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Chapitre-3 |
Le commandant Hassan a mis le holà, en disant qu'ils avaient toute la nuit pour faire plus amples connaissances, qu'il fallait aller dîner. Il semblait déçu Johan mais a suivi le commandant qu'il regardait de ses yeux émerveillés.
Dans l'ascenseur qui descendait au restaurant, Johan lui a pris la main, la serrant :
-j'suis sûr que tu vas me retrouver Erwan commandant.
Sans être triste le dîner n'avait pas été très joyeux, Hassan voyait bien que ce petit belge pensait tout le temps à son français chéri. Il n'arrêtait pas d'en parler, lui racontant leurs anecdotes, leurs sorties mais surtout la façon dont ils avaient de se retrouver, serrés l'un contre l'autre à se regarder en se faisant des bisous. Il aimait bien exciter Erwan, lui dire qu'il était le plus beau et pleins de choses excitantes (il en rougissait en le disant) pour qu'il lui saute dessus et lui fasse l'amour comme un sauvage.
Après le dîner ils sont allés faire un tour dans Bruxelles aux alentours de l'hôtel. Il faisait un bon guide Johan mais c'était un garçon tendre, attachant qui prenait souvent la main d'Hassan pour lui parler en s'appuyant sur son épaule. Ses sourires étaient enjôleurs et cette jeunesse faisait encore craquer notre bon Commandant.
C'est lui qui a décidé d'aller se coucher, après avoir bu un verre en terrasse.
Quand ils se sont retrouvés face à face dans la chambre. Hassan a vu de l'embarras, de la gêne dans le comportement de Johan.
Il l'a pris contre lui en l'attirant sur le balcon qui donnait sur la grande place.
-il te manque Erwan ?
-oui beaucoup tu sais!
-je ne le connais pas, mais je te comprends Johan et ce n'est pas parce qu'on va dormir dans le même lit qu'on est obligé de faire quelque chose.
-merci commandant, j'ai surtout envie de sentir quelqu'un près de moi, un ami, car je peux le dire maintenant que tu es un ami avec tout ce que je t'ai raconté sur ma vie et celle d'Erwan.
-alors on va se coucher en boxer et je vais te surveiller à dormir!
-tu dors pas toi ?
-si mais d'un œil dit Hassan en riant.
Hassan l'a ramené dans la chambre et, sans le regarder s'est déshabillé en boxer pour aller directement se faufiler sous les draps. Il le matait du coin de l'œil se déshabiller, et devenir tout rouge quand il est venu sous les draps à côté de lui.
Hassan a éteint la lumière et la Lune éclairait la pièce.
Un silence se fait, puis Johan dit :
-c'est la première fois que je vais dormir avec un commandant français!
-t'as déjà dormi avec un commandant belge ?
-non même pas dit Johan en riant et se tourne vers Hassan.
-eh bien moi je crois bien que c'est la première fois que j'ai un belge dans mon lit.
-je peux mettre mon bras sur ta poitrine commandant ?
-allez viens dans mon bras.
Comme un enfant il se cale la tête sur l'avant bras d'Hassan, le nez au dessus de son aisselle poilue et son bras vient se poser en travers de sa poitrine et le serre tendrement.
-bonne nuit commandant!
-bonne nuit Johan.
Il n'avait pas fini de parler que Johan devait dormir.
Dire qu'Hassan s'est bien reposé… Johan a énormément bougé, marmonnant des mots inaudibles, le serrant contre lui, lui faisant des bisous sur l'épaule.
Si bien qu'au réveil, Hassan sent la main du belge descendre sur sa poitrine, caresser ses abdos et descendre encore. Il continue de faire semblant de dormir, la main de Johan effleure son zob raide, dur comme l'acier, prisonnier du boxer. Deux doigts le tâtent, le caressent en le suivant. Johan bouge contre lui, le regarde, soulève le drap pour apercevoir cette grosse bosse qui lui fait envie. Il dénude le corps d'Hassan en essayant de ne pas le réveiller jusqu'à enlever le drap et voir le dessin que fait cette grosse bite.
