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Chapitre-3
Aziz n'avait pas voulu manger au self et avait emmené Hassan dans un petit restaurant qui donnait sur la rue, sans porte, où il n'y avait que des brochettes! Aziz avait l'air ravi d'être avec Hassan, il n'arrêtait pas de parler, de raconter sa courte vie, faisant rire Hassan.
-t'es pas tunisien commandant ?
-non je suis d'origine marocaine et je suis né à Paris.
-je connais pas du tout, mon père a toujours dit qu'il voulait me faire connaître, mais on n'a jamais eu l'occasion et l'argent je pense. Mais tu parles arabe ? car ça sera utile je pense..
-oui t'en fais pas là-dessus je parle l'arabe et je le comprends très bien, mais j'aime pas trop le dire devant tout le monde, dit-il tout bas, et faire l'idiot comme si je comprenais pas!
Il rigole, mais Aziz se penche au dessus de la table :
-t'es un espion en fait ?
-même pas Aziz.
Il explique brièvement son travail et c'est l'heure d'aller attendre Daniel qui normalement sort par l'arrière de l'ambassade, vu qu'elle est fermée.
Aziz sait déjà où il faut se placer, compte tenu du sens interdit, sa voiture sera obligée de passer dans la petite rue et sortir sur la place de l'Indépendance.
Aziz s'installe sur sa moto, met son casque, en sort un pour Hassan :
-fais voir si ça te va.
Hassan met le casque qui lui serre la tête, écrasant ses cheveux et Aziz éclate de rire en le regardant :
-eh bien si t'avais eu un casque chez Charles j'aurais jamais voulu te draguer!
Les larmes lui coulent tellement il rigole !
-moque toi mais j'espère que tu sais piloter ton engin!
-ah la la je suis le roi mais faudra te cramponner à moi aussi! Tiens grimpe derrière moi pour faire un essai!
Hassan enjambe la moto, et vient coller son zob sur les fesses d'Aziz, qui tourne la tête, Hassan voit ses yeux qui rient :
-là je sentirais bien si mon cul te fait de l'effet!
Il se met encore à rigoler et Hassan passe ses mains sous le tee-shirt lui caressant les côtes!
-faudra pas perturber le chauffeur commandant! dit Aziz en souriant, tiens regarde c'est la voiture de Daniel qui arrive, t'es prêt ? on suit! En voyage, accrochez les ceintures!
La voiture fait le tour de la place, Aziz laisse passer une voiture et suit à distance comme un pro de la filature.
Il prend son rôle au sérieux, ne dit plus rien et les rues succèdent aux rues, ronds-points, pour finir par stationner à cheval sur le trottoir.
Aziz ralenti, éteint son phare et reste dans la pénombre observant la voiture qui ne bouge plus.
-on est près de l'Université de Carthage.
La portière s'ouvre, un mec descend, tenant une grande enveloppe à la main, regarde aux alentours et se dirige vers un petit immeuble, tape un code, entre, la lumière se fait et avant que Hassan dise quelque chose, Aziz descend de la moto, enlève son casque et file vers l'endroit où Daniel est entré, en disant à Hassan.
-j'reviens!
Hassan veut râler mais Aziz vif comme l'éclair a déjà traversé la rue et se retrouve devant l'entrée, il regarde et aussitôt revient en courant, et Hassan voit Daniel sortir, et retourner à son véhicule, il n'a plus rien dans les mains!
Aziz arrive, remet son casque :
-il parlait avec un type dans l'entrée et lui a remis l'enveloppe dit Aziz, je ne pense pas que le mec habite là car il était habillé comme quand on sort! Tiens regarde le mec qui sort, c'est lui!
Effectivement le mec tenait à la main une enveloppe.
-on fait quoi ? demande Aziz, on va lui demander l'enveloppe ?
-non Aziz, on va le suivre celui-là et voir où il nous conduit.
Le mec ne va pas bien loin, il monte dans une vieille voiture et démarre!
La filature reprend. Les rues se succèdent, ils roulent pendant plus d'un quart d'heure et d'un seul coup le paysage change, que des pavillons luxueux se succèdent, avec des drapeaux de différents pays.
-on est dans le nouveau quartier des ambassades dit Aziz.
Les feux arrières de la voiture s'allument, clignotant à droite, et la voiture entre dans une cour, en passant Hassan voit qu'il s'agit du drapeau Italien qui flotte.
Pour une surprise c'est une surprise! Un italien qui ferait du chantage à un français!
Mais c'est quoi cette histoire! pense Hassan.
Il n'avait pas bien vu cet italien, il serait bien incapable de le reconnaître.
-bon c'est tout pour ce soir Aziz, tu me ramènes à l'ambassade ?
-tu sais qu'on est passé devant chez moi tout à l'heure, j'ai pas eu le temps de te le dire commandant.
-tu m'invites pour une visite? dit Hassan en collant encore plus son zob qui était déjà dur d'avoir frotté contre les fesses du tunisien.
