C’était en milieu de l’été, je me rendais à Toulon en train, 5 heures de voyage pour arriver à destination à minuit 30. C’est un vieux train qui se présente en gare avec des compartiments de 6 places. Je circule dans le couloir à la recherche d’un compartiment vide, histoire de dormir un peu. Un compartiment avec deux mecs s’offre à moi. Ils sont plutôt mignons. En short kaki, et teeshirt assorti, ces deux mecs débordent de muscles bien bronzés. Mal assis, ils mettent sans le vouloir leur paquet en avant et leur ventre bien plat. On distingue nettement leurs abdos, et pour l’un d’eux une forêt de poils noirs dépasse à la base du short qui se perd dans son nombril. Je m’installe côté porte après les avoir salués, deux voix mâles me répondent. Je suis en pantacourt, j’ai du mal à dissimuler une érection, un mec m’a fait l’amour avant que je parte, et en ces périodes de canicule, j’ai du mal à débander.
Je n’ai pas senti le train démarrer, j’ai posé ma tête et me suis endormi. Nous roulons depuis 1 heure, les mecs discutent… « oui elle m’a laissé tomber la salope, pourtant elle kiffait ma grosse teub, elle n’aimait pas que je sois militaire » « ben moi pareil pour les mêmes raisons, elles font iech ces meufs. Je me demande si je ne préfère pas les mecs. » Cette remarque fait bouger mon oreille toujours en alerte. Je souris au mec qui me fixe étonné. « tiens regarde je crois qu’on a une bonne petite salope… » « contrôle des billets messieurs » le contrôleur a interrompu cette conversation qui devenait intéressante. « très bien messieurs, j’éteins le compartiment vous pourrez mieux dormir, bonne nuit messieurs » la porte du compartiment claque, on est presque dans le noir. Je tire les rideaux, le train sera sans arrêt jusque Toulon. 4 heures de voyage… le compartiment sent le mâle, un mélange de phéromones, de sueur et de parfum bon marché. Je repose ma tête, le gars de mon côté s’allonge (après avoir demandé ma permission), sa tête touche ma cuisse droite.
Je me réveille, la tête du gars repose sur les poils de ma cuisse. Sa respiration est lente et puissante, je distingue dans la pénombre la bosse de sa queue qui tend son short. Le mec en face sans gêne se masturbe, les jambes bien écartées face à moi, je me redresse, je tiens la tête de celui qui dort. L’autre s’approche de moi et me présente son chibre. Il est assez imposant, fin sur le gland et énorme pour la hampe. Son gland est luisant de mouille et de salive. J’ouvre grand la bouche, il prend ma nuque et s’enfonce en moi dans un soupir de mâle en rut. Je caresse ses abdos virils, ses cuisses très velues, je remonte jusqu’aux couilles et les masse légèrement. Cela décuple son plaisir, j’ai la sensation que sa queue grossit encore. Sans vergogne il pilonne ma gueule jusqu’à ma gorge, me donnant le haut-le-cœur souvent. Celui qui dort sur moi se réveille, comprend la situation, il caresse ma cuisse et remonte jusqu’à mon sexe qui est au maximum de son développement. Mon short ample lui permet d’extraire la bête qu’il engouffre en gorge profonde. La sensation est si forte que je lâche celui que je pompe pour pousser un gémissement.
Sa sucette est vigoureuse, il aspire mes entrailles. L’autre descend le short de celui que me suce, sort une capote de ses poches, un sachet de gel, soulève le bassin de mon pompeur et le pénètre violemment. Un autre hurlement sort de mon suceur suivi d’un « mmmmmmm vas-y, baise-moi mec » « ça fait longtemps que je rêve de te défoncer, tu vas prendre cher » ses coups de boutoirs sont si puissants que je suis obligé de tenir la tête de mon suceur, que j’enfonce souvent en mode gorge profonde. Il tient mes couilles dans une main, il les tire vers le bas, il se venge sur moi, mais cette action me procure des sensations inconnues jusque-là. Le baiseur se couche sur son mec et me tend sa bouche que je prends avec plaisir. Son souffle est saccadé, il est au bord de l’explosion, j’essaye d’explorer toute sa cavité buccale, ma langue combat la sienne avec force. Soudain il se cambre, souffle plus fort et se vide. Sa queue a dû encore grossir, car le baisé crie encore, il a lâché ma queue pour branler la sienne qui explose en plusieurs longs jets puissants. L’enculeur retire la capote et me présente sa queue pour un nettoyage en règle, le gout de son jus déclenche ma jouissance. Mes jets atteignent le menton du mec. Mon suceur est déjà rhabillé et posé contre la fenêtre, il s’est endormi rapidement. Celui qui est debout efface le jus parterre avec un mouchoir, il s’essuie aussi, son teeshirt est bien trempé par moi. Il doit s’y reprendre à plusieurs reprises, il y en a vraiment beaucoup. J’ai rentré ma queue dans mon boxer, je suis exténué. Mes yeux piquent. Avant de se rassoir, il me roule un patin bien baveux après m’avoir mis une claque amicale.
Le contrôleur frappe à la porte et entre dans le compartiment « ouh ça sent le chacal ici, messieurs on arrive dans une demie heure, préparez-vous » il a rallumé le compartiment, ouvert la petite fenêtre et en sortant me fait un clin d’œil entendu, en se touchant le paquet. Arrivés au quai, les deux mecs sortent sans un mot, comme si de rien n’était. Pas un mot de salut, rien. Moi j’ai hâte de retrouver mon lit et mon copain. Je prends un velib pour rentrer chez moi, le vent d’été me fait du bien, mes cuisses me font un peu mal, ma queue ballotée de droite à gauche retrouve sa grande forme. C’est rare de faire un voyage comme ça, merci, et vive l’armée de terre. Ce texte n’est pas une fiction, dans la vie protégez-vous les mecs, la vie est trop belle.
Merci de me donner votre avis ou des idées d’histoires.
LE7
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