Chapitre-1
En ce samedi matin Roméo se réveille les idées pas très claires, mais il sourit en repensant à la nuit qu'il vient de passer dans la boîte de la région, le baisodrome local.
Il essaie de se remémorer les bites qu'il a vu et celles qu'il a tenu en main ou ailleurs dans les toilettes de l'établissement. Il en a touché pas mal et deux beaux mecs sont venus lui offrir leur cul. Il les a baisé comme un fou qui n'avait pas baisé depuis plus d'une semaine sous les regards de tout le monde, avant qu'il ne se fasse accaparer par un jeune rebeu qui lui l'a niqué à l'abri des regards.
Il l'a entraîné, le beau Mehdi, dans les toilettes, fermant la porte pour éviter que d'autres entrent, l'a regardé, a pris sa queue, passé une main sur ses fesses :
-t'as un sacré coup de reins le blond! Mais ton cul il prend le zob aussi ? Tu me fais bander mec! touche.
Bien sûr que Roméo avait touché et ce qu'il a tâté dans le jean, ce bâton qui n'avait pas encore vue la sortie semblait énorme.
Comme c'est un gourmand Roméo il s'est assis sur les chiottes et a entrepris de baisser le jean du rebeu Mehdi. Il l'a trouvé beau ce rebeu, souriant, son visage encadré de ses boucles noires, de belles lèvres, mais quand il a baissé le boxer et vu le monstre lui sauter à la bouche, il n'a pas cherché à en voir plus, il en a avalé le plus possible. Il tenait le rebeu par les fesses et s'appliquait à avaler le plus possible ce beau et gros zob, dur comme de l'acier, chaud comme du métal en fusion. Le sexe rasé faisait paraître cette queue encore plus énorme.
Ah il s'est fait tousser tout seul, pleurer quand le gros gland est entré dans sa gorge, mais le rebeu l'a relevé, posant ses mains sur ses fesses, le serrant contre lui :
-tu ne m'as pas répondu le blond si ton cul prenait le zob ?
-si le rebeu est un doux il le prendra, mais faut être doux aussi, j'aime pas être pris avec force dit Roméo en faisant un bisou sur les lèvres.
Le rebeu s'était laissé embrasser et avait pris les choses en mains. Sa langue s'est enfouie dans sa bouche, jouant avec la sienne, il lui a fait goûter sa salive pour le retourner, écarter ses fesses et lui bouffer son petit cul de blond comme un pro.
Comme il aimait se faire baiser également, Roméo a apprécié la douceur du rebeu, car il a tenu parole, enfin la première fois ! Lui aussi avait un bon coup de reins, mais putain quelle tendresse même quand son zob voyageait tout le long de son conduit. Il ne devait pas avoir joui car il n'a pas mis longtemps à lui donner sa sauce chaude.
Roméo se souvient qu'il a recommencé à le sucer, que le rebeu s'est agenouillé devant lui pour l'embrasser et lui a demandé, oui pense t-il en riant, il m'a demandé s'il pouvait me sucer! Tu parles qu'il s'est laissé faire avant de jouir dans la bouche gourmande pour aussitôt se faire relever, retourner et cette fois niquer comme une salope, niquer à la mode rebeu.
Son petit cul claquait sous les coups de reins, mais jamais, il se souvient, qu'il n'a eu mal comme si son conduit avait été taraudé au zob du rebeu qui l'avait inondé une seconde fois.
Et maintenant il se souvient du clou de sa soirée, le rebeu reste assis sur ses genoux pour lui faire des câlins, le caresser, l'embrasser lui dire tout plein de mots gentils et surtout lui dire qu'il n'a jamais rencontré un mec qui avalait si bien son zob et qu'il voulait le revoir! Mais dans un lit.
Ils avaient baisé encore une fois et le rebeu lui avait offert son cul. Il l'avait baisé comme un amoureux, tendrement, rien que pour entendre gémir le rebeu, se redresser pour réclamer qu'il l'embrasse en le niquant!
Putain, pense Roméo, dans un lit ça va être la fiesta avec un mec pareil!
Ils s'étaient échangé leur 06 et devaient se revoir la semaine prochaine car ce week-end Mehdi était en famille et ne pouvait se dérober.
Mais maintenant en ayant repensé à tout ça, Roméo se touche la queue, dure et chaude, il se caresse lentement en fermant les yeux, repensant à la gueule du rebeu, son zob, son cul et la branle accélère, sa bite durcit encore plus, les couilles remontent autour de sa hampe, il va encore plus vite, son souffle se coupe et, dans un grand soupir la première giclée s'étale sur son torse jusque sous le menton. Il continue jusqu'à finir de se vider et de constater qu'il en a plein le torse.
Il file sous la douche car il repense qu'il doit aller au marché ce matin s'il veut manger.
