Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-09 |
La nuit a été magique, cachés derrière les rochers, nus sous les étoiles et la Lune pour spectatrice, avec encore une douce chaleur jusqu'au lever du soleil.
Wilfried s'était offert comme sûrement jamais il ne l'avait fait avec un homme.
Par certains regards, certains gestes il ressemblait à Manuel le toulousain, oh en plus musclé, plus massif. Mais la volonté qu'il avait de vouloir se faire baiser, appartenir à Hassan lui avait fait penser à lui lorsqu'ils s'étaient rencontrés en Espagne.
Hassan avait apprécié de se faire bouffer le cul et c'est sa langue uniquement qui était entrée dans son cul. Pourtant il se laissait faire Hassan en pensant bah si l'envie l'en prend je le laisse faire! Il avait la tendresse de Manuel!
Mais il ne désirait pas ça, après lui avoir bouffé le cul, il avait sucé son zob rapidement pour se retourner et lui montrer sa belle paire de fesses qui faisait concurrence à la Lune observatrice.
Hassan l'avait dégusté, goûté l'intérieur de ce mec en prenant son temps, l'entendre pousser de longs gémissements quand ses doigts sont entrés en lui. Il écartait ses fesses au maximum et poussait tant qu'il pouvait pour s'ouvrir aux désirs d'Hassan.
Son gros zob a pris possession des lieux. Pas comme une brute mais comme un amant qui prend soin de son mec. Sentir son gland ouvrir encore plus l'anus, le sphincter le recouvrir, s'enfoncer doucement en tenant les hanches, faire passer le gland, se bloquer, caresser les flancs, la peau douce et chaude de ce légionnaire de 1ère classe.
Il l'a remonté contre lui lentement pour qu'il sente bien son gros zob continuer de s'enfoncer en lui, de l'ouvrir en l'écartelant. Sa tête est venue se poser sur son épaule, joue contre joue.
-j't'adore commandant! Mon cul n'a jamais été si bien rempli!
Hassan l'avait enveloppé de ses bras en le serrant contre lui, ses mains parcouraient son torse musclé, dur.
-t'aime ça faire ta salope légionnaire! t'aime ça prendre une grosse bite dans ton petit cul de légionnaire pédé!
Wilfried souriait en rigolant doucement.
-dis le que t'aime ça avoir la grosse bite de ton commandant de passage!
-oui j'aime ça commandant, mais défonce moi maintenant au lieu de parler! fais moi gueuler, fais moi jouir Hassan!
Hassan bougeait légèrement en lui, il ne pouvait guère aller plus profond maintenant. Ils se sont embrassés tendrement comme vraiment des amoureux et Hassan l'a rejeté en avant, le reprenant vite fait aux hanches et dans le même temps son zob fait semblant de sortir avant de revenir rapidement et faire claquer son pubis sur les belles fesses dures.
Il pousse de petits cris, il se mord le poing pour ne pas faire trop de bruit et se laisse sodomiser, niquer comme la dernière des salopes!
Putain qu'il est bon le zob d'Hassan, certes il fait mal quand il s'enfonce sèchement au fond de lui, mais quel plaisir il procure dans la même occasion. Et Hassan fait durer leurs plaisirs avant d'exploser dans ce petit cul brûlant. La lance à incendies éteint la grosse chaleur, giclant au fond du trou, se répandant sur toute la paroi. Et les giclées semblent ne pas vouloir s'arrêter!
Mais tout à une fin, Hassan tombe sur Wilfried qui se redresse, prend la main d'Hassan et la pose sur sa queue qui lui fait mal tellement elle est dure et coule en continue!
-branle moi avec ton zob dans mon cul, j'adore ça Hassan et embrasse moi mon commandant adoré! chuchote t-il.
Il n'a pas mis longtemps à jouir avec la main chaude d'Hassan, ses soubresauts du corps faisaient durcir encore la queue d'Hassan et son cul l'écrasait.
Ils sont tombés sur la couverture, c'est Wilfried qui s'est séparé de la queue d'Hassan, pour immédiatement se positionner en 69.
Il pose sa tête sur la cuisse d'Hassan et suce le gros zob qui lui donne tant de plaisir. Il sursaute quand il sent sa queue se faire avaler par le bon commandant.
Le silence se fait durant un long moment. Les queues sont bien nettoyées, cirées même par les salives, si bien qu'elles bandent encore.
Ils s'appliquent tous les deux sur la queue de l'autre et reçoivent chacun leur récompense chaude et liquide.
