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Chapitre-6 | L'organisation se met en route.
Monsieur le Comte était content de voir l'air ravi qu'ils avaient tous les trois. Ils étaient passés dans toutes les pièces et avaient décrété que la grande chambre donnant sur le parc serait pour Hubert, avec celle d'Arcadie à côté car comme dit Samy :
-il y a une porte communicante entre les deux, ça sera plus discret!
Samy aimait bien la petite chambre donnant comme d'autres d'ailleurs sur la piscine, Seong-jin hésitait encore car il voulait voir les pièces avec leurs meubles.
Grande discussion sur l'ameublement, ce qui rappelle à monsieur le Comte qu'il a le numéro de téléphone d'un certain Gaëtan.
Comme des gamins il l'incite à appeler, ce qu'il fait.
Il est décidé que Gaëtan viendrait demain vers 10 heures pour voir les lieux.
Lucien le pisciniste est venu dire qu'ils partaient et revenaient demain matin dès 8 heures, la roulette avait été changée facilement, et la piscine en voie de finition pour le nettoyage, si bien qu'ils pourront sûrement commencer à la mettre en eau demain après-midi.
Lucien parlait en regardant monsieur le Comte, répondant à ses questions, mais tout le monde a bien vu que son regard revenait principalement sur Arcadie qui lui faisait des regards comme il sait si bien le faire pour exciter les mâles et cela semblait troubler Lucien.
Samy avait bien vu le manège et, pour une fois n'a rien dit.
Dès le départ de Lucien et de ses ouvriers, ils ont fureté encore quelques temps avant que monsieur le Comte leur dise qu'il était temps d'aller dîner.
Lorsqu'ils sont revenus à l'hôtel restaurant Tatin, la patronne Germaine était en grande discussion avec le bagagiste et cela semblait chauffer pour son matricule, il baissait la tête, sans rien dire mais monsieur le Comte a bien vu qu'il serrait des poings.
Lorsqu'ils se sont installés à table, ils ont eu la surprise de voir que c'était lui qui faisait le service et entendaient souvent Germaine lui faire des recommandations, fait attention qu'il ne manque pas de pain, t'as pensé à l'eau et ils ont su qu'il s'appelait Ludo ce petit bagagiste blond qui avait le sourire avec eux.
C'est monsieur le Comte qui l'observait à la dérobée pour voir quand même qu'il avait l'air triste.
Les autres parlaient du manoir et surtout insistaient auprès d'Hubert pour qu'il embauche du personnel pour le jardin, la pelouse et dit Arcadie :
-je crois qu'il nous faudrait également une autre personne pour aider Mokhtar et Victor, s'ils acceptent bien sûr de venir, avec toutes les pièces ils ne seront pas trop de trois pour entretenir tout ce qu'il a à entretenir, faire les petites réparations. J'ai vu des plinthes qui manquaient, on pourrait faire des raccords de peinture également.
-oui je veux bien dit Hubert, mais on va le trouver où ? il faudrait qu'on le connaisse et surtout qu'il nous connaisse, comme pour les jardiniers, je crois que je vais me résoudre à trouver une société de la région pour entretenir les plates bandes et la pelouse, enfin faire ce qu'il faudra, et quand ils viendront, eh bien vous remettrez vos caleçons!
Il n'avait pas parlé fort en disant cela, mais Ludo débarrassait la table et Hubert l'a vu rougir. C'est un beau petit mec quand même ce blond pense Hubert, il a des yeux bleus limpides, clairs qui donnent envie de se noyer dedans, il est assez grand sûrement autant que Samy, mince et quand Hubert l'a regardé partir, son petit cul semble bien dur mais souple, le balancement est magnifique. Il aimerait bien le voir à poil le bagagiste serveur!
-on peut boire le café en terrasse ? lui demande Hubert.
-bien sûr monsieur le Comte, 4 cafés alors ?
-non moi je prendrais un thé dit Seong-jin avec son beau sourire.
-suivez moi je vous installe et je vais vous cherchez ça.
Les cafés sont servis et Hubert lui demande ce qu'il y a à faire dans la ville le soir.
-oh pas grand chose, à part deux bistrots pour boire un verre, le premier là-bas à gauche il n'y a que des soulots du coins, faut aller un peu plus loin sur la place, c'est le bistrot des jeunes et il y a plus d'ambiance.
-Ludo j'ai besoin de toi, dit Germaine qui arrive.
