Premier épisode
Chapitre 2
Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, j'ai entendu du bruit dans la cuisine. Javier dormait dans la même position qu'il s'était endormi! Je bandais comme un cerf d'avoir ce beau corps collé au mien et je sentais bien qu'il était dans le même état, mais il dormait comme un sonneur, beau comme un dieu colombien! Il avait toujours cette petite moustache ultra fine, douce lorsqu'il embrassait, qui lui donnait un air sérieux, alors qu'il était un vrai coquin!
J'ai réussi à m'extirper de ses jambes, il a grogné, s'est retourné, me montrant ses belles fesses que je n'avais pas encore bien visité, mais il venait d'arriver!
Lorsque je suis arrivé dans la cuisine, Louis faisait du rangement en attendant que le café coule, du café colombien amené par nos amis!
-alors mon chéri n'a pas trop mal au cul ce matin ?
-quelle délicatesse tu as ce matin mon chéri! même pas un bisou, même pas une caresse!
Je le prends dans mes bras, le serrant contre moi pour l'embrasser.
-alors ta nuit n'a pas été aussi torride que tu pensais à voir la tête que tu fais ? tu vois mon chéri, rien ne vaut le français quand même!
Il rigole.
-Parce que toi c'était la fête peut être ?
-une petite fête, je crois qu'il était bien fatigué du voyage le beau Javier dis-je pensif.
-pareil que Diego, juste un bon câlin, une vidange et il s'est endormi! dit Louis en riant.
-bah tu te rattraperas ce soir mon chéri!
-oui mais je bande comme un ouf ce matin! dit Louis en me prenant la main pour la poser sur sa queue, et c'est pas en me faisant des bisous comme ça que ça va s'arranger!
-faudrait savoir ce que tu veux au réveil! dis je en riant, bah après une bonne douche ça va te calmer, j'ai faim ce matin tiens! le pain est grillé ?
-si Sa Majesté veut s'installer, son serviteur va le servir! dit Louis en se courbant devant moi.
On commençait juste à déguster notre petit déjeuner que Javier pointait son nez, suivi quelques instants après de Diego. Les visages étaient encore pleins de sommeil, mais ils avaient le sourire en venant s'asseoir sur nos genoux pour nous faire des bisous et nous remercier encore de les accueillir!
Petit-déjeuner, douche et une heure après ils étaient parés pour aller dans Paris, pressés de sortir, pressés de découvrir, surtout Javier. Diego connaissait un peu Paris, il avait surtout visité des culs de parisiens lors de son séjour, et les monuments avaient été laissé de côté!
Ils voulaient voir la Tour Eiffel en premier, alors on y est allé en premier. Reniflant les odeurs dans le métro comme de jeunes chiots, profitant du monde pour se serrer contre nous, nous faire des bisous rapides, pensant que personne ne voyait!
On s'est baladé au Trocadéro, descendant par les jardins pour traverser la Seine, prendre des photos, et monter dans la célèbre Tour! On n'était pas mécontent de faire cette visite, car cela faisait bien longtemps qu'on n'était venu à cet endroit!
Paris était à nos pieds, il y a eu beaucoup d'explications de donner!
Quand on est redescendu, on s'est baladé aux alentours, du monde, du monde, toujours du monde!
On a déjeuner sur le pouce, et nous sommes allés à Notre Dame.
Les colombiens sont de fervents chrétiens et la visite de notre Cathédrale était obligatoire pour eux, mais ils furent déçus! Les travaux ne sont pas finis! Mais on s'est promené aux alentours, dans le quartier Latin et, le soir venu on a trouvé un petit restaurant sympa, dans les petites rues.
J'avoue qu'il y avait longtemps que je n'avais pas tant marché dans Paris en une seule journée! J'étais lessivé et je voyais bien que Louis l'était également. Mais nos touristes, le repas terminé sont tombés sous le charme de Paris la nuit! C'est vrai, il faut le reconnaître que c'est magnifique, le quartier St Michel n'y échappe pas, en plus il y a de l'animation!
Javier ne me quittait pas, quand on s'arrêtait, aussitôt je sentais sa main caresser la mienne ou carrément la prendre, on se regardait, il souriait ses yeux pleins d'étoiles. Je le trouvais de plus en plus beau!
Diego pareil, faisait son grand amoureux avec Louis, je n'entendais pas tout ce qu'il lui disait à l'oreille, mais mon Louis riait et lui faisait souvent des bises!
C'est en allant vers Beaubourg que j'ai senti la fatigue encore plus et que j'ai proposé de rentrer, il était près de minuit quand même!