Lorsqu'il s'observe dans la grande glace, il est assez content de lui. Il vient de fêter ses 30 ans, son corps mince mais musclé par le travail qu'il fait lui plaît. Beau petit cul bien rebondi qui attire beaucoup de monde, belle queue longue et large également qui repose sur une belle paire de couilles, le tout entouré de la toison blonde qui attire tant les rebeux et autres mecs. Ses yeux verts émeraudes, peu de mecs en on des aussi brillants que les siens, son visage imberbe fait ressortir ses lèvres et son nez fin, mais d'un seul coup il trouve qu'il a les cheveux trop longs, ils commencent à friser. Tiens s'il allait voir après ses courses les turcs.
Il adore le salon de coiffure turc, tenu de mains de maître par un vieux turc qui dirige ses ouvriers, toujours trois mais à chaque fois ce ne sont pas les même. Que de jeunes turcs que Roméo trouve plus beaux les uns que les autres. Il sent bien que certains ne sont pas attirés par les mecs, mais d'autres, s'il n'y avait pas eu le vieux il est sûr qu'il aurait pu les draguer.
Après avoir fait ses courses au marché il file sur la petite place où se trouve le salon de coiffure, il ne reste qu'un quart d'heure avant la fermeture du midi.
-bonjour monsieur Roméo lui dit le vieux turc Mehmet.
-bonjour Mehmet, dit Roméo en regardant les trois jeunes coiffeurs tous occupés, ça va être trop tard avant midi ?
-non monsieur Roméo, Ahmet a bientôt fini et il va s'occuper de toi, assieds toi, tu veux un café ?
C'est le rituel, et Roméo a compris qu'il ne pouvait refuser, depuis le temps qu'il vient. Ils boivent du café du matin au soir et l'offrir est pour eux normal!
Roméo a à peine fini son café qu'Ahmet lui fait signe de venir s'asseoir.
Roméo ne l'avait vu que de dos et sa tête baissée sur la coupe qu'il faisait n'avait pas permis de bien le voir, mais là c'est bien un turc Ahmet, à la beauté insolente, son sourire de vainqueur, supérieur et des yeux noirs profonds qui le toisent.
-assis toi monsieur Roméo dit Ahmet.
Ils se regardent dans la glace et Roméo croit voir dans ce regard de l'envie, alors ses yeux verts émeraudes deviennent encore plus brillants quand Ahmet l'entoure de la grande blouse, qu'il soulève ses cheveux pour l'attacher dans le cou, met un papier autour de son cou et, tout en fixant Roméo passe ses deux mains dans les cheveux, les faisant couler entre ses doigts. Il a le sourire Ahmet et triture plus que de raisons les beaux cheveux blonds fins qui glissent entre ses doigts.
-tu veux vraiment couper court ? demande Ahmet en le fixant, c'est dommage de tout enlever, ils sont si beaux tes cheveux.
-oui tu as raison, mais en poussant ils frisent j'aime pas trop!
-eh mais c'est beau un garçon aux cheveux blonds qui frisent, on n'a pas ça dans notre pays!
Il continue de tripoter les cheveux et se décide. Il commence à les couper mais Roméo trouve qu'il prend bien son temps, d'autant que ses deux collègues finissent et disent qu'ils vont manger. Mehmet reste derrière sa caisse et Ahmet continue de lui couper les cheveux en prenant toujours son temps.
Si bien que Mehmet, qui n'arrête pas de regarder sa montre se met à lui parler en turc et Roméo le voit prendre ses affaires et venir lui dire au revoir. Il part les laissant seuls dans le salon.
Aussitôt Ahmet va fermer la porte à clés et tire les rideaux.
-je ne voudrais pas que quelqu'un insiste pour se faire couper les cheveux.
La coupe est presque terminée, il sort son rasoir pour enlever les poils dans sa nuque.
Sa main lui tient la tête, la fait pencher à droite, à gauche, en avant et le rasoir fait son office avant de venir sur ses joues. Sa main douce touche la joue du dessus.
Roméo le suit des yeux, mais le regard d'Ahmet ne le regarde pas, il est concentré sur son travail.
Il passe le peigne dans les cheveux, sort une petite glace et lui montre l'arrière de la tête .
-ça te va monsieur Roméo!
-oui Ahmet, t'es vraiment un chef!
-faut pas plus court, là tu es très beau tu sais, tu vas faire des ravages dit Ahmet en riant.
Roméo fait mine de se lever, mais Ahmet le retient par les épaules, il penche l'appuie tête en arrière, ses mains prennent sa tête et il se retrouve presque allongé. Il voit le visage d'Ahmet souriant à l'envers, qui caresse ses joues.
-j'ai le temps, je mange rarement le midi, si tu veux monsieur Roméo je te fais un massage du visage.
-j'en ai jamais eu dit Roméo en ouvrant grand ses yeux.
-j'ai jamais vu des yeux verts comme les tiens dit Ahmet en commençant ses "massages" sur le visage.
