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Chapitre-11
Il ne l'a pas emmené loin, au bout de la piscine dans l'ombre où il a mis un grand transat, l'a fait allonger en le prenant dans ses bras, il souriait Karim comme le félin qui tient sa proie! Son zob frottait contre la queue de Manuel.
Comme Johan il s'est mis à le caresser sur le visage, le fixant dans la pénombre. Les mêmes gestes que son chéri, la même douceur, la même tendresse.
Sa bouche descend sur son torse le léchant partout, le goûtant, joue avec les poils pubiens sans trop toucher sa queue, se redresse et enjambe le torse de Manuel, ses fesses sur sa queue qui l'écrasent et son zob arrive juste devant ses lèvres, ses genoux bloquent ses bras, il est à sa merci.
-avant que mon zob visite ton petit cul , j'aimerais bien qu'il visite, qu'il goûte à ta bouche, ta langue qui doit être sensas compte tenu que tu as fait crier Johan.
Manuel avait les yeux rieurs, joueurs.
Karim se redresse sur les genoux et ses couilles viennent se poser juste sur les lèvres. Il ne peut pas se servir de ses mains, il essaie de faire bouger ses bras, mais il peut juste caresser les mollets et les pieds de Karim.
Hassan lui fait ça de temps en temps, comme s'il le forçait, comme s'il l'avait fait prisonnier et qu'il devait obéir à tous ses ordres. Il aimait bien ce jeu avec lui ! Mais l'essayer avec un autre… pourquoi pas!
Le gros zob repose sur son visage, son nez, le gland coule dans ses cheveux. Il tire la langue et commence à titiller les couilles, les fait rouler, essaye d'en gober une mais elle se sauve et cela fait rire Karim qui l'observe. Il le laisse faire un moment et quand il veut l'aider, Manuel ouvre la bouche et aspire une couille dans sa bouche, il referme les lèvres et tire dessus, et c'est Karim qui crie puis rigole.
Il se laisse bouffer la couille et vient mettre la seconde, appuyant bien ses fesses sur le torse de Manuel.
Son zob est dur comme l'acier et la mouille qui faisait des perles coule maintenant pratiquement en continue. Il retire ses couilles au morfale de Manuel et lui passe son gland sur les lèvres, laissant ses traces de mouille.
Manuel lui montre ses dents, ouvre la bouche et fait mine de mordre le gland faisant sursauter Karim. Ils rigolent tous les deux et Manuel se laisse faire, se laisse dominer par ce beau rebeu para. Ses lèvres épousent bien le gland, le tenant fermement, il glisse sur sa langue, Karim se redresse encore en se penchant en avant pour s'enfoncer lentement dans la gorge de Manuel qui lui caresse les mollets partant du talon.
Quand le gland commence à l'étouffer, qu'il pleure, ses mains viennent sous la plante des pieds et au lieu de caresses, il chatouille ce qui fait sursauter Karim qui rigole en le traitant de pire des voyous!
-ah on voit que tu es à bonne école avec le commandant!
Manuel le tète comme il aime téter un bon zob, bon surtout celui d'Hassan, mais là celui de Karim a à peu près le même goût, la même texture et surtout est aussi dur et gros! Il sent bien que le zob durcit encore plus et Karim s'en rend compte également, alors il retire l'os à Manuel, s'allonge sur lui, libérant ses bras qui viennent l'emprisonner et l'embrasse tendrement.
-toi tu veux me faire juter le civil, mais moi je voudrais juter dans ton petit cul, là où ton chéri le fait souvent!
Il l'embrasse, en redressant ses jambes.
-j'aimerais sentir ta langue sur mon cul Karim.
-t'en fais pas, je vais te le bouffer ton petit cul!
Il n'a pas mis longtemps à le lécher en l'inondant, puis le doigter de deux doigts pour présenter son zob en le fixant comme un rebeu maître des opérations.
Manuel ne voyait plus cette expression chez Hassan, maintenant il ne voyait que de l'amour.
S'il faisait son macho, sa pénétration fût lente et douce mais quand le gros gland est passé, Manuel n'a pu s'empêcher de crier, comme si c'était le départ officiel des opérations. Il a stoppé quelques secondes et en deux petits coups de reins Manuel était épinglé, sentait la chaleur de ce gros zob se répandre en lui et le faire transpirer.
La machine rebeu se met en route lentement mais prend vite la vitesse de croisière pour arriver à faire claquer les fesses de Manuel qui en ont vu d'autres.
Karim ne quitte pas des yeux Manuel qui a chaque fois que le zob touche le fond, il pousse un cri, et les cris se rapprochent de plus en plus, jusqu'au dernier plus long quand Karim reste au fond et que Manuel sent le jus rebeu l'envahir, le chauffant encore et encore, pour sentir un rebeu para, en sueur s'écrouler sur lui, haletant comme s'il peinait à reprendre son souffle.
Il était redevenu le rebeu doux, tendre caressant.