-j'peux même te payer une bière!
-quoi? tu bois de l'alcool ?
-c'est la fréquentation des français ça, ils m'ont perverti dit Aziz en riant.
Aziz redémarre la moto et Hassan prend un malin plaisir à repasser ses mains sous le tee-shirt et ne se gêne plus pour caresser le corps d'Aziz, passant même sa main sur le zob tunisien!
-on va avoir un accident crie Aziz en rigolant.
Ils n'ont pas mis longtemps pour arriver chez Aziz, qui gare sa moto dans un recoin du trottoir et est tout fier d'amener Hassan chez lui.
Il lui prend la main pour monter au 1er, ouvre sa porte, c'est un grand studio où le désordre règne comme dans la chambre d'un garçon célibataire.
-oh ma femme de ménage n'est pas venue! dit Aziz en se retournant vers Hassan et se jette dans ses bras, le serre contre lui, dis donc commandant tout à l'heure on a pas vraiment eu le temps de faire connaissance, tu as un corps qui me plait et que j'aimerais bien voir de plus près!
-t'as raison Aziz faisons plus ample connaissance tous les deux, j'ai envie de te déshabiller et t'admirer car j'ai vu et surtout senti que tu avais un corps magnifique et doux!
Aziz s'est laissé déshabillé, tout sourire, s'est retrouvé tout nu au milieu du studio, tournant sur lui-même pour se faire admirer d'Hassan, qui l'attire contre lui, pose ses mains sur ses fesses :
-j'ai envie de te déguster des pieds à la tête Aziz, te goûter partout où je pourrais mettre ma langue, t'es d'accord ?
Ses yeux s'étaient arrondis, grands ouverts.
-oh oui commandant fais ce que tu veux!
Hassan l'a fait reculer de deux pas pour qu'il tombe sur son lit, son long corps mince bronzé s'étalait devant ses yeux, imberbe des pieds à la tête, juste cette petit ligne qui partait entre les seins jusqu'au nombril et la touffe hirsute autour de son sexe, raide comme un piquet qui reposait sur son ventre, couvrant le nombril!
Hassan soulève ses jambes, pose les pieds sur son polo, et finalement l'enlève pour avoir les pieds de coller sur sa poitrine!
Il prend un pied entre ses mains, l'observe, le caresse, le respire, Aziz le regarde les yeux émerveillés. Hassan vient lui lécher le gros orteil, l'entourant de ses lèvres et voir le zob d'Aziz sursauter quand il suce le gros orteil. Il s'amuse avec le pied, caresse le mollet, remonte sur la jambe, la cuisse, une cuisse musclée mais pas trop!
La peau est douce et chaude, comme aime Hassan!
Il finit de se déshabiller, se mettant nu également et les yeux d'Aziz n'arrêtent pas de parcourir son corps et mater son zob!
Il s'agenouille par terre, entre les jambes d'Aziz, fait des bisous aux cuisses en remontant vers les couilles poilues qui pendent entre les jambes, ses lèvres arrivent dessus, il leur fait des bisous, les lèche et Aziz commence à gémir!
Il lèche les belles couilles qui remontent toute seule de chaque côté du zob!
Il en gobe une, Aziz pousse un petit cri, il amène la couille dans sa salive, la fait rouler sur sa langue et Aziz se tortille sur le lit en gémissant!
Il fait subir le même sort à l'autre couille, avant d'attaquer ce beau zob tunisien!
Il le redresse dans sa main, la circoncision est bien faite, magnifique, le méat est grand ouvert et des perles de mouille sortent, coulant sur le gland. Les lèvres d'Hassan remontent le long de la hampe et quand il arrive au gland, langue sortie il passe la pointe sur le méat et recueille la mouille!
Les gémissements d'Aziz se font de plus en plus forts et Hassan voit qu'il serre les draps dans ses poings!
Il goûte la mouille, avale le gland, aspire, suce, relève les jambes d'Aziz pour les coller sur son torse et découvrir ce petit cul que seul son sgeg a visité!
La pointe de sa langue part des couilles et descend vers la raie, déposant la salive, pour toucher l'anus déjà presqu'ouvert. Il n'a qu'à lécher, fouiller avec la pointe et le bout de sa langue entre dans l'antre chaude et humide! Faut entendre les gémissements d'Aziz qui se laisse déguster et s'offre à la bonne langue du commandant!
Les lèvres d'Hassan épousent les lèvres anales d'Aziz qui poussent de petits cris, et l'anus est bien ouvert! Plus par curiosité, Hassan fait pénétrer son index pour toucher la muqueuse, la caresser et faire gueuler Aziz qui finalement parle en arabe, dit que c'est bon "comme du miel" et d'un seul coup crie "nique moi commandant encore plus fort que tout à l'heure"!
Les désirs sont toujours des ordres chez les victimes d'Hassan!