Roméo ne dit rien, mais se sont plutôt des caresses qu'il reçoit, qu'un massage. Ses doigts fins sont chauds et viennent lui envelopper le cou. Il enlève le papier qu'il avait mis, défait la blouse qu'il enlève.
-il n'y en a plus besoin maintenant.
Il recommence ses caresses sur le cou, le menton, remonte sur les joues, redescend dans le cou et ses doigts filent sous le tee-shirt en s'écartant. Les doigts frôlent ses tétons, Roméo ne dit rien et ferme les yeux. Les doigts touchent les tétons qui aussitôt se raidissent, comme sa bite d'ailleurs qui commence à vouloir prendre l'air.
-ouvre les yeux monsieur Roméo, j'aime voir tes beaux yeux!
Les doigts continuent d'agacer ses tétons, il ne va pas tarder à gémir Roméo à se tarif. D'autant qu'Ahmet vient parler à son oreille.
-t'aimes ça monsieur Roméo le massage des tétons ?
-oui souffle Roméo
-ça te fait bander ? demande doucement Ahmed en accentuant ses doigts sur les tétons.
-aussi oui souffle Roméo qui fixe maintenant Ahmet dans les yeux. Sa main passe au dessus de ses bras, se pose sur la tête d'Ahmet qu'il approche près de la sienne :
-embrasse moi Ahmet s'il te plait et continue.
Il n'attendait que ça ce coquin de coiffeur. Lorsque ses lèvres ont épousé celles de Roméo, les deux langues ont jailli de leur grotte ensemble pour se retrouver et ce fût la guerre de suite, une bataille juteuse, la salive changeait de camp, ils gémissaient tous les deux de concert.
Roméo laisse tomber son bras le long du fauteuil, touche une jambe d'Ahmet, remonte sur la cuisse et vient passer sa main sur l'entre-jambe prometteur.
Il bande le coquin de coiffeur et ça n'est pas du chiqué, il bouge un peu pour que la main de Roméo puisse entrer dans son jean et sortir l'objet de convoitise.
Quand Roméo la tient en main, il pense qu'elle est moins grosse et moins longue que celle du rebeu d'hier soir, mais elle est bien dure et bien chaude.
Ahmet qui c'était redressé, se penche à nouveau à l'oreille de Roméo :
-elle te plait plus que celle du rebeu d'hier soir monsieur Roméo ?
Là, Roméo est surpris car Ahmet a vraiment un regard vicieux en lui demandant cela!
-t'étais à la boîte ?
-oui dit Ahmet prenant un air triste, et je t'avais repéré mais je suis timide et j'ai pas osé et je t'ai vu t'enfermer avec un rebeu, j'ai attendu longtemps que tu sortes, mais je suis parti tellement tu étais long!
-oh mon pauvre Ahmet, si j'avais su que j'avais un admirateur aussi beau que toi!
-t'aurais fait quoi ?
-tout ce que tu as envie Ahmet, voir comment baise un turc, j'ai jamais baisé avec un turc!
-mais alors tu as tout à apprendre monsieur Roméo.
-on va chez moi ? demande Roméo en lui faisant un bisou.
-pas maintenant j'peux pas, je dois rester au salon, mais je suis libre à partir de 18 heures, alors si tu le veux encore on peut se retrouver quelque part.
-je viens te chercher ici à 18 heures si tu veux.
-non non faut pas que Mehmet nous voit tu sais!
Ils ont trouvé un point de rendez vous et Roméo tenait toujours la queue du turc en main et elle ne débandait pas!
-tu peux pas rester comme ça toute l'après-midi dit Roméo en se penchant sur la queue.
Ahmet se redresse et approche sa queue et Roméo voit la bête, c'est bien ce qu'il pensait, mais c'est également une belle bête circoncise qu'il avale comme il sait si bien le faire, jouant avec sa langue et l'enserrant bien de ses lèvres, pour entendre Ahmet gémir de suite. Ses mains se posent sur sa tête, passent encore dans ses cheveux et suivent les mouvement de Roméo.
Il sent la queue turc s'allonger dans sa bouche, durcir, Ahmet se contracte du corps d'un seul coup et crie "je vais juter!", Ses mains s'affermissent sur la tête de Roméo qui tient bien le gland et la moitié de la hampe et les giclées se suivent coulant directement dans sa gorge.
La queue glisse lentement de sa bouche, s'éloigne et ce sont les lèvres d'Ahmet qui viennent pour essorer les lèvres de Roméo portant les traces de sperme, il lèche abondamment les belles lèvres en caressant ses joues.
-tu m'invites à dormir ce soir monsieur Roméo ? demande Ahmet en passant sa main sur l'entre-jambe de Roméo, j'ai hâte de goûter à ce que tu as là, mais tu vas pouvoir tenir jusqu'à ce soir ?
-ça sera ta fête ce soir alors dit Roméo en riant.
Il ne savait pas que les turcs étaient si tactiles, si tendres. Ahmet ne voulait pas le laisser partir…
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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