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Chapitre 5
C'est Javier qui s'est réveillé en premier et est venu se coller à moi, m'enveloppant telle une pieuvre amoureuse.
-réveille toi! me disait il tout bas à l'oreille, réveille toi! j'ai envie de toi!
Et il riait doucement. J'ai fait exprès de ne pas ouvrir les yeux, mais mon sourire m'a trahi. J'ai senti sa main empoigner ma queue raide, me caresser lentement, me donnant des frissons.
-c'est quoi cette raideur ? tu ne vas pas être malade aujourd'hui ! Je connais le remède beau français!
Et, avant que je dise quelque chose, il a avait rejeté le drap, foncé sur ma queue raide qu'il tenait toujours en main, en tournant son corps pour que j'ai à dispo sa belle queue latino!
Et nous avons débuté la journée par un bon 69 plein de crème onctueuse.
Il est revenu dans mes bras pour m'embrasser.
-j'adore des réveils comme ça ! me dit-il tout sourire.
-moi aussi, j'adore ça! j'adore ta bouche chaude et ta langue agile mon beau colombien!
Il m'a dit plein de choses douces avant de se lever et de retrouver nos chéris, attablés devant le pain grillé et les cafés!
On s'est fait charrier bien sûr.
Une heure après on partait pour Versailles, j'ai préféré prendre la voiture et bien sûr les embouteillages et bouchons étaient au rendez vous!
On est arrivé à Versailles devant le château, il était midi! Donc on est allé déjeuner tranquillement dans un petit restaurant du quartier, pour en début d'après-midi commencer la visite du Château.
Ils étaient plutôt attirés par l'extérieur, les jardins, les grandes eaux qui jaillissaient sous le soleil!
Je crois que nous étions tous émerveillés. Il y avait du monde bien sûr, mais pas tant que ça quand on allait au plus loin, comme attiré par les jardins, les bois au fond!
Diego nous entraînait, on suivait. On s'était vraiment éloignés du château , on longeait un canal, quand on détour d'un bosquet on aperçoit deux jardiniers afférés à planter des fleurs dans des parterres.
Je vois Diego se diriger vers eux, les observer! On le suit encore.
Quand enfin les jardiniers doivent sentir qu'ils sont observés, relèvent la tête, nous regardent et nous saluent dans un grand sourire!
Diego commence la discussion, demandant quelles fleurs ils plantent, si c'est eux qui les récoltent et toutes sortes de questions qui me laissent un peu éberlué.
Je reste à écouter les réponses de l'un des jardinier, qui regarde Diego avec le sourire, je vois ses yeux le détailler des pieds à la tête, sourire et vient vers lui, la main tendue
-moi c'est Jérôme dit le jardinier.
-moi c'est Diego, je viens de Colombie et je suis chez des amis à Paris.
Je détaille le dit Jérôme, un mec blond de 30 ans environ, athlétique, épaule carrée, sourire avenant, des yeux bleus clairs! Tu parles que Diego tombe sous son charme, comme Jérôme semble tomber sous le sien!
Il n'arrête pas de poser des questions sur la Colombie, les colombiens. J'écoute, sourire aux lèvres, en pensant "ah s'il te racontait tout!"
Mais Diego est tenace sur ses questions sur les fleurs et la production, si bien que Jérôme lui explique qu'ils ont des serres, derrière les petits arbres où ils font les plantations.
-tu veux voir ? demande Jérôme
-oh je veux bien dit Diego comme un gamin à qui on vient de faire un cadeau.
Je n'existe plus, Jérôme le prend par la main et l'entraîne vers les petits arbres…
C'est l'autre jardinier qui me tire de mes réflexions.
-ça risque d'être long la visite! me dit-il en me faisant un clin d'œil .
-ah bon! et pourquoi ?
-ben les serres sont grandes et Jérôme sait raconter, ton ami semble bien intéressé par les fleurs! Il n'y a pas les même fleurs dans son pays ?
-ben non, mais je ne savais pas qu'il aimait autant le jardin! dis je en riant.
Le mec se redresse, vient vers moi, du même âge que Jérôme, mais brun les yeux noirs profonds, une barbe qui commence à pousser et un beau sourire…
-moi c'est Michaël me dit il.
-moi c'est Fabrice.
On parle de choses et d'autres, surtout des colombiens, on voit plus loin Louis et Javier, qui marchent tranquillement, main dans la main!
-se sont tes amis ?
-oui, dis je en le fixant, le français est mon ami et l'autre est colombien, l'ami de celui qui vient de partir avec ton collègue!
