Je me régalais de l’observer par la fenêtre opaque du séjour. Il bêchait torse nu dans le jardin pour planter une cinquantaine de bulbes.
Casquette Nike à l’envers, il donnait des coups de bèche vigoureux dans le sol, tous ses muscles étaient sollicités, je ne me lassais pas du spectacle érotico-horticole. De temps en temps, il se rafraichissait à une bouteille d’eau au goulot assez large, de l’eau ruisselait sur son torse puissant, suivant un filet de poils adorable et allait se perdre dans ce short acrylique trop petit, collant son boxer volumineux à ce foutu short de trop.
Ses gestes sont précis, efficaces, virils. Il suit une ligne de plantation parfaite.
Ma queue ne tient plus dans mon short, je me rafraichis dans l’évier de la cuisine, je me mets torse nu aussi, l’eau est très froide, elle fait redescendre ma tension. Je décide de lui apporter un Coca zéro bien frais, il dégoupille la canette d’une geste de mâle assoiffé, et il descend quasiment d’un trait les 33cl de liquide. Il me remercie avec un large sourire, il attend que je sois rentré pour expulser un rot de buveur de binouze. Même là je trouve l’homme irrésistible.
Je reprends le télétravail sur mon ordinateur, orienté vers le jardin pour ne rater aucun fait et geste du jeune horticulteur, vous imaginez, je regarde très peu mon écran, je fais des dizaines de photos avec mon ordi.
On frappe à la porte fenêtre, du sang coule de sa cuisse gauche, mais comment a-t-il fait son compte ?
Il est blanc, impressionné par son sang.
La blessure est assez haute sur la cuisse.
Lui « c’est quand je me suis baissé pour ramasser la bèche que je me suis blessé avec mon cutter… je crains la vue du sang… »
Moi « ne t’en fais pas je vais te soigner »
Je retire ses chaussures, je l’aide à descendre son short, pour accéder plus facilement à la blessure. Je suis troublé, il est là assis sur la chaise de la cuisine, en boxer énorme, la jambe en sang.
Je vais chercher ce qu’il faut, je nettoie sa cuisse, il n’a pas de poils, il s’est bien entaillé la chair. La blessure est propre, je la nettoie à la Bétadine, plusieurs fois, je touche involontairement (si si je vous assure) son très gros paquet, il a fermé les yeux, mais il ne bande pas. Le pose deux pansements trip sur l’entame du cutter, en appuyant il siffle, la pommade cicatrisante le calme. Un pansement très adhésif, hydrofuge complète le soin.
Je l’aide à s’allonger sur le canapé du salon, il avait fini les travaux dehors.
Je suis perturbé, je suis même sur le choc, essoufflé, subissant un coup de foudre, il y a sur mon canapé, un mec de vingt ans, en slip, musclé, imberbe, avec un paquet indécent. Une lourde barre, orientée sur la gauche m’affole au plus haut point. Je le couvre et retourne à la cuisine… fermer mon ordinateur.
Un quart d’heure après je reviens le voir, il s’est endormi, il a retiré le plaid, il devait avoir trop chaud… je le prends en photo, il est trop beau. Je m’assoie sur le canapé avec un bouquin, je le surveille en me régalant de ses formes, il a un souffle régulier. Il se touche instinctivement sa teub, elle prend de l’ampleur, en longueur et largeur. Il doit faire un rêve érotique. Comme en réponse à la sienne, ma queue pousse également.
Il s’étire, ses muscles jouent de toute part.
Lui « tu attends quoi pour vider mes couilles, ça me ferait du bien tu sais, je sais que tu en crèves d’envie… »
Je ne réponds rien, j’encaisse la bâche, je m’agenouille devant le canapé, sort son énorme membre et le lèche. Une mouille abondante coule comme un ruisseau. Je tête cette source de liqueur virile, lui souffle fort, il ne peut réprimer un cri quand je gobe son gros gland. Sa queue est au maximum, elle doit bien faire 20x7, elle très veinée, elle sent le travail de la terre et la pisse, un peu de fromage à la base du gland, ses boules sont très odorantes, du savon au Monoï de la douche du matin et de la sueur accumulée.
Je ne peux faire le tour avec ma main, lui il a une main baladeuse, il me choppe les couilles, il les serre fort juste ce qu’il faut avant la douleur, je gémis, il alterne entre mes couilles et mon trou d’amour.
Lui « Dis donc tu es bien ouvert de la chatte, tu dois bien te faire démonter ma salope »
Je redouble d’effort, il appuie sur ma tête pour franchir ma gorge, je manque de vomir, lui n’en n’a cure, il me démonte la gorge sans pitié. Il veut juter.
Les salves de jus d’homme ne tarderont pas, deux partent direct dans le gosier, les 4 autres me refont le portrait, il crie son bonheur, il branle 5 fois ma queue qui se libère de deux jets conséquents.
Lui « je reviendrai te défoncer ma vieille, ton trou me fait très envie. » J’encaisse son qualificatif, trop heureux de l’avoir pompé au jus.
Je l’aide non sans mal à remettre son boxer, je positionne avec amour sa longue teub.
Il est parti en sautillant sur une jambe, sur son scooter, son sac de courses rempli d’outils entre les jambes, il aurait pu se blesser encore d’avantage avec les outils en cas de choc. Son patron m’a appelé pour me remercier de tous les bons soins à son apprenti. S’il savait. Il a fait un beau geste commercial. J’ai 20 ans de plus que ce petit mâle, je suis amoureux, un vrai cœur d’artichaut.
J’ai gardé le goût de sa jeunesse dans ma bouche, je me suis masturbé à m’en faire mal, je me suis endormi avec un mal de tête. J’aurais préféré un mal au c…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
Merci de laisser vos impressions à histoiresle7@yahoo.com (rappeler le titre svp)
LE7
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