Premier épisode
La suite. (hard)
J’avais 20 ans et pour me faire un peu de thunes, je faisais le père Noël avec un autre jeune Maxime, dans un très grand magasin. J’avais partagé avec lui le job et pas mal d’expérience de sexe. Mais Maxime n’avait pas pu rester tout les mois de novembre et décembre, il avait été remplacé par Luc. Un solide gaillard de 21 ans, sportif, rugbyman, qui avait besoin d’argent également. On se retrouve comme convenu, ce lundi matin devant le magasin à 9h00, je guide mon nouveau collègue vers le local ou on peut se changer. On ne commence qu’à 10h00, on se désape tous les deux. Luc est très solide et très poilu. Il respire le mâle, mon sang ne fait qu’un tour, mon sexe se déploie dans mon boxer. Il est pudique, il me tourne le dos pour se déshabiller, ses cuisses sont puissantes et noires de poils drus. Son slip est trop petit pour contenir ses fesses, la naissance de son sillon fessier me mets dans tous mes états. Des poils sont sur ses reins et sur son cou. En slip il se retourne vers moi et là c’est le choc, sans me faire gauler, je mate son paquet, j’en ai le souffle coupé, son membre, en demi molle, est à l’horizontale… whaou, quel morceau. Hyper large, il distend ce malheureux slip.
« Eh mec il est où l’habit du père Noël ? » me demande t’il d’une voix rauque
« Attend on nous l’apporte dans 10mn, il revient du pressing »
On est assis face à face, ce mec, cet homme est charmant, j’ai hâte de prendre la douche avec lui… son entrejambe est le double du mien, il y dégage une puissance virile, un sexappeal mortel… je kiffe les poilus et là je suis servi… ses muscles sont saillants, ses biceps sont honteusement gonflés, une double veine les traverse, il est plutôt sec, il est veineux de partout. Il me raconte sa vie, ses études, son rugby. Il ne me parle pas de copine…
« Et toi, tu as une copine ? » me demande t’il…
« Euh, ben en ce moment non… »
« Tu as l’air branché mec… ça se voit… »
A ce moment-là la porte s’ouvre sur Djibril, le gardien qui nous apporte nos costumes, je suis sauvé par le gong…
Je l’aide à mettre sa veste, je sens la chaleur et l’odeur de son corps, j’ajuste son pantalon, accroupi devant lui, juste en face de son bulge, que j’essaye de dissimuler avec le bas de sa veste. Ce costume est visiblement trop petit pour lui, son corps déborde, il est mince, son ventre est très rentré, et le coussin sensé lui faire un gros bide est insuffisant.
Il n’a pas pu ne pas voir que je bandais, mais il l’a ignoré, respectueusement, avec classe. Quand je l’ai aidé, j’ai humé son odeur corporelle, un mélange de savon et de phéromones puissants. Je vais garder cette odeur toute la journée dans le nez. Plusieurs papas de bambins ont rallumé ma flamme, ces beaux trentenaires, malgré leur manteau, m’ont séduit, je suis un cœur d’artichaut en manque de sexe. Plusieurs auraient fait mon affaire… bon un père noël pervers n’était pas admissible, alors j’ai rongé mon frein, me suis gavé de papillotes, été gentils avec les marmots, courtois avec les parents. Certains m’ont glissé un billet d’étrenne dans ma poche, bref des gens gentils. On a été invité par la direction à déjeuner à la cafétéria du magasin, on avait retiré notre barbe, pas notre costume, j’ai fait une tâche de sauce sur ma veste, Luc s’est levé, et collé à moi, son sexe collait mon bras, a gentiment nettoyé la tâche avec une serviette. Je me suis laissé faire, baigné dans ses effluves de mec, de mâle. Il discutait bruyamment, rigolait beaucoup, j’étais sous le charme. Je ne sais pas pourquoi, ma rondelle m’envoyait des signaux… salope que je suis…
On a travaillé jusqu’à 22h, nocturne oblige, il y avait moins d’enfants, mais des jeunes couples en mal de sensations qui voulait faire une photo avec le papa Noël. On s’est retrouvé, fourbus dans notre local. Ce boulot, bien payé, n’était pas de tout repos. Une responsable du magasin est venue avec deux paniers garnis, saucisson, pain, vin, fromages, gâteaux secs, gâteaux frais.