Javier est venu se coller à moi, juste sur le pont entre la Cité et le Châtelet.
-je voudrais pas que tu sois aussi fatigué que moi hier soir Fabrice car j'ai bien envie que tu profites de moi ce soir! tu sais ce que j'ai envie ? dit il de son air coquin et vicieux.
-je m'en doute jeune voyou colombien! tu voudrais voir si la queue française est aussi bonne à Paris qu'à Bogota ?
-j'ai eu un bon aperçu hier soir quand même dit il rêveur, mais j'avais tellement envie de dormir, que je t'ai laissé tomber!
-c'est pas grave, je vais me rattraper ce soir voyou! je vais te faire crier dans mes bras ce soir!
J'ai aimé cet instant quand il a posé sa tête sur mon épaule et ses lèvres qui venaient me caresser le cou! Je l'ai serré contre moi, fort, très fort!
-tu m'étouffes Fabrice! dit il en soufflant.
Je lui redresse la tête, et au milieu du pont je l'embrasse tendrement me foutant éperdument des badauds!
Ses bras m'ont serré, son corps a épousé le mien, son bassin s'est collé, on bandait tous les deux! Et nos langues ont joué un long moment ensemble, jusqu'à ce que Louis et Diego viennent nous taper sur l'épaule en riant.
-je crois qu'il va être temps de rentrer les amoureux, a dit Diego.
Et c'est ce que nous avons fait, le plus rapidement possible! la ferveur des colombiens était bel et bien revenue!
J'ai juste eu le temps de boire un verre d'eau dans la cuisine, que Javier m'entraînait dans la chambre! Diego et Louis avaient déjà disparu!
Sans un mot Javier m'a déshabillé complètement, me prenant par une main il m'a fait tourner sur moi-même! Il souriait le voyou!
Il s'est mis nu rapidement pour venir dans mes bras, me faire des bisous et me dire qu'il m'aimait encore plus!
Nos langues jouaient ensemble lorsqu'il m'a pris la main pour la poser sur ses fesses, m'a regardé,
-touche mon petit trou Fabrice, vois comme il est prêt à te recevoir! je veux que tu me baises comme tu l'as déjà fait, tu m'as promis de me faire crier tu as dit tout à l'heure sur le Pont!
J'ai repris ses lèvres pour le faire taire et mes doigts filent dans sa raie, retrouvant l'endroit chaud et humide, touchant l'anus fermé en même temps que le gémissement de Javier entrait dans ma bouche!
Je titille son petit trou, il tend son beau cul ferme, du majeur je le masse, il gémit encore plus, le cul se tend encore, il pousse et mon doigt est aspiré, ça glisse dans l'entrée chaude, juste une phalange pour doigter l'entrée et le faire relever la tête,
-j'veux ta queue Fabrice!
-tu vas l'avoir voyou! mais avant je veux me rappeler de ton petit cul, tu sais moi aussi j'y ai souvent pensé à ton petit cul si accueillant mon bébé, et aussi à ta belle queue, tu te souviens quand tu m'as fait l'amour au fin fond de la Bolivie ? moi j'en garde un très bon souvenir tu sais! tu es doux, tendre.
-si t'arrêtais de parler! dit-il en riant.
Je l'ai traité de voyou en le poussant sur le lit, il tombe sur le dos et ses jambes se relèvent immédiatement, bien ouvertes, la raie imberbe bien dégagée et l'anus est là! Un bel anus déjà entrouvert qui ne demande qu'à être utilisé…
Je me mets à genoux, les mains sur les fesses, les ouvrant encore plus et je viens passer mon nez dans la raie, toucher l'anus avec mon nez, respirer son odeur de cul colombien, de beau cul colombien! Et ma langue entre en action, dès le premier passage dans la raie, Javier gémit comme il sait si bien le faire, ses mains écartent encore plus ses jambes, comme un crapaud sur le dos! Ma langue touche l'anus qui s'ouvre comme une fleur qui éclos! Je fais le tour du petit trou, je donne de petits coups de langue, il gémit, pousse de petits cris, mais quel plaisir de lui bouffer le cul à Javier!
Je ne m'en prive pas, son trou est ouvert, et reste ouvert! J'ai mal à la queue tellement je bande, je sens la mouille couler, j'en récupère et l'étale sur le trou, je dépose de la salive, l'étale avec un doigt! Que c'est doux un cul ouvert, je touche la muqueuse, le faisant râler!