Il a fallu que je raconte comment on les connaissait et je lui ai raconté succinctement nos aventures sexuelles en Colombie! Ses yeux s'arrondissaient au fur et à mesure.
-tu veux visiter la serre ? me demande t-il, un sourire coquin aux lèvres et des yeux vicieux.
-on peut aller voir! dis je.
Je vois son regard faire le tour, et sans façon me prend par la main et m'entraîne sur les pas de Jérôme et Diego qui ont disparu depuis longtemps!
Il n'a pas lâché ma main jusqu'aux serres, on est entré, ça pour y avoir des fleurs, y'avait des fleurs! Mais je ne voyais pas Diego ni Jérôme!
Nos yeux se sont croisés, sa main a repris la mienne, m'attirant à lui.
-t'en fait pas on a notre cachette avec Jérôme!
Il m'attire à lui, se colle à moi, son bassin sur le mien.
-tes histoires colombiennes m'ont bien excité Fabrice! j'ai envie de te sucer.
Mon sourire devait être engageant, et il a commencé par m'embrasser en me serrant contre lui, j'ai de suite aimé sa bouche tendre, sa langue agile et sa salive qui coulait en abondance! Il s'est arrêté :
-viens, suis moi!
Et nous voilà parti à travers la serre, vers un des côtés, une porte et une autre serre, je le suis encore plus loin et l'on tombe dans un atelier. Il me fait "chut" avec son doigt sur les lèvres. On écoute, des gémissements se font entendre! Il sourit, se penche à mon oreille.
-je reconnais Jérôme! il n'a pas pu s'empêcher de se faire enculer le chéri! dit il en souriant, tu veux les voir ?
Je ne suis pas vraiment voyeur, mais il m'entraîne en me faisant toujours "chut" avec son doigt et par la fenêtre de l'atelier, qui donne dans un autre atelier on voit Jérôme, le cul à l'air se faire prendre comme un chef par un Diego en pleine forme!
-tu vois! je te l'avais dit ! dit Michaël en riant doucement, alors je te suce et tu me fais la même chose mec! j'suis comme Jérôme, j'adore les bonnes queues dans mon petit cul!
Tout en parlant il avait défait son bleu de travail, qui tombe à terre, et j'ai devant moi un beau mec légèrement poilu, musclé, au boxer près de l'explosion!
Je me mets dans la même tenue, baissant mon boxer! Ses yeux sont émerveillés devant ma queue! Il baisse son boxer, se tend vers moi, pour que nos queues se touchent, se caressent! Il sourit et tombe à genoux, se jette sur ma queue, une main enveloppe mes couilles, l'autre finit de la décalotter et aussitôt, sans chichi, l'enfonce dans sa bouche, la faisant glisser sur sa langue! Il tousse quand le gland s'enfonce dans sa gorge, mais referme les lèvres dessus, il pleure, mais reprend à me sucer en me caressant les couilles!
Il ferme les yeux, et me suce en léchant, aspirant, je le vois passer sa main entre ses fesses et se faire gémir! Il doit se doigter le garçon!
Je commence à avoir envie de jouir, il doit le sentir, se relève, m'offre ses lèvres, sa langue qui sent ma queue, se retourne, m'offre son cul.
-tu peux me baiser, j'ai préparé le terrain !
Eh bien allons y! j'ai pensé.
En passant mon gland dans sa raie poilue, il gémit déjà! Mon gland se pose sur l'anus entrouvert, c'est chaud, c'est doux, et c'est lui qui recule sur ma queue. Je me cale et le laisse faire! J'adore voir ma queue être avalée par un cul!
Mais quand le gland passe, il ne peut s'empêcher de pousser un cri! Le silence se fait, même de l'autre côté de la cloison, il n'y a plus de gémissements, mais de petits rires! J'entends un chuchotement et le rire de Diego!
Je prends Michaël aux hanches, il se cramponne à la table devant lui! D'un coup de reins sec, je fais entrer ma queue bien au fond! Et il gueule encore, le cri s'achève en un long gémissement, et une voix vient de l'autre côté :
-moins fort Michaël!
Et deux rires suivent!
Il s'en fout comme moi Michaël, il a l'air d'apprécier ma queue au fond de son petit cul chaud! Alors je l'ai baisé, enfoncé, pilonné et il tendait toujours son petit cul!
Quand j'ai senti mon plaisir arriver, je l'ai fait se redresser, il avait ma queue bien au fond de lui, son dos sur mon torse, j'ai pris sa queue en main et je l'ai branlé abruptement, durement pour le faire crier! Il a récité l'alphabet le garçon, et d'un seul coup son petit cul s'est serré sur ma queue, sa tête, sa bouche cherchait la mienne et il a joui en m'écrasant la queue!