« Ça vous évitera de faire à manger ce soir, bonne soirée messieurs ! A demain !, le magasin ferme vers 23h, quand vous partez claquez simplement la porte d’entrée du personnel »
Assis sur le canapé de notre local, torse nu, je mate Luc qui se déshabille, il pose le costume juste à côté de moi. Il s’effeuille lentement comme un streap tease, face à moi, tous ses poils se détendent, quand il retire le pantalon du costume, je kiffe grave comment son paquet est mis à mal par sa jambe relevée, sa queue n’a pas bougé de sens, toujours aussi impressionnante, puis vient le moment que je préfère chez un mec :
Il retire son slip, sa queue tombe lourdement entre ses cuisses. Elle atteint la moitié de ses cuisses, comme une batte de baseball, recouvert par un prépuce impressionnant, énorme. J’ai envie de sauter sur lui… il s’étire en arrière devant moi, tous ses muscles bougent à l’unisson, sa queue est courbée par une grosse paire de couilles velues.
Je n’ai pas fait attention mais ma queue tente de s’échapper de ma braguette…
« Dis donc Bastien, c’est moi qui te fait cet effet ? Tu bandes à mort mec ! »
Il tourne les talons d’un coup en rigolant et entre dans la douche sans porte. L’eau qui coule le rend encore plus sexy. Quand il frotte sa tête avec le shampoing, sa bite se ballade de droite à gauche, comme au ralenti, j’essaye de rabattre ma queue dans mon slip, rien à faire, elle est dure comme du béton. Une grosse tâche de mouille s’étale sur mon slip. Je me régale, Luc joue le jeu et me fait apprécier ses muscles, le summum arrive quand il se tourne dos à moi, écarte ses fesses pour nettoyer sa rondelle rose masquée par une forêt de poils. L’arrière de ses cuisses est bien plus velu que l’avant. J’ai failli éjaculer en me touchant la bite. Je me lève du canapé, je retire mon slip, après tout on est entre hommes. Ma queue est soulagée et se déploie à l’horizontale. Je suis pas mal monté 18X5 avec un gros gland. Lui se frotte bien les couilles et la queue, ce qui le fait bander… je suis halluciné : une batte qui doit faire 23X8 au moins, en érection, me désigne droit devant.
« Dis donc Luc la nature t’a gâté mec… »
Quand il sort de la douche, sa bite cogne le chambranle de la douche dans un bruit sourd. Un « bonk » qui me fait rêver.
Il s’essuie énergiquement sans complexe, je me dirige vers la douche, il claque mes fesses virilement.
« Toi t’es pas mal non plus, mais je te bats, la mienne est plus grosse ! »
« Tes copines doivent morfler, non ? »
« Bah je n’ai plus de copines, elles avaient trop mal… j’ai basculé vers les hommes qui kiffent souffrir de mes pénétrations et mes coups de rein… »
J’avale ma salive, je me lave rapidement, et sort me sécher. A ce moment-là, Djibril entre dans la pièce.
« Ça ne vous gêne pas si je prends ma douche ici ? »
Djibril est un beur magnifique très athlétique de 24 ans, il est agent de sécurité, le bulge de son pantalon est imposant, le polo rouge sécurité ne cache rien de ses pectoraux, son ventre plat fait ressortir les outils de son pantalon.
« Vas-y mec ne te gêne pas pour nous… on sortira ensemble du magasin. » lui aussi a un panier garni et un sac de sport avec ses affaires.
Je n’ai pas eu le temps de mater sa queue, il s’est déshabillé en 10s, et entré dans la douche, dos à nous. Quand il s’est penché pour nettoyer ses jambes, Luc m’a fait un clin d’œil, entre ses jambes, de derrière, on a bien vu un zob massif devant une paire de couilles poilues d’arabe. Lui aussi est très musclé, je suis assis à côté de Luc sur le canapé et on se régale de ce corps râblé, qui évolue dans cette douche étroite.
Il sort de la douche face à nous, la serviette cache notre objet du désir, il avance vers nous et dépose un baiser chaste sur nos lèvres. Putain je me remets à bander aussi sec.
