demandés, plus la lettre de recommandations de la banque bien sûr, m'assurant qu'il n'y a eu aucun problème avec lui.. et je vous promets de le recevoir sur les lieux du futur travail .. mais je dois être honnête il y a beaucoup de demandes.. c'est vrai que beaucoup sont fantaisistes.. alors c'est la raison pour laquelle je demande tant de documents..
J'étais heureux pour Mourad, mais ce n'était pas gagné!
Le futur employeur de parti, Mourad revenait dans mon bureau..
S'il avait pu me sauter au cou et m'embrasser.. on aurait baisé dans le bureau.. mais il a fallu attendre le soir!
Mourad est allé à deux rendez vous.. il trouvait ça long.. mais le fait d'aller à un deuxième rendez vous était bon signe.. et c'est ainsi qu'il reçoit une réponse favorable.. avec une augmentation substantielle, et un logement qu'il paiera bien sûr mais qui appartient à l'entreprise et qui se trouve juste en limite de la cité où il a grandi..et disponible!
Si vous n'avez jamais vu un beau rebeu heureux.. il fallait voir Mourad ce jour là quand il est revenu à la maison m'apporter la bonne nouvelle.. qui pour moi me désespérait quand même un peu car ça voulait dire qu'on allait se quitter.. ne plus vivre ensemble! je m'y étais habitué moi! à mon beau rebeu, doux, dur, sensible, caressant, aimant faire des bisous et dire autant de mots doux que de saloperies qui le faisaient rire aux éclats.. j'allais perdre tout ça! d'un seul coup..
Il a fait un mois de préavis à la banque, mais a pu avoir son appart tout de suite.. si bien que je l'ai aidé à l'aménager.. il n'avait rien.. il fallait tout acheter et, pour la première fois il a pioché dans l'assurance vie laissée par son grand ami Paul..
Equiper la petite cuisine n'a pas été un problème, mais pour la chambre.. il voulait un très grand lit.. un matelas dur.. alors dans le magasin on a essayé les matelas, se couchant l'un à côté de l'autre, il roulait sur moi disant "on fait semblant de baiser pour voir si le matelas tient le coup" devant le regard rieur de la vendeuse.. moins chochotte que le vieux vendeur qui nous regardait d'un air réprobateur.. enfin ce fut une joyeuse rigolade d'équiper son appartement..
Quand le lit et le matelas on été installé.. son appart était prêt à le recevoir.. mais il restait encore avec moi.. comme si on avait peur tous les deux de se séparer.. le vendredi soir arrivant, en rentrant chez moi, dans l'ascenseur, il me prend la main
-on fait rien de spécial ce soir ?
-on peut faire comme tu veux Mourad, c'est le week-end
-alors tu te changes et je t'emmène..
C'est vrai qu'il n'aimait pas trop sortir avec moi quand j'avais ma cravate.. alors je me suis mis en voyou comme il dit si bien..
-on va où ?
-d'abord on va dîner comme deux bons potes qui s'aiment et s'apprécient et après ? ben surprise mec!
On est allé dîner, je dirais que cela s'est passé rapidement.. il pressait le service.. il a tenu à payer en me disant "tais toi le banquier"!
En sortant du restaurant, il m'a pris par la main et m'a entrainé dans le métro.. j'ai vite reconnu qu'il prenait la direction de son appart .. quand on est sorti il n'y avait pas de doute..
-toi t'as une grande idée derrière la tête Mourad.. dis je malicieusement
-peut être, mais je sais pas si elle va te plaire.. je l'espère Fabrice..
C'était dit d'un ton timide qui ne lui ressemblait pas..
Nous sommes arrivés à l'appartement, il m'a fait entrer, m'a pris dans ses bras, m'a embrassé tendrement..
-je veux que tu sois le premier mec qui passera la nuit dans mon lit avec moi.. ça te va ?
-c'est ton cadeau d'adieu ? dis je quand même un peu sèchement
-ne complique pas tout Fabrice! j'essaie de faire au mieux, pour que tout se passe bien..
-donc on se reverra plus, je n'aurais plus l'occasion de te tenir dans mes bras comme ce soir ?
-ais je dit ça ? tu sais ce que je veux faire dans la cité d'à côté et pour le faire il faut que je sois seul.. que je ne t'entraine pas dans mes galères.. tu comprends ça petite tête de banquier ?