Wilfried revient dans les bras d'Hassan, l'embrasse, lui caresse la joue, bloque sa tête :
-je t'aime commandant!
-mais non 1ère classe, c'est mon zob que tu aimes!
Il sourit sous les étoiles, il est beau le légionnaire, nu dans les bras d'Hassan. Sa main caresse le corps tendrement.
-t'es beau légionnaire! t'es vraiment un beau mec!
Ils ont parlé tendrement un long moment avant que le sommeil ne les gagne.
C'est le cri des chameaux qui les ont réveillé. Effectivement il ne faisait pas jour, la Lune avait disparue elle aussi. La caravane se mettait déjà en route. Ils les ont regardé partir et se sont enroulés dans la couverture en se serrant l'un contre l'autre.
-il fait frais à 4 heures du matin dit Hassan.
-dans pas longtemps le soleil arrive avec sa chaleur, faut en profiter! On va se baigner? demande Wilfried.
-j'suis bien en ce moment! dit Hassan faisant son fainéant.
-oui mais après je vais bander et ça va dégénérer commandant!
-parce que tu crois que dans l'eau ça ne va pas se passer ?
-il faudra que tu m'attrapes dans l'eau!
-là je te tiens voyou de légionnaire dit Hassan en le couvrant de bisous.
Une demi heure après les lueurs commençaient à apparaître au dessus de la montagne au loin. Hassan se lève rapidement entraîne Wilfried :
-il est temps de prendre une douche, sinon tu vas sentir légionnaire!
Nus tous les deux ils ont plongé dans l'eau tiède du Golfe du Goubet.
Un plaisir immense s'empare de leurs corps, ils se laissent flotter sur le dos, savourant cette douceur.
Ils nagent en s'éloignant du rivage et Wilfried vient l'agacer, lui sauter dessus, l'entraîner au fond, ils se chamaillent, se frottent l'un contre l'autre, rigolent, s'amusent comme des gamins et reviennent vers le rivage.
Le soleil pointe son nez et c'est lui qui les sèche de ses rayons débutants.
Sur la plage, Wilfried se met à genoux devant Hassan et embouche son zob en lui disant :
-j'aime bien comme petit déj, car les rations sont pas terribles!
Après avoir joui tous les deux, se faire des bisous, des caresses, ils rangent leurs affaires.
-d'après ce qu'a dit le commandant Williams ils seront là vers 9 heures, on a le temps d'aller à l'endroit où l'on a retrouvé le véhicule de Martial et Guillaume. Celui des paras c'est beaucoup plus au Nord et on aura pas le temps de faire l'aller retour!
-=-=-=-=-
Dans l'île du Diable, Igor se réveillait doucement, s'étirant sentant le corps chaud près du sien encore endormi, et pour cause il l'avait drogué ce bon Martial.
Il se méfiait des légionnaires et des paras, certes de beaux mecs bandants aux culs accueillants, mais des mecs rusés, costauds prompts à la bagarre et il ne voulait pas se battre avec ne serait-ce que l'un d'eux car il était sûr de perdre. Alors il les droguait en deux fois.
La première fois c'était surtout pour anéantir leur volonté, les faire obéir à tout sans réfléchir et ne plus hurler sous les tortures qu'il infligeait.
Puis la seconde fois pour qu'ils ne se réveillent que dans la matinée quand il les aurait rattaché dans leur geôle.
Là Martial était inerte, il ronronnait doucement, la bouche légèrement ouverte.
Légionnaire de 27 ans, cheveux ras complètement, alors que c'est un brun vu la pilosité bien taillée qu'il a autour de son sexe qui repose sur une cuisse, décalotté on voit qu'il a coulé durant la nuit.
Igor le prend en main, le serre tendrement dans sa main. C'est mou, élastique, chaud. Il caresse, Martial grogne en bougeant légèrement et sa queue commence à raidir, s'allonge dans la main d'Igor qui la regarde les yeux émerveillés. Elle atteint sa taille maximum rapidement, devient dure comme du roc, il la caresse pour entretenir cette raideur, la branle doucement, les jambes de Martial bougent, il gémit en s'offrant. Igor le branle maintenant plus vite. Il voit qu'il respire plus vite, ses narines se gonflent et se resserrent, le gland laisse perler sa mouille, il accélère et dans un long soupir Martial éjacule deux longues traînées sur son torse musclé de légionnaire. La même stature que Wilfried.
Il n'a pas ouvert les yeux et reprend son souffle normal, la bouche entrouverte.