Mais quand même, avant il enfonce deux doigts pour bien élargir le beau trou tunisien et y dépose de la salive avant de venir poser son gland raide et coulant sur l'entrée.
Il se redresse, les yeux et le sourire d'Aziz sont encourageants, sa langue lèche ses lèvres et là sur le dos il ne peut s'enfoncer seul sur le zob d'Hassan.
Alors Hassan l'observe au fur et à mesure de la pénétration, lui sent bien le sphincter s'ouvrir, la muqueuse chaude recouvrir son zob qui glisse lentement dans le petit cul offert.
Les yeux d'Aziz le fixent, lui sourit et ses yeux s'agrandissent au fur et à mesure de la pénétration et d'un petit coup de reins, Hassan fait entrer son gland, Aziz pousse un cri, restant la bouche ouverte, le souffle coupé, mais Hassan sent son sphincter jouer avec son gland, comme s'il était en train de le traire!
Hassan s'appuie sur les cuisses et continue de faire pénétrer son zob jusqu'à ce que ses couilles se collent au petit cul! Il est presque allongé sur Aziz qui sourit encore et son conduit maintenant a pris le relais, continuant de traire le zob d'Hassan.
Hassan lui écarte les jambes au maximum, c'est souple à cet âge, si bien qu'il peut pratiquement se coucher sur lui, sentir sur son ventre le zob dur d'Aziz, sa bouche se rapproche de celle d'Aziz qui vient à sa rencontre, bloquant ses bras autour de sa tête et quand les lèvres se rejoignent, Hassan commence à niquer Aziz, lentement pour bien lui faire sentir ce qu'il a dans le cul, ses gémissements sont étouffés dans sa bouche, les langues sont endiablées et la cadence s'accélère.
On entend que de longs gémissements et les claquements sur les fesses d'Aziz.
Hassan se sent excité dans ce bon cul et le plaisir commence à se pointer, son zob durcit, il accélère et en même temps son ventre branle le zob d'Aziz qui n'a rien perdu de sa raideur
Hassan lâche ses giclée en grognant mais sent en même temps qu'il gueule, Aziz jouit entre leurs corps, la tête renversée en arrière, son jus coule entre eux. Quand il regarde Hassan ses beaux yeux noirs brillent de mille feux, son sourire est de toute beauté :
-jamais on m'avait fait jouir comme ça commandant! C'est toi le meilleur!
Hassan n'a pas le temps de répondre que la bouche vorace d'Aziz s'empare de la sienne et que ses bras le colle encore plus fort contre lui, comme ses jambes se referment sur son corps!
C'est un baiser fougueux de mec heureux, content de ce qui lui arrive. Il regarde Hassan et rigole :
-j'aimerais rester comme ça toute la nuit! tu peux dormir je te tiens!
Et ses lèvres reviennent sur celles d'Hassan, les langues ne se quittent plus!
Il faut toute la volonté d'Hassan pour sortir de ce beau petit cul, s'allonger près d'Aziz qui vient se coller à lui, une jambe sur son corps, sa cuisse collée à son zob.
-tu restes dormir ici hein commandant ?
-hey mais j'ai toutes mes affaires à l'ambassade Aziz! Tu vas bien me ramener ?
Aziz s'étire, baillant :
-eh non, moi je ne sors plus! je te ramène demain matin à l'aube!
C'est une joyeuse bagarre sur le lit, de chatouilles et Aziz rigole comme un petit fou, heureux d'avoir ce mâle dans son lit!
-si tu veux tu peux rentrer à pied, c'est pas loin en fait, tu vois l'avenue qu'on a quitté, eh bien tu vas tout droit, il faut tourner à droite à un moment, puis un peu plus loin à gauche pour retrouver la place de L'Indépendance et là t'es arrivé!
Hassan lui serre le cou :
-ton père sait que tu kidnappes des mecs pour les garder dans ton lit, de pauvres étrangers qui ne connaissent pas la ville et qui sont à ta merci ?
-chut faut pas lui dire ça à mon père! Mais t'es un bon commandant toi! Tu ne ferais pas ça ?
-ça dépend comment mon kidnappeur va se comporter jusqu'à demain matin!
-ça veut dire quoi commandant ?
-que t'as pas goûté à mon zob, en entrant t'as dit que tu voulais m'ausculter! J'attends toujours!
Aziz rigole encore en se blottissant contre Hassan :
-c'est bien toi le plus coquin oui! et tu veux quoi commandant ?
-tout ce que tu veux, j'ai jamais eu d'esclave tunisien, jamais!
-jamais de tunisien dans ton lit ? mais on est les meilleurs commandant bien mieux que tous les marocains réunis!
Et ce fut encore une bagarre qui dégénéra quand Aziz s'est jeté sur le zob d'Aziz!
Enfin il ne pouvait plus parler!
Et Hassan fut ausculté une bonne partie du reste de la nuit!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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