-pardonnez moi madame, peut il rester avec nous quelques instants pour qu'il nous parle de la ville, des habitants et des commerces comme il est du coin d'après ce que j'ai compris en vous entendant parler.
Elle n'ose pas contrarier monsieur le Comte et accepte.
-Ludo vous prenez un café ou autre chose avec nous ? demande Hubert.
-j'veux bien un café merci, je vais le chercher.
Il revient rapidement et ils ont installé une chaise entre monsieur le Comte et Samy. Ludo hésite à s'asseoir mais devant le sourire de tous il s'installe et répond à toutes les questions posées. En fait il raconte un peu sa vie de célibataire dans une petite ville où les distractions sont rares. Au fur et à mesure de la discussion il s'enhardit.
-Alors c'est vous monsieur le Comte qui avait racheté La Garennière ?
-oui Ludo, tu connais ?
Hubert était rapidement passé au tutoiement comme les autres, mais Ludo continuait le vouvoiement avec lui et tutoyait les autres, riant avec les jeunes.
-oh oui j'allais me baigner dans la piscine l'été et même l'hiver, car elle est couverte et chauffée vous savez! Le fils du propriétaire était un ami d'enfance mais ils ont déménagé il y a peu dans le midi!
-mais tu pourras venir te baigner dit Samy, n'est ce pas monsieur le Comte ?
-bien sûr, plus on est de fous plus on rigole!
-mais nous on se baigne nus tu sais dit Samy en le regardant avec son petit sourire.
-avec mon copain c'est ce qu'on faisait aussi quand ses parents n'étaient pas là bien sûr, dit il en riant, et se met à rougir d'un coup.
-regarde monsieur le Comte, faudra le voir à poil Ludo! Moi j'veux savoir s'il rougit de partout comme ça!
Ils rigolent tous et se moquent de Samy surtout :
-t'inquiète pas Ludo, ce voyou de tunisien est intenable quand il voit un beau garçon et s'il est blond, là on ne va pas pouvoir en venir à bout ce soir! Monsieur le Comte va avoir bien du souci ce soir! dit Arcadie en riant.
On voit bien qu'il est perdu Ludo, mais qu'il a très bien compris qu'ils aimaient tous les garçons et il n'ose pas leur dire que lui aussi.
Mais d'un seul coup il semble prendre une décision, se redresse sur sa chaise, se penche vers monsieur le Comte :
-monsieur le Comte j'ai entendu malgré moi, votre conversation à table, vous semblez chercher du personnel, alors si je pouvais vous parler en dehors d'ici, pour ne pas que la patronne le voit et l'entende!
-là je crois que c'est pas le moment, dit Seong-jin, car elle ne nous quitte pas du regard depuis un moment.
-on peut se voir où ? demande Hubert.
-demain c'est mon seul jour de congé de la semaine, alors je suis libre.
-et bien viens nous voir à La Garennière dans ce cas, on va passer la matinée et l'après-midi. On y sera à 9 heures demain matin, tu viens quand tu veux, t'as de quoi te véhiculer ?
-oui j'ai ma mobylette dit Ludo.
-t'as de la chance monsieur le Comte ne conduit pas! dit Samy sans rire, mais les faisant tous rire.
-je crois que je vais chercher un autre chauffeur moins arrogant! dit Hubert.
-si j'suis pas là vous allez tous vous ennuyer oui! dit Samy en haussant les épaules.
-eh bien à demain monsieur le Comte, bonne soirée à vous tous..
Il se lève et débarrasse la table.
-on va faire un petit tour dans la ville ? demande Hubert.
Ils ont traîné rapidement dans la ville toute en long, des maisons, des maisons, des commerces, des bistrots et pas grand monde qui traine!
-eh bien dit Samy, les pédés d'ici doivent être les rois de la branlette ! Y'a pas des endroits de dragues ?
-t'as pas regardé encore ? demande Seong-jin, sur ton application de malheur qui montre les bites à 100 mètres!
-oh j'y avais même pas pensé dit Samy en rigolant.
Il sort son portable et ils s'arrêtent sur la place, s'assoient sur un banc laissant Samy faire ses recherches. Il part d'un éclat de rire!
-le pédé le plus près est à Orléans c'est à dire à 38 km, si tu bandes ben quand t'arrives t'as déchargé!