Il venait juste de finir ses giclées que les miennes ont commencé, le remplissant, et il criait encore pendant que je grognais, râlais!
On est resté un moment comme ça, à se faire bisous, ma queue toujours au fond de lui et ma main sur la sienne qui le caressait!
Jérôme et Diego ont fait leur entrée, nus complètement tous les deux!
-besoin d'aide ? a demandé Diego.
Diego dans toute sa splendeur, sa grosse queue latino raide comme la Justice, bite en avant comme si elle cherchait encore un trou à combler!
Jérôme à poils était vraiment un beau blond, avec aussi une belle queue!
C'est Michaël qui, sans répondre s'est détaché de moi, délicatement, me laissant la queue encore raide à l'air, pour aller s'agenouiller devant Diego, qui n'en demandait pas tant!
Les yeux de Jérôme se sont posés sur ma queue, il s'approche, passe sa main sur mon pubis, remonte sous le tee-shirt, ses yeux bleus sont magnifiques!
-mon pote est un goujat, il ne nettoie pas le matériel après usage! dit il doucement
Je passe ma main sur sa joue, le caresse tendrement.
-et toi je suis sûr que tu aimes ça entretenir le matériel !
-bien sûr ! dit il avec un grand sourire.
Je n'ai pas eu besoin d'appuyer sur ses épaules, qu'il était déjà à genoux et léchait ma queue, qu'il avait pris délicatement entre ses mains, laissant dépasser le gland, il le léchait avec application du bout de la langue, passant sur le frein, les recoins, me donnant des frissons! Et ses lèvres sont entrées en action, il a fait ça de façon que ses yeux ne quittent pas les miens, ses yeux disaient qu'il aimait ça! Des lèvres douces et chaudes m'ont fait bander encore plus raide, je sentais ma queue s'allonger, grossir encore! Et il l'a avalé lentement, sentir mon gland glisser sur sa langue, sur son palais, bousculer la luette, ses yeux avaient juste quelques larmes et j'ai bloqué sa gorge! Il respirait fort par le nez! Une main m'a caressé les couilles, le même geste efficace que Michaël!
Puis il s'est mis à me piper comme un chef! Je caressais ses cheveux et quand le plaisir est revenu, j'ai bloqué sa tête entre mes mains et je me suis déversé en lui en criant, en même temps que Diego qui en faisait autant dans la bouche de Michaël!
Quand Jérôme s'est relevé, c'est pour m'embrasser et me faire goûter sa langue, ses lèvres, caresser ce corps doux et chaud!
Les deux autres nous on rejoint et on s'est embrassé à quatre! Quatre langues qui se titillent, la salive coulait de partout!
-vous faites quoi ce soir ? demande Jérôme.
-ben on va rentrer à Paris! dis je.
-ça vous dirait qu'on passe un moment avec vous ? avec Michaël on vit ensemble à Versailles… on finit le boulot dans une bonne heure maintenant, alors ?
-mais oui ! dit Diego rapidement.
-mais, il y a Louis et Javier aussi! on peut pas les laisser quand même! dis je.
-mais qui parle de les laisser ? demande Michaël, on veut des mecs neufs maintenant qu'on vous a usé! dit il en riant.
-user un colombien ? mec t'es pas prêt d'y arriver! dit Diego le fixant d'un air pas aimable.
On se rhabille en rigolant, et on va retrouver nos chéris qui commençaient à se demander ce qu'on était devenu!
-on prenait un cour de repiquage de plantes! dit Diego sérieusement.
Quand on leur a expliqué que les jardiniers nous invitaient à venir leur rendre visite chez eux, dès la sortie de leur travail!
Tu parles qu'ils étaient d'accord!
On a retrouvé Jérôme et Michaël à l'endroit indiqué, on a failli pas les reconnaître quand ils sont arrivés! En civil, si je peux dire, beaux comme des Dieux tous les deux, ils se tenaient discrètement par la main!
On a bu un verre dans un café, fait les présentations de tout le monde, si bien qu'un quart d'heure après on était les meilleurs amis du monde!
-est ce que j'aurais le droit d'avoir deux colombiens pour moi tout seul ? demande d'un air innocent Jérôme
-t'en fait pas mon ami! dit Javier, on va s'occuper de toi comme il faut! et de toi aussi dit-il en se tourant vers Michaël, il ne faut pas qu'il y ait de jaloux!
On a tous rigolé et on est parti à travers les rues de Versailles pour leur appartement!
Il était juste 18 heures quand on est arrivé!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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