« Djibril, toi aussi alors tu es de la paroisse ? Tu es homo ? »
« Mouais, j’avais réussi le concours de chirurgien à Casablanca, quand ma famille a compris que j’étais homo, que je baisais avec mon frère, ils m’ont chassé du Maroc, ils m’ont payé un billet d’avion pour l’Europe, pour la France et comme mon diplôme n’est pas valable ici, pour l’instant je fais le vigile. En avril, j’ai rendez-vous avec la faculté pour valider mon diplôme… j’étais arrivé 5ème, c’était pas mal, ça devrait le faire»
Séché, il reste nu, il s’avance vers moi, son zob en demi molle…
« Suce moi le céfran » je soulève cette masse qui sent bon le savon, il ne s’est pas lavé le gland, quand je le décalotte (oui il n’était pas circoncis) l’odeur d’homme que j’adore viole mon nez… un mélange de pisse, de sueur…
J’ouvre grand la bouche, et engouffre ce zob, direct jusqu’à mon gosier, Djibril pousse un cri de bonheur, il saisit ma tête et m’utilise comme une machine à pomper. Il s’assoit sur le canapé, du coup je suis à 4 pattes, le cul en l’air. Luc en profite pour bouffer ma rondelle. Sa barbe de 3 jours me rend dingue, sa langue s’enfonce en moi très loin, je gémis de plaisir, devant, la bite de Djibril remplit ma bouche de mouille au goût sucré. Je masse ses grosses couilles, comme pour mieux extraire son jus.
« Doucement le céfran, tu vas me faire jouir, j’ai envie de te baiser… »
Baiser mot déclencheur pour Luc qui pose son gland sur ma rondelle et pousse sans s’arrêter en moi, jusqu’à ce que je sente les poils drus de ses cuisses et ses couilles. Je lâche la bite du bel arabe et pousse un cri de douleur. J’ai l’impression d’être déchiré, Luc se couche sur moi, gratte mon dos avec son torse poilu, et me pilonne avec sa longue queue. La douleur disparait, je ne suis que jouissance. Djibril ouvre ma bouche avec ses mains et enfourne sa queue au fond de ma gorge… il écarte mes joues avec ses index, je ne respire plus, je deviens tout rouge. Je sens la grosse bite de Luc me féconder d’une dizaine de jets de foutre que j’imagine épais, avec des grognements, Djibril, cri et ensemence ma gorge avec 8 jets de sperme d’arabe puissant au goût très fort. Il se retire, je pousse une grande inspiration, Luc me branle pendant que Djibril bouffe mon gland ou mes couilles. Je jouis dans sa bouche, Luc se laisse tomber sur moi, Djibril assis à côté de ma tête, caresse nos deux têtes.
« Bon les mecs venez chez moi, on se rince vite fait et on passe la nuit chez moi, OK, dépêchons nous avant que les veilleurs de nuit passent »
Dans la douche je m’accroupis pour vider mon colon du jus de Luc, je me sens très ouvert, je n’ai pas mal. Du sperme coule longtemps, un mélange marron, un peu dégoutant. Les mecs se marrent, quand je sors de la douche ils me sèchent en m’embrassant. Quand on est tous les trois habillés, les veilleurs passent et nous demandent de sortir.
On paye à trois un taxi, on se retrouve chez moi 10 mn après. La concierge nous voit passer et hoche de la tête d’un air entendu, un sourire narquois. Les 4 étages sont gravis rapidement, on se retrouve en slip, dans la cuisine pour manger nos paniers. Djibril mange le porc et boit le vin, il nous avoue ne pas être musulman. Il a renoncé à la religion depuis qu’il baisait incestueux avec son frère. On est pompette, on s’est bu les trois bouteilles de vin… on rigole pour un rien, on est heureux. Je défais le clic-clac du salon, je m’allonge au milieu d’eux deux. Il est minuit pile, on s’endort directement, je recouvre nos corps avec une belle couette. On est tout nus. Je suis face à Djibril, une jambe sur lui, son sexe touche mes couilles, il bande grave, Luc est derrière moi, bien collé je sens son souffle sur mon cou, sa grosse bite en érection barre mes fesses. Tous les deux dorment à poings fermés, leur souffle est régulier, j’ai trop envie d’une double, je me lève discrètement, badigeonne mon cul de gel, bascule Djibril sur le dos et m’assoies sur son chibre, non sans mal. Il écarte mes chairs atrocement, bien plus que la bite de Luc, il se réveille et pousse sa langue et sa bite en moi, il visite toute ma bouche, je l’aime ce mec.