Il continue de regarder sur son portable en vociférant tout seul à voix basse, quand soudain :
-regarde la petite annonce monsieur le Comte dit Samy en lui tendant son portable :
"Vous cherchez du personnel pour entretenir votre jardin, tondre la pelouse, tailler les arbres et tous autres travaux de plein air, Rico et Alejandro, jeunes brésilien et Colombien vous offrent leurs services - travail soigné par des latinos souriants, beaux comme des Dieux et pour ceux qui apprécient nous travaillons torse nu, voir plus , pour ne pas perdre notre bronzage naturel Appelez vite au 06...."
Même monsieur le Comte est scotché.
-et ils sont où ces latinos ?
-je sais pas dit Samy, mais j'ai trouvé cette petite annonce sur le site de la Ville, donc ils doivent pas être loin.
-enregistre le numéro, j'appellerais demain dit Hubert, maintenant on va se coucher, j'ai envie de dormir!
-voilà dit Samy, j'veux dormir avec toi monsieur le Comte et monsieur veut dormir ce soir!
-j'ai pas dit tout de suite voyou de tunisien! dit monsieur le Comte en lui mettant une petite claque derrière la tête.
Arcadie n'était pas mécontent de dormir avec Seong-jin, il appréciait son talent au coréen et il aimait baiser et se faire baiser! Donc le début de nuit devrait être chaud!
Mais Samy lui était heureux de se retrouver seul avec monsieur le Comte. Il adorait passer une nuit avec lui, dans ses bras, recevoir ses caresses, ses baisers, se faire dévorer des pieds à la tête, se laisser faire par cet homme expert en jouissance qu'il appréciait car tout ce qu'il faisait à un mec on pouvait lui faire!
A peine entrés dans la chambre, Samy se déshabille, pendant que monsieur le Comte reste debout les bras ballants, le regarde.
-ben tu te déshabilles pas monsieur le Comte ?
-je sais bien que c'est pas ton travail, mais j'aime bien qu'on me déshabille et comme mon valet de chambre n'est pas là!
Samy nu complètement s'approche de lui, sourire aux lèvres, lui enlève sa veste, qu'il pose délicatement sur une chaise, défait les boutons de la chemise, lui enlève laissant voir ce torse musclé légèrement recouvert d'un poil clair. L'odeur d'Hubert arrive aux narines de Samy qui avance sa tête pour le respirer et sent les mains du Comte le prendre aux hanches, l'approcher de lui, la tête de Samy se redresse, ils sont nez à nez :
-embrasse moi Samy dit Hubert doucement, donne moi ta bonne langue que je n'oublie pas le goût.
Son souffle se répand sur son visage et il sent les mains d'Hubert s'emparer de ses fesses, collant son zob à son sexe dur encore emprisonné.
Les lèvres se touchent lentement comme si elles étaient timides, elle se goûtent et la langue de Samy avance dans la bouche d'Hubert, lui touche les dents qui la laisse passer pour retrouver sa copine! C'est Samy qui gémit en se serrant lui-même contre ce corps qu'il adore!
Il n'aurait jamais cru se laisser niquer par un "vieux" de cet âge, mais être dans les bras de monsieur le Comte on oublie tout et il ne fait pas ses 50 ans surtout!
Les langues jouent un long moment, s'échangeant leurs salives. Samy lèche les lèvres d'Hubert qui sourit.
La langue descend dans son cou, fait de petits bisous et descend sur un sein, la peau est douce, chaude, le petit duvet blond clair est doux, la langue vient titiller le téton, caresser l'aréole qui forme de petits "boutons" comme si la peau frémissait. Il lèche, suce, aspire ce téton qui durcit et semble même s'allonger!
Sa main remonte sur le corps et vient saisir entre deux doigts l'autre téton.
Samy s'amuse comme un petit fou avec les tétons, entendant monsieur le Comte pousser des petits cris ou des gémissements, pendant que ses mains caressent ses fesses, son dos, ses cheveux!
Il tient les tétons entre ses deux mains et sa langue descend sur les abdos, suit la ligne bien dessinée qui arrive au nombril creux. Il titille du bout de sa langue et le remplit de salive!
Ses mains viennent s'escrimer sur le ceinturon, l'attache de pantalon qui bientôt tombe à terre. Samy lui fait retirer ses chaussures, pantalon, chaussettes et en se redressant voit le boxer qui serre, qui étouffe la grosse queue qui lui donne souvent du plaisir.
Il passe son nez dessus, la renifle, la prend entre ses dents et regarde Hubert qui rit, fait semblant de la mordre et d'un geste sec retire le boxer libérant le monstre qu'il aime tant voir, regarder, toucher. Et là ce soir cette belle queue est pour lui seul!