Il ne prend plus de précautions, tâte plus fermement, soulève le boxer et glisse sa main sur la peau et ses doigts s'emparent du gros bâton, c'est lui qui pousse un long soupir.
-t'as trouvé un trésor ? dit la voix d'Hassan qui n'a pas ouvert les yeux.
Johan rigole.
-je peux le voir de plus près ?
-il est temps de demander jeune belge, les fouilles sont déjà faites!
-il n'a pas l'air de se plaindre le trésor d'avoir été découvert! dit Johan.
Il fait un bisou appuyé sur la joue d'Hassan.
-tu sais ce que j'aime le matin ?
-toucher une bite raide ?
-oui mais surtout me faire baiser au réveil quand notre corps est encore ensommeillé, mon cul s'ouvre mieux dit Erwan. Tu veux bien ?
-faut le demander à mon zob, c'est lui qui décide, faut déjà voir s'il apprécie de te voir de plus près!
Johan a vraiment le sourire coquin et vicieux de tous ces jeunes qui aiment le sexe, la queue et baiser, comme Manuel peut l'avoir!
Les lèvres de Johan descendent de l'épaule sur sa poitrine reniflant l'odeur de mâle franco marocain, passant son nez dans les poils, léchant un téton, descend sur les abdos, fait des bisous, le ventre, le pubis où sa langue se perd dans les poils, évitant ce gros zob qui repose sur le ventre cachant le nombril.
Il le soulève délicatement, l'observe, regarde ce gland circoncis, étonné de voir cela, il n'en a pas vu beaucoup de bites circoncises et celles dont il a eu à faire il n'a pas eu le temps de les observer qu'il les avait déjà dans son petit cul!
Mais là il sait qu'il peut prendre son temps, observer, toucher et caresser, voir la mouille perler du méat et vouloir s'échapper en tombant sur le ventre, mais il est plus rapide, sa langue telle celle d'un caméléon l'empêche de tomber et enveloppe ce gros gland pour que tout de suite après ses lèvres viennent l'envelopper et aspirer ce nectar qu'il adore!
Erwan est son champion en mouille! Qu'est ce qu'il peut couler son chéri et qu'est qu'il adore l'aspirer le matin!
Il tète le gland de ce commandant et se demande encore pourquoi il a eu envie de passer la nuit avec lui. Il ne voulait pas tromper son chéri, il avait besoin d'une présence, mais d'une présence rassurante et celle de ce commandant l'était. Il a apprécié qu'il ne se jette pas sur lui pour le dévorer, certes il se serait laissé faire car il aime ça, mais passer la nuit dans les bras de ce beau "vieux" mec l'avait rassuré. Il méritait bien qu'il s'occupe de lui!
Alors il a fait glisser le boxer pour libérer la grosse bête, a essayé de l'avaler entièrement mais c'est mis à tousser, pleurer. Il a recommencé mais décidemment il peinait. Les couilles étaient magnifiques mais ce qui l'excitait le plus c'était l'odeur de ce mec, de mâle arabe qui donnait envie de se faire sauter rapidement.
Il sentait bien que son petit cul était en chaleur et qu'il voulait se faire remplir. Il avait envie de violer ce commandant, enfin plutôt de se faire violer par lui.
Hassan se laissait faire, caressant juste son dos, ne touchait même pas ses fesses ni sa bite! Johan a enlevé son boxer et s'est mis au dessus du commandant lui offrant une belle vue sur ses petites fesses de salope pédé.
Il suçait comme un fou ce gros zob qui lui offrait toutes sortes de sensations.
Les mains d'Hassan ont caressé ses fesses, les ouvrant encore plus et sa langue est entrée en action lui faisant lâcher sa queue pour qu'il gémisse. La langue chaude et humide entrait déjà en lui tellement il était excité. Il avait dû se rendre compte de ça le commandant, car deux doigts le foraient maintenant, s'enfonçant en tournant dans son beau petit cul et Johan ne pouvait que pousser de petits cris en tenant en main le zob.