Sa main douce et chaude me caressait la joue, ses lèvres étaient presque sur les miennes..
-je te jure que je vais tâcher de faire durer cette situation le moins longtemps possible, pour avoir ensuite l'occasion de m'occuper de toi à plein temps.. je suis sûr que tes petits cris de salope en manque vont me manquer.. je vais être obligé de te tromper Fabrice, pas par plaisir.. mais pour arriver à mes fins.. tu m'as obligé à te dire que je t'aimais.. mais là, ce soir, je veux que tu saches que ce n'était pas une obligation.. c'est vrai que je t'aime, je t'adore et que j'aime vivre avec toi..
J'ai clos son flot de paroles par un baiser..
-de toute façon je vais pas me mettre en chasse de suite.. il faut que je pense à mon nouveau travail, j'ai plein de choses à organiser pour que ça fonctionne.. alors j'ai encore une proposition..
Je le regardais avec amour, qu'est ce qu'il allait encore inventer?..
-je te propose de venir en vacances une semaine sur deux chez moi ?
-en vacances ??
-enfin vivre avec moi.. être tous les deux..
-et l'autre semaine ? on se repose ?
-t'es bête quand même pour un banquier.. ben non l'autre semaine c'est moi qui viens en vacances chez toi!
J'ai quand même été obligé de rire.. je riais encore quand il s'est penché pour me soulever dans ses bras, je m'accrochais à son cou pour l'embrasser tendrement..
-tu m'emmènes où ?
-ben au lit! faut bien étrenner le matelas tout neuf!
Ah pour être étrenné, il a été étrenné ce matelas.. on pourrait en faire des galipettes dessus avant de l'attendrir..
Autant j'avais apprécié, aimé la première nuit que l'on avait passé chez moi.. que celle passée chez lui a été une merveille.. ah baiser un vendredi soir quand on a tout le week-end devant soit..
Il m'a remis sur mes pieds, me toisant, son sourire vicieux aux lèvres.. ses yeux étincelaient et riaient ..
-comment monsieur le banquier veut il être dégusté ce soir ?
-avec la bonne sauce de monsieur le vigile en chef!
-ça tombe bien! dit il je crois que la réserve est pleine..
Il m'a poussé sur le lit, s'est déshabillé rapidement.. je regardais autour de moi.. en fait c'était la première fois qu'on allait baiser ailleurs que chez moi! et de voir mon beau rebeu, nu, bite raide, son torse bien taillé avec ses abdos apparents (pas comme les miens!), c'est vrai que je croyais être en vacances avec lui, quelque part..
Comme il adore mes pieds.. il a commencé par là.. je trouvais cette pratique de plus en plus bandante, sa langue entre mes orteils ou ailleurs me donnaient des frissons et je bandais encore plus.. j'aimais sa langue, ses bisous quand il caressait mes jambes.. et que dire, quand il s'attaquait au service trois pièces.. sentir son haleine chaude sur ma bite.. j'avais l'habitude qu'il passe sans y toucher plus pour me faire jouir plus tard.. mais ce soir là, il s'est attardé pour mon plus grand plaisir.. car il prenait son temps avec ma queue non coupée comme il disait.. il regardait avec ses yeux brillants le prépuce recouvrir ou non le gland.. il passait sa langue entre le prépuce et le gland, en faisait le tour.. là je gémissais comme un puceau qui se fait sucer pour la première fois.. et il jouait longtemps en me caressant les couilles, j'aimais ce moment où il les prenait en mains, pour faire mine de les écraser dans sa main.. et, quand il avait fini de jouer avec ma queue et le gland surtout.. il noyait mes couilles dans la salive de sa bouche.. de temps à autre, il passait sa main sous mes fesses et son doigt entrait en moi délicatement.. et il revenait sur ma queue décalottée et la suçait comme un affamé! et il a toujours faim Mourad.. je sentais ses lèvres, sa langue oeuvrer et son doigt qui fouillait mon petit cul.. je levais mon cul pour que son doigt aille plus loin.. et en même temps que ma queue s'enfonce encore plus dans sa bouche..
Et, là il suçait jusqu'à ce que je lui donne ce qu'il était venu chercher..
