Je me présente Bastien, 45 ans, 178, pour 90 kg, très brun, plutôt BM, versa. Un nouveau collègue a fait son entrée dans mon entreprise il y a un mois. Plutôt grand, filiforme, très carré d’épaules, des bras très velus comme j’aime, un sourire carnassier, et souvent des bulges assez volumineux avec des formes très explicites, les collègues filles d’ailleurs en gloussent souvent, elles le surnomment la poutre. Sans être très affectif avec moi, il essaye d’être très proche. Je m’efforce de mettre de la distance, respectant le no zob in job. Il est responsable de la téléphonie et fait régulièrement le tour des bureaux pour vérifier le système. Mon téléphone est près de la fenêtre, il est obligé de se pencher sur moi pour le saisir. L’autre jour il entre dans mon bureau et « ah salut Bastien, je peux rebooter ton téléphone stp ? Il y a un changement » je n’ai pas le temps de l’autoriser et de lui passer l’appareil qu’il est déjà penché sur moi pour le prendre. Je recule mon fauteuil, ses cuisses sont contre les miennes, sa chemise laisse échapper des effluves de parfum de Guerlain que j’adore. Sa chemise entrouverte découvre un torse très velu, bien brun et des pecs bien dessinés. Je ne suis pas insensible à ce moment et ma queue se développe doucement vers la gauche. Sans complexe il me lance « dis-donc Bastien tu tiens la forme ce matin » « pourquoi tu me dis ça » « ben je vois ta teube qui grandit mec, c’est pour moi ça ? » je rougis toussote, remets en place mon engin qui est au maximum du déploiement. Je suis trahi par ma bite ! Il met un temps fou à mettre à jour mon téléphone. J’ai arrêté de travailler, il me dit « faut que j’aille chercher le connecteur qui doit être dans le faux plafond, tu m’aideras ? » « Oui bien sûr » une collègue entre dans le bureau et dit « ça va les garçons, ah oui ça a l’air de bien aller, dit-elle en fixant ma braguette » je rougis à fond, et essaye de cacher comme je peux mon sexe. Lui se marre et sort pour chercher l’escabeau. Elle me demande si c’est lui qui me fait cet effet et me demande de faire gaffe à lui, c’est un sacré pervers. Ma conversation avec elle a dégonflé ma queue, je suis un peu soulagé. Je lui signe ses documents, elle est contente et ressort toute pimpante.
Lui revient avec l’escabeau, le déploie et monte dessus, il retire une plaque du faux plafond. Ses bras en l’air ont sorti sa chemise du pantalon, laissant apparaitre un ventre noir de poils noirs bien drus, avec des abdos bien dessinés. Il n’en faut pas plus à Popaul pour repartir à la hausse à une vitesse grand V. « Bastien stp passe-moi la pince rouge » en me rapprochant de lui je résiste pour ne pas glisser ma main sur son torse, tous les feux rouges s’allument dans ma tête. Je suis à la hauteur de son paquet, je constate que sa teube est maintenant bien visible au début de sa jambe gauche… il bande aussi. Ma main incontrôlable se pose sur sa queue, elle est hyper dure. Il dit « ah ben quand même, il t’en faut du temps pour réagir p’tit mec, faut que je la change de position elle me fait mal maintenant, tu peux le faire stp » je trouve sa demande incongrue, salace mais excitante, j’ouvre sa braguette, il n’a pas de sous-vêtement, je passe ma main, me saisis de sa grosse queue, la mets verticalement sans avoir oublié de lécher le gland et referme sa braguette. Il soupire et continue de trifouiller le plafond. Elle doit bien faire 18 cm et 6 cm. Elle est très grosse. « C’est tout ? », me dit-il déçu. Je lui réponds que oui, que ce n’est pas l’endroit et que je tiens à ma place. Pour compenser je lui caresse sa toison, c’est plaisant c’est très doux, cela m’électrise. Il dit « bon maintenant qu’on a fait plus ample connaissance, j’aimerai bien baiser avec toi, je suis versa, plutôt porté sur les hommes, tu me plais » je ne réponds rien, j’ai un mec même si je suis très libre, je ne la sens pas cette relation avec un collègue de bureau. Deux femmes avaient eu un comportement similaire, ça c’était mal fini, engueulades à répétition, ambiance délétère, elles avaient fini par démissionner. Je lui dis à regret « écoute c’est vrai que tu es mon genre, mais on va s’arrêter là. » « OK OK comme tu veux, si tu changes d’avis, tu pourras profiter de mon corps. Je cours un soir sur deux si tu veux courir avec moi… » je lui réponds qu’on verra. Il remet tout en place, le téléphone s’est bien mis à jour, il m’explique très professionnellement les nouvelles fonctionnalités, replie l’escabeau et quitte le bureau sur un salut hilare. Cet épisode m’a bouleversé : j’étais à deux doigts de craquer et de le sodomiser sur le bureau, de lui faire regretter son arrogance. Mais c’est mieux ainsi. No zob in job les amis, il vaut mieux ça.
Dans la vie de tous les jours, protégez-vous, kpot et gel.
LE7
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