Luc s’est réveillé aussi, je m’allonge sur le bel arabe, Luc se présente derrière moi et tente de me pénétrer, je proteste, il rentre trois doigts à côté du zob de l’arabe, je gueule mi douleur mi plaisir, il dépose beaucoup de gel sur mon trou, la bite de Djibril le fait rentrer. Luc pose sa main sur ma bouche et refait une tentative, je pousse comme pour aller aux toilettes, le gland de Luc passe, je serre les dents, puis d’un coup il s’enfonce en moi. J’hurle de douleur, j’ai l’impression de mon anus va craquer…
Les deux me caressent, Luc arrive à me galocher, Djibril écarte mes fesses, cela me soulage, j’ai moins mal, les deux commencent à se déchainer dans ma chatte. Je n’ai jamais ressenti ce plaisir. Les deux mecs me baisent lentement, jusqu’au fond de mon conduit. Il est 4 heures, demain c’est dimanche, on ne bosse pas… ils me font l’amour, ils ne veulent pas me blesser, mon cul est bien ouvert maintenant, tous les deux coulissent aisément en moi, ma queue flasque à la pénétration de Luc est tendue au maximum… Djibril saisit les fesses de Luc et l’oblige à s’enfoncer plus loin en moi. Je pleure de bonheur, je n’ai jamais connu ça, je veux les épouser, je veux être leur chose, ils m’insultent :
« Alors tu aimes petite salope, tu aimes nos grosses bites, on va t’engrosser, tu vas être fécondée salope… »
Ces mots déclenchent ma jouissance, quand je jouis j’ai mal, j’atteins les yeux de mon arabe, mon anus qui se serre déclenche leur jouissance. Ils expulsent e alternance leur jus en moi, cette sensation est au summum du plaisir. Mon colon baigne dans le sperme, ce jus apaise mon cul martyrisé. J’ai un étourdissement et m’effondre sur Djibril, leur queues ne débandent pas, ils déculent en même temps, je sens un grand vide en moi, de l’air frais entre pendant qu’un ruisseau de jus inonde le drap. Luc essuie le drap, on se couvre, on se colle très serrés, et sombrons dans un sommeil profond. Le lendemain ne sera que baise à fond, de doubles pénétrations, je ne sens plus ma gorge, je n’ai pas faim tellement je suis nourris de leur jus.
J’ai adoré la dernière double, ils sont allongés face à face sur le dos, Djibril tiens leur deux queues collées, du gel recouvre leur gland, je m’assoie en hurlant sur cette double bite énorme, ils gémissent aussi. Je pousse sur mes cuisses et me laisse retomber sur leurs couilles, à chaque fois on crie ensemble, comble du bonheur, on a jouis simultanément, dans une plainte commune de bonheur, leur jus recouvre leurs boules. Je suis explosé, mes jambes flageolent, la tête me tourne. Mon téléphone sonne, c’est soit ma mère ou mon grand frère, je m’en fous, je suis avec mes mecs, ils habitent le quartier. On va devenir colocataires, on va baiser souvent, des fois des meufs en double aussi, ou des mecs qu’on a déchirés… Djibril est devenu chirurgien à la Salpêtrière, Luc directeur d’agence bancaire et moi ingénieur informaticien. On gagne trop bien notre vie, on a acheté une belle maison en banlieue, avec piscine. Nos soirées sont réputées et toujours classe. On est heureux comme ça, le frère de Djibril est même venu nous voir une fois, on a partouzé ensemble.
J’aime mes deux amants, je suis heureux, je souris à la vie.
Ne prend pas de risques, reste chez toi et dès que tu pourras tu rebaiseras couvre toi mec.
Si tu veux m’envoyer un message : histoiresle7@yahoo.com (j’adore vous lire, vous m’écrivez beaucoup, bises)
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