C'est lui qui s'est retourné pour s'asseoir sur le zob, le mettre bien en position et, tenant les mains d'Hassan il s'enfonce dessus lui coupant le souffle. Il sent son sphincter souple s'ouvrir recouvrir le gros gland, il continue malgré la douleur qui se fait, il grimace en silence, le gland passe, il pousse un cri et d'un seul coup finit de s'asseoir en criant. Il regarde Hassan qui sourit :
-t'es un vrai gourmand le belge!
Johan essai de monter et descendre sur le zob, mais Hassan se redresse, le fait basculer sur le lit, restant bien enfoncé en lui. Son lourd corps d'homme l'écrase et il sent le gros zob aller encore plus loin. Le ventre d'Hassan écrase ses couilles et sa bite quand il s'allonge sur lui les jambes écartelées.
-je vais te niquer Johan le belge comme je sens que tu aimes!
Johan passe ses mains derrière la tête d'Hassan et lui sourit.
Dans l'instant le gros zob commence à bouger, ressortir un peu et revenir avec force comme s'il butait au fond de son cul. Deux ou trois fois comme ça, Johan poussait de petits cris à chaque fois et la machine s'est emballée, tel un métronome, ce n'était pas une valse à mille temps mais les coups de reins étaient nombreux, secs et profonds.
Les français ont bien le même coup de reins pense Johan ne cessant de crier, gémir mais pousser en offrant son cul. Il sent sa queue couler, coincée entre leurs ventres, ses couilles roulent sous les coups de reins.
Cette queue est bien plus grosse que celle de son chéri Erwan, mais les deux savent s'en servir pareil!
C'est Johan qui jouit un instant avant Hassan. Il râle tous les deux, poussant des petits grognements de contentement et Johan sent la bonne liqueur chaude française se répandre en lui.
Il chope les lèvres de ce commandant pour lui offrir sa langue et le serre entre ses jambes.
Lorsque Hassan sort de lui, Johan le remercie.
-il a de la chance Erwan d'avoir rencontré un petit belge comme toi! dit Hassan.
-et moi j'ai de la chance que ce soit toi qui vienne à ma rescousse!
Une heure plus tard, ils partaient pour le commissariat chargé de l'enquête.
Reçus par le commissaire DUPIN Ernest qui dit à peine bonjour à Johan et détourne ses yeux pour ne parler qu'avec le commandant Hassan.
Si tu savais mon pauvre commissaire pense Hassan.
Il n'a rien de plus à leur apprendre.
-rien de nouveau, ce jeune homme a dû trouver quelqu'un qui lui plaisait et il va revenir dit il.
-je pourrais voir celui qui s'occupe activement de l'enquête commissaire, car je dois rendre compte à mon Ministre des Affaires Etrangères et j'aimerais bien lui offrir quelques avancées quand même.
-pourquoi un Ministre ? demande le commissaire.
-parce que c'est un ami au père du disparu et qu'il m'a spécialement envoyé pour ça!
Il a bien vu qu'il blanchissait le commissaire. Il prend son téléphone et demande à son interlocuteur de venir dans son bureau.
-je vous présente le commandant William, c'est LUI qui est chargé de la disparition d'Erwan, alors commandant vous en êtes où ?
-nulle part commissaire, car vous m'apprenez que je suis officiellement chargé de cette enquête!
Il lui tend un mince dossier :
-eh bien finissez de prendre connaissance et occupez vous de ces messieurs.
Hassan voit bien que William semble embêté en sortant du bureau du commissaire. Il les emmène dans son bureau et prend connaissance du dossier. C'est rapide car il n'y a qu'un rapide résumé des faits et, malgré les dires du commissaire au père d'Erwan, rien n'a été fait!
Cela fait quatre jours qu'Erwan a disparu.
Le commandant William semble plus concerné que son commissaire quand il comprend que Johan est l'ami du disparu.
Johan recommence son histoire et William prend des notes.
William doit avoir la quarantaine, il porte une alliance, beau mec blond châtain, les yeux clairs, le regard franc, c'est un beau mec au grand sourire.
-vous seriez capable de reconnaître le type que votre ami a suivi ?
-oui dit Johan, j'ai son visage de gravé dans ma tête!
-eh bien on va faire un portrait-robot et je vais aller voir le responsable du staff du stade, on devrait savoir rapidement qui il est.