Elle tombe devant son nez, à moitié décalottée. Il l'observe comme s'il l'a découvrait, voir cette toison de châtain clair le rend fou, il passe ses doigts dans la toison, ses doigts bronzés qui ressortent bien qui viennent se saisir de la grosse hampe, décalottant complètement le gland humide. Le méat est grand ouvert et la mouille perle déjà. C'est un gourmand Samy et sa langue a encore faim, elle vient toucher le méat, ramenant la mouille dans sa bouche qui suit le fil pour venir envelopper le gland.
Hubert gémit de sentir cette bouche tunisienne chaude et accueillante qu'il connait et sait le talent de Samy quand il a envie de faire plaisir à son partenaire!
Sa main glisse sur ses couilles, les tire doucement et ses lèvres glisse sur la queue l'avalant doucement. Hubert sent son gland glisser sur la langue, touchant le palais, s'enfonce doucement bouscule la luette, Samy tousse, pleure un peu, mais ne se retire pas. Il patiente quelques instant avant de faire pénétrer le gland de monsieur le Comte dans sa gorge, l'étouffant à moitié!
Et la pipe commence, sucer, lécher, aspirer, bouffer, les couilles caressées, un doigt vient s'enfoncer d'une phalange dans son petit trou. Hubert a posé ses mains sur la tête de Samy et se laisse faire, ils ont tellement parlé de cul qu'il sent déjà le plaisir arriver, Samy doit le sentir également car il s'enfonce la queue pour que le gland soit juste avant la luette, son doigt s'enfonce plus dans l'anus et monsieur le Comte en gémissant jouit comme un malade dans cette bouche accueillante. Dès la fin sa queue est asséchée par la langue vorace de Samy, qui se relève le prend dans ses bras et l'embrasse comme l'amoureux qu'il est en faisant son câlin contre ce corps magnifique.
-toi dit doucement Hubert à son oreille, tu n'aurais pas envie de me fourrer ton gros zob dans mon cul que tu as commencé à doigter mon voyou adoré de tunisien ?
-ça se voit tant que ça monsieur le Comte que j'adore!
Il rigole Hubert en se retournant, se penche sur le lit, le cul en l'air et la bouche vorace de Samy entre déjà en action, sa langue est magique, douce et fore le petit trou qui s'ouvre docilement, si bien que deux doigts viennent le forer bien profond le faisant déjà crier. Ah pour l'ouvrir il l'ouvre le beau cul, pour aussitôt venir poser son gland sur l'ouverture, il laisse couler sa salive juste sur son gland et force l'entrée.
ah sentir le sphincter s'ouvrir, recouvrir son gros gland qui s'enfonce dans ce lieu connu, glisser, un petit coup de reins, un cri et le gland est entré. Samy sait que monsieur le Comte aime être baisé et lui aime le baiser!
Deux petits coups de reins plus loin, il sent ses couilles frapper celles d'Hubert, ses mains le tiennent en haut des fesses et la machine rebeu tunisienne se met en route, glissant lentement dans le conduit, gémissant tous les deux, il accélère Samy en criant des "han" et Hubert pousse de petits cris en offrant encore plus son cul!
On n'entend plus que les soupirs, les gémissements des deux avec les claques du pubis sur les fesses du Comte!
Et Samy sent la jouissance arriver, cette jouissance qui vient du plus profond de lui, il la sent remonter, passer dans ses couilles, dans sa queue et s'éjecter dans l'antre chaude du Comte, telle une lance à incendie pour éteindre son feu au cul!
Ils s'écroulent tous les deux sur le lit, Samy sort délicatement du cul de monsieur le Comte pour se réfugier dans ses bras et ronronner de plaisir, recevant les bisous d'Hubert heureux également.
-je t'adore Samy, tu vas voir on va faire de grandes choses ensemble bientôt!
Samy relève la tête :
-et à ton air coquin, je dirais que tu ne veux pas me dire ce que c'est!
-bien sûr que je ne veux pas! Après tu vas être intenable et on ne pourra plus rien faire de toi!
-oh t'exagères là quand même monsieur le Comte! dit Samy en lui faisant un bisou.
-dort voyou, on a encore plein de choses à faire demain pour que tout soit au point!
Samy sourit en fermant les yeux et se blottit encore plus dans les bras de monsieur le Comte.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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