Igor ramasse son sperme avec son doigt et vient le déposer sur les lèvres de Martial, l'enfonce dans la bouche, Martial dégluti et Igor lui donne tout son sperme!
Il rigole Igor de sa blague :
-il ne saura jamais s'il aime son sperme ou pas! pense t-il en riant.
Il enjambe le torse de Martial et vient poser sa grosse queue russe sur les lèvres du légionnaire.
Il décalotte son gland, la mouille arrive qu'il déverse sur les lèvres de Martial et enfonce sa queue dans sa bouche qui s'ouvre toute seule laissant passer l'intruse.
Ca gargouille dans la bouche de Martial qui semble tirer au cœur car Igor une main de chaque côté de la tête de Martial, s'est redressé et baise sa bouche. Il enfonce lentement sa grosse et longue queue jusqu'à ce que le nez de Martial soit dans ses poils blonds de russe. Et la machine à baiser se met en route. Il prend son temps car il sait, c'est l'habitude, que Martial ne refermera pas sa bouche sur sa queue, mais là il peut enfoncer son gland dans sa gorge, jusqu'au plus profond qu'il peut et se déverser directement dans cette gorge, sentir le tube serrer sa bite en déglutissant pour avaler son jus. Bien qu'il ait juté plusieurs fois cette nuit, il a toujours eu de la ressource Igor quand les mecs lui plaisent.
Et la petite gueule de Martial, comme son cul d'ailleurs, lui plaisent à Igor. Alors il jute encore en abondance dans la gorge offerte, l'étouffant presque.
Il s'essuie le gland sur les lèvres de Martial, s'allonge à côté de lui, le caresse, lui fait des bisous, fait son tendre.
Il peut faire ce qu'il veut, ils ne voient rien et ne se rappellent de rien!
Il ramène Martial dans sa geôle sans oublier de le rattacher.
Il regarde dans les autres geôles, ils dorment, non sauf son Karim.
Il entre, la porte grince, Karim relève la tête, le regarde, ses yeux deviennent durs, méchants.
-lève toi Karim et reste sage, si tu me sautes dessus et que tu me tues tu ne pourras jamais sortir d'ici, les clés sont ailleurs et toi tu es attaché solidement!
Karim sait tout ça, que ça sert à rien de se payer ce salaud. Mais il doit bien y avoir une solution quand même pense t-il en se levant.
Il est beau Karim et le sait. Son beau zob qui était en semi érection se redresse lentement, grossit en durcissant.
-oh je t'ai manqué Karim ? Ton zob lui au moins est reconnaissant, il me fait plaisir quand il me voit!
Karim ne répond pas maudissant sa queue qui bande tout le temps pour un oui ou un non!
Igor s'approche, touche des doigts le torse de Karim, passe sur ses abdos, remontent sur les seins, touchent les tétons qui durcissent, il les gratte en souriant, fixant Karim qui regarde ailleurs. Une main remonte sur son cou, touchent le collier, caressant cette peau douce et chaude qu'il aime, cette odeur que seuls ont les arabes, remonte sur la joue, qu'il tapote, son pouce passe sur les belles lèvres de Karim.
-t'es toujours aussi beau Karim!
Karim voit bien qu'il bande, il s'approche et sa queue se pose sur son zob.
-tu vois elles sont copines nos queues, elles s'apprécient comme moi je t'apprécie, mais pas toi apparemment, alors que j'aimerais que tu me sois reconnaissant de tout ce que j'ai fait pour toi Karim!
Karim le regarde étonné.
-passer le reste de tes jours à baiser, c'est pas magnifique Karim ? demande Igor en se collant à lui, torse contre torse, ses lèvres se posent sur son front, sa main lui relève le menton, ses lèvres descendent sur l'arête du nez et viennent prendre possession de ses lèvres tendrement.
-donne moi ta langue Karim demande Igor.
Karim obéit, sent sa langue entrer dans la bouche d'Igor, en même temps que ses bras l'enveloppent et que ses mains descendent sur ses fesses, les écartent et un doigt vient forcer son anus. Karim bouge comme s'il refusait.
-bouge pas salope, t'es à moi! je fais ce que je veux de toi quand je veux et là je veux ton cul ma belle salope de parachutiste pédé, alors tu vas me donner ton cul Karim, te retourner, te pencher en avant, ouvrir ton cul et poser ton trou sur ma queue.
Karim sentait les postillons sur son visage, ses yeux le fixaient, durs, comme des yeux de fou!
Alors il obéit et se retourne.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :
