Premier épisode
Le temps du retour est arrivé. L’histoire est courte, mais assez révélatrice de ce qu’on peut faire dans un train. Le train du retour est un train de nuit, sans couchette pour ce qui concerne mon compartiment. Pas grand monde dans ce train. Avec moi un seul gars, 25/30 ans, en jean 501, chemise blanche. J’ai de la chance le gars est très beau. Il est très athlétique, son bulge est énorme et je ne peux m’empêcher de le mater. On distingue clairement la forme de son engin qui a l’air très imposant. Il m’a capté et joue avec moi. Il se touche très souvent en me fixant.
Je ne sais que penser, ce type est hétéro sans doute aucun, très viril, il en impose. Son visage est autoritaire, il respire le cadre puissant ayant l’habitude de commander. Son attitude est dominatrice. Je me sens rabaissé et très petit. Le contrôleur passe dans le compartiment et me dit « ah c’est vous, vous allez bien ? Vous n’avez pas vos copains ce soir ? Alors, soyez sage, on a dû tout nettoyer » il ressort avec son plus beau sourire et toujours ce clin d’œil équivoque. Je suis rouge de honte, mon voisin est hilare. « Qu’est-ce qu’il a voulu dire le contrôleur ? » « Bah je ne sais pas, sûrement qu’on avait bien rigolé avec les deux autres voyageurs » ce mec m’attire plus que de raison. Il se lève va éteindre le compartiment, le commutateur est au-dessus de moi, il ne s’excuse même pas, et son ventre touche ma tête. Il sent très bon, son ventre est très ferme. J’ai beau reculer ma tête, il a dû mal à atteindre ce fichu bouton. Ça y est c’est éteint, il ferme les rideaux, on est complètement dans le noir. Il prend ma main et la pose sur sa braguette « alors tu la sens mieux là, petite salope ! Tu sens ce que c’est un sexe d’homme » sa queue a triplé de volume, il défait son pantalon, et libère le monstre qui me frappe au visage. J’ai les jambes qui tremblent, le train démarre. Des gens sur le quai nous ont vus, mais de cela il n’en n’a cure.
Elle est très longue 24cm, avec un beau champignon au bout, 4 cm de diamètre. Ses couilles sont énormes et trimbalent des litres et des litres… nan j’exagère. C’est lui qui ouvre ma bouche avec sa langue qui achève de me soumettre. Son sexe dans ma bouche va directement dans mon gosier, il fait ça avec douceur, je sens passer son gland sans hoquet. Je suis conquis/soumis. Du coup il utilise ma gorge pour me baiser, doucement au début puis de plus en plus vite. Je masse ses grosses boules velues, il prend ma tête par les oreilles et soufflant très fort pilonne ma gorge. J’ai l’impression qu’il est connecté à mon estomac, comme une endoscopie… au plus fort de la pénétration, j’ai le nez dans son pubis aux odeurs mâles, et de cigarette. Il s’enfonce de plus en plus loin. L’image que j’ai est celle du Alien de Ridley Scott, où la bête pond ses œufs directement dans ses victimes. Il plaque ma tête contre lui, et je sens les soubresauts de sa queue qui me féconde. Son jus gicle en moi en une dizaine de jets, énorme. « Voilà petite pute, je t’ai fécondée, alors tu l’aimes ma bite, salope » il reste « branché » jusqu’à qu’il débande, son engin rétréci et glisse hors de ma bouche. « Nettoie mec ! » m’ordonne-t-il. Je m’exécute, je sens son jus au goût musqué, ultra viril. Il se rhabille, se rassoit et consulte son téléphone. Je suis quant à moi tétanisé, j’ai servi de vide couilles sans qu’il fasse attention à moi. Assez dégouté je change de compartiment, celui à côté est vide. Je m’allonge sur la banquette, un petit rot me rappelle l’aventure… je me promets de ne plus refaire, de rester sage. Ce texte n’est pas une fiction, dans la vie protégez-vous les mecs, la vie est trop belle.
LE7
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