-le stade n'a pas été fouillé ? demande Hassan écarquillant les yeux.
-ben non.
-pourtant c'est ce que votre commissaire a dit au père d'Erwan et que le type en question n'était pas connu!
Une heure après le portrait-robot était tiré et les beaux yeux de Johan étaient devenus sombres quand il regardait la photo.
Hassan a demandé s'ils pouvaient l'accompagner, qu'ils n'interviendraient pas pour ne pas le gêner. Il a accepté et ils sont partis en voiture banalisée direction le stade du Roi Baudoin.
Tout était fermé, mais Hassan est étonné de voir William sortir une clé et ouvrir une des petites portes latérales et les faire entrer.
-t'as la clé ? demande Hassan.
-oui nous avons les clés de tous les stades de Bruxelles.
Que de temps perdu pense Hassan.
Il a l'air de connaître ce bon commandant William et les dirige à travers les couloirs pour arriver devant une porte marquée "manager", il frappe et entre!
-William! quelle surprise!
-Michel comment vas tu ? J'ai besoin de toi rapidement!
-que puis-je faire pour toi mon ami ?
Il lui tend le portrait-robot :
-c'est qui ? dit-il.
Le nommé Michel regarde attentivement le portrait et Hassan voit bien qu'il cherche, il tend le papier en disant :
-connais pas et je ne l'ai jamais vu.
Il regarde Hassan et Johan.
-je vais t'expliquer dit William qui répète l'histoire de Johan.
Hassan voit bien la stupéfaction sur le visage de Michel.
-avant toute chose, sachez que les gars qui s'occupent du couloir ont interdiction formelle de faire entrer quiconque n'est pas autorisé. Donc les spectateurs n'y ont pas accès, vous pensez bien que si c'était le cas, il y aurait foule pour aller dans les vestiaires. Là franchement j'en suis sur le cul.
-on pourrait voir l'entrée de ce tunnel ? demande doucement Hassan et Johan qui était présent pourrait nous expliquer ce qu'il a vu exactement.
-pas de problème, je prends mon passe, mais tu dois avoir les clés William.
-oui j'ai le trousseau dit l'intéressé.
Les voilà reparti dans le dédale des couloirs intérieurs et ressortir près de la pelouse, juste à côté du tunnel.
Johan montre où il se trouvait, où était le type et Erwan, ce qu'Erwan a fait.
Ils entrent dans le tunnel, un long couloir qui sent le mâle, le sport, la sueur et vont jusqu'aux vestiaires. Vide bien sûr, tout est rangé, rien ne traîne.
Hassan revient dans le couloir où différentes portes donnent. Il se fait expliquer et se sont principalement des locaux techniques, que Michel ouvre l'un après l'autre. Rien ne semble suspect.
-ils sortent par où les joueurs ? demande Hassan.
-au fond du couloir, une porte, un autre couloir et c'est la sortie sur le parking où les joueurs stationnent leurs véhicules à l'abri des regards, comme ça ils peuvent sortir du stade sans trop de dommages.
-le type et Erwan auraient pu emprunter ce couloir ?
-avec les joueurs et le staff ? impossible, ils se seraient fait refouler et expulser du couloir.
-qui est responsable du couloir ? demande William.
Michel prend son téléphone et demande à son interlocuteur de venir les rejoindre aux vestiaires.
-Gaëtan était présent ce soir là et chargé de vérifier les sorties des joueurs et du staff.
Dix minutes après Gaëtan était là, William recommence l'histoire devant l'air de plus en plus étonné de Gaëtan.
-je peux vous affirmer qu'aucune personne étrangère n'a accédé aux vestiaires ce soir là et j'ai tout vérifié avant de partir et il ne restait personne, que ce soit dans les vestiaires que dans les locaux techniques. Il m'est déjà arrivé de trouver des mecs planqués mais là je vous garantis qu'il n'y avait personne. Et le type du portrait robot je ne l'ai jamais vu!
Ils prennent congé en les remerciant de leurs aides.
William doit retourner à son bureau, alors Hassan et Johan décident d'aller déjeuner dans le centre de Bruxelles.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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