Quand il me voit apparaître au dessus de lui, il me fixe, son beau sourire aux lèvres, sa langue de sortie lèche ses belles lèvres, inondant la petite moustache tendre! Le trou est bien ouvert, je décalotte complètement mon gland, mouillant bien la tête et la pose sur l'entrée en me penchant sur Javier!
Je sens ses lèvres annales envelopper mon gland qui entre lentement, son visage s'est crispé, il voudrait fermer les yeux, mais les rouvre pour me regarder et sourire!
Le gland s'enfonce lentement ouvrant encore plus l'entrée, je grogne, il râle et d'un seul coup le gland est passé! Il pousse un cri vite refréné en se mordant la lèvre!
Je lui souris en donnant de petits coups de reins, il sent bien ma queue entrer en lui, le remplir, l'ouvrir, se refermer sur ma queue, l'enserrer, le serrer de plus en plus fort! Il râle de plus en plus fort, jusqu'au moment où mes couilles viennent lui caresser les fesses et qu'il soupire de soulagement! Je suis appuyé sur ses cuisses! Je donne de petits coups de reins, à chaque, il crie en riant!
-ça va mon bébé ?
-vas-y maintenant mon amour!
Pourquoi décevoir quelqu'un qui a fait tant de kilomètres pour au moins ça!
Comme dit Louis : met la machine à baiser en route!
Et quel plaisir que ce petit colombien! Quand j'ai commencé à me retirer, sentir son conduit serrer ma verge avec douceur, chaleur, je n'avais qu'une envie revenir bien au chaud! Alors je l'ai baisé comme un sauvage, un sauvage qui n'aurait pas baisé depuis une éternité! Le voir et l'entendre gueuler sous mes coups de reins, son trou bien ouvert, ma queue coulissait de tout son long dans le conduit! On râlait, on gueulait ensemble!
Je l'ai fait bouger, sur le côté, les jambes serrées sur ma queue qui coulissait en lui, puis à quatre pattes où il a tendu son cul encore et encore! Plusieurs fois j'ai eu envie de jouir, plusieurs fois je me suis retenu!
Mais quand le plaisir est monté rapidement, que j'ai bien senti que là je ne pouvais pas m'arrêter, il a gueulé à la première giclée, je l'ai redressé dos à mon torse, il s'est enfoncé encore plus sur ma queue qui se déversait en lui en de longues giclées chaudes et abondantes! J'ai attrapé sa queue qui bandait comme un jeune cerf, le mordant dans le cou je l'ai branlé avec frénésie, le faisant hurler cette fois quand il a joui en de longues giclées qui retombent de l'autre côté du lit!
Je sentais ma queue nager dans son cul, nager dans mon sperme et ses fesses la tenaient serrée comme un étau!
Je l'ai fait s'allonger sur le ventre sur le lit, toujours fiché en lui tellement il me serrait la queue!
Je lui ai fait plein de bisous dans le cou, sur le dos, les épaules, le respirant, le léchant pour l'entendre ronronner! Je suis venu lui lécher le lobe de l'oreille, cela le faisait rire, faire des bisous sur la joue, essayer de prendre ses lèvres qu'il faisait semblant de me refuser en tournant la tête, riant dans les draps, alors je lui ai mordu, tel un fauve, le cou à pleines dents, le faisant encore une fois hurler!
Et on s'est mi à rire, j'ai senti ses fesses se détendre me libérant pour que je m'allonge près de lui , pour essayer de l'embrasser, mais encore une fois, il s'esquive, fonce sur ma queue en tournant son corps pour m'offrir la sienne qui bande encore!
Nous voilà reparti dans le bon 69, goûtant encore une fois nos queues raides, nos grosse queues encore pleines de jus et le plaisir est vite revenu, pour finir par se lécher consciencieusement et qu'il revienne dans mes bras, les yeux brillants, heureux comme moi je l'étais pour m'offrir ses lèvres tendrement, frottant sa petite moustache qui ne piquait pas!
-je t'aime!
On l'a dit ensemble, on allait rire quand un hurlement s'est fait entendre!
On a franchement rigolé en reconnaissant la voix de Louis! Alors il avait ce qu'il voulait mon voyou de chéri!
Javier me regarde en souriant, me caresse la joue,
-t'es pas jaloux quand même ? me dit-il sérieusement
-un peu quand même tu sais, je l'aime beaucoup mon Louis!
-si tu l'aimes comme moi je t'aime alors je te comprends!
Et l'on s'est endormi, j'avais une pieuvre dans mes bras!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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