A peine fini de tout avaler et bien nettoyer pour que rien ne se perdre.. il met mes jambes sur mon torse, siffle d'admiration..
-ton petit cul demande monsieur le banquier , je vais être obligé de procéder à un investissement..
-faite monsieur le vigile en chef..
Il souriait en se penchant sur moi, et, comme toujours je sentais son gland chaud, dur et doux chercher l'entrée.. le sentir sur la muqueuse, m'ouvrir en s'enfonçant lentement.. je poussais pour m'offrir à mon bon Mourad qui me regardait grimacer quand même.. mais s'arrêtait quand il se doutait que cela devait me faire un peu mal.. et quand toute la viande est rentrée.. ben c'est la fête à mon cul!
Toujours aussi tendre Mourad, mais toujours aussi raide et profond.. ses coups de reins je les sentais dans tout mon corps..il m'ouvrait les fesses avec ses deux mains posées sur mes cuisses, et son bon sgeg coulissait en moi comme dans un fourreau.. on se regardait, on gémissait en même temps jusqu'au moment où il se déversait en moi.. sentir cette vague de sperme chaud m'inonder et presque me brûler l'intérieur me faisait gueuler de plaisir.. et Mourad faisait l'écho.. pour tomber sur moi..
Mais ce soir là, il n'a pas lâché mes cuisses, les remontant encore, son sgeg n'avait pas débandé, je le sentais palpiter encore en moi..
Il m'a embrassé tendrement, m'a regardé..
-tu veux le deuxième round de suite ?
-j'voudrais pas te fatiguer après une semaine de boulot..
-tu vas voir si je suis fatigué.. attends cinq minutes!
-ah! il te faut quand même cinq minutes pour recharger les piles!
-mais t'es quand même un voyou mec! t'as mon zob qui bande dans le cul et tu dis qu'il me faut cinq minutes pour recharger..
-euh je te ferais remarquer que c'est toi qui l'as dit en premier..
Le deuxième round a commencé de suite.. et ce n'était pas le Mourad câlin.. il m'a vraiment baisé comme les salopes qui vont se faire bourrer dans les caves de cité..
Lorsqu'il ralentissait.. je me moquais de lui gentiment.. disant qu'à son âge il ne devrait pas s'arrêter comme ça tout le temps.. il riait le Mourad et repartait à l'assaut!
Et finalement j'ai eu droit à ma deuxième rasade.. aussi fournie que la première..
Il a lâché mes cuisses et s'est allongé sur moi.. sa queue sur la mienne, bouche à bouche, les langues jouaient ensemble..
-tu m'as vidé mon chéri! ton cul est magnifique, généreux et très agréable..
Je souriais..
-alors comment veux tu que je l'oublie ?
Avant que je dise quelque chose, sa langue jouait avec la mienne.. on a roulé sur le lit, ne faisant qu'un, je bandais, lui aussi!
-il est pas mal le matelas dit Mourad, t'en penses quoi ?
-quand je t'aurais baisé comme une salope de rebeu, à quatre pattes, le nez dans les draps.. je pourrais te dire s'il est solide!
-oh monsieur joue les prétentieux!
On a roulé encore et encore dans le lit.. des bisous, des caresses, des frottements, des doigts qui visitent les trous, une langue qui fore son petit trou de rebeu.. il écarte de lui même ses fesses et mon bonheur arrive quand je m'enfonce en lui.. l'entendre gémir au fur et à mesure de l'avancée de ma queue dans son petit cul chaud et humide.. l'entendre râler en se donnant, s'offrant le plus possible.. lui claquer les fesses fortement jusqu'à voir les marques, l'entendre gueuler et dire
-vas y baise moi comme la salope de rebeu que je suis! j'aime ta queue petit blanc, enfonce la bien! baise moi encore plus fort!
Comment voulez vous ne pas faire plaisir.. et ramoner ce beau cul, faire claquer son pubis sur les fesses, sentir ses couilles frapper les siennes, jouir, se vider en gueulant pendant qu'il râle en serrant les draps de ses poings..
M'entrainer sur lui, ma queue encore en lui.. l'embrasser dans le cou, le mordiller, le mordre plus fort pour l'entendre crier puis rire..
-bouge pas! tu vas me faire le deuxième round.. mais dans 10 minutes..
On a ri tous les deux..
La nuit n'était pas finie.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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