Il est sorti délicatement de Manuel, venant toucher son anus et, comme rassuré a serré Manuel contre lui en lui caressant le dos, les fesses.
-maintenant je comprends le commandant Hassan lui dit-il à l'oreille en riant.
-merci Karim, t'es un mec bien tu sais!
Ils se sont caressés, embrassés comme des amoureux parlant à voix basse.
Ils entendaient les cris, les gémissements qui provenaient d'un côté ou de l'autre de la piscine, les rires.
-elle est pas mal la vie d'un militaire dit Manuel.
-oh tu sais c'est pas toujours comme ça, des commandants Williams t'en trouve pas partout, si tu rencontrais le notre, il n'aime pas les gays pour commencer, et ne sait pas faire des compliments pour encourager ses gars! Alors que le commandant Williams, tu l'as vu à l'œuvre dit Karim en riant.
-oui il est sympa mais je n'aime pas trop son regard, je le trouve dur et il regarde les gens comme du bétail!
-ah ah t'as un peu raison, il aime dominer dans la baise, mais si tu sais bien le prendre, enfin pas l'enculer hein, il devient plus doux!
-et toi alors ? t'aimes ça aussi te faire niquer ? dit Manuel.
Le silence s'installe, Karim le fixe, caresse sa joue :
-pas depuis longtemps Manuel.
Et il raconte ce qui lui est arrivé lorsqu'ils étaient prisonniers, comme aux autres d'ailleurs et c'est son chéri Hassan qui avait su lui faire apprécier lorsque c'était fait avec tendresse et un peu d'amour!
-mais dis donc, tu me dois quelque chose Manuel!
-quoi donc ?
-tu as dit que si j'arrivais à te faire crier tu me niquais.
-oui mais j'ai pas vraiment crier!
Et Manuel éclate de rire en voyant la stupéfaction sur la tête de Karim.
-j'ai adoré Karim, car tu n'es pas… trop bourrin, donc tu y tiens à avoir la queue du civil au fond de ton cul de para!
-oui Manuel, fais le!
-alors à quatre pattes ou tu préfères autrement ?
-comme tu veux! dit Karim.
-alors met toi à quatre pattes je peux mieux te bouffer le cul comme ça!
Il s'est mis rapidement en position comme s'il était pressé de se faire baiser!
Manuel a bouffé son deuxième cul de para, l'a doigté doucement, mais le zob de son chéri était passé il y a peu et le petit cul s'en souvenait encore.
Alors il a fait la mode rebeu pour niquer ce cul et entendre Karim gueuler a été sa plus belle récompense. Il n'a pu s'empêcher de faire une comparaison avec le cul d' Hassan, cela ne lui donnait pas les mêmes sensations.
Mais il l'a baissé de plus en plus durement faisant claquer lui aussi ses fesses, et Karim n'arrêtait pas de gémir en prenant les coups de reins, pour crier comme Manuel quand il s'est déversé en lui en longues giclées!
Que c'était bon le cul des marocains! pense Manuel.
C'est Karim qui revient faire son câlin dans les bras de Manuel.
-toi tu connais bien les culs marocains le civil!
Manuel ne répond pas et lui fait un bisou.
-mais tu ne me dira jamais si tu niques le commandant hein ?
-je ne dirais jamais rien car il n'y a rien à dire Karim dit il en faisant son plus beau sourire.
-t'es bien comme ton chéri tiens! tu sais garder les secrets et surtout tu sais faire dire ceux des autres! dit Karim en rigolant.
-c'est vrai qu'Hassan a l'art et la manière de te faire raconter ce que tu ne veux pas dire! dit Manuel en riant.
-tu sais que je l'aime beaucoup ton commandant ?
-je m'en doute Karim, comme sûrement tous ceux qui sont là, de différentes manières, et comme les indiens qu'Hassan m'a fait rencontrer à Pondichéry la semaine dernière! Si t'avais vu les regards des jeunes quand ils regardaient Hassan ! Il leur fait faire ce qu'il veut et ils obéissent.
-qu'est ce qu'il leur fait faire ?
-j'ai compris qu'après l'enquête, ils cherchaient du travail pour ne pas retomber dans la prostitution et Hassan les a fait embaucher au consulat à Pondichéry où ils sont encore et travaillent comme des chefs, heureux les petits mecs!
La voix d'Hassan se fait entendre :
-je pourrais récupérer mon chéri ? j'ai envie d'aller me coucher! dit Hassan.
Ils se lèvent tous les deux.
-il faut quelqu'un pour te bercer commandant ? demande Karim.
-non mais j'aime bien avoir ce voyou près de moi quand je vois ce qu'il peut faire en si peu de temps avec des légionnaires et des paras vicieux, lubriques qui sautent sur le premier civil venu!
Il prend Karim pour l'amener à lui :
-et on ne part qu'après-demain, donc on a encore toute la journée demain à être ensemble et je pense que mon vorace n'a pas encore goûté à tout le monde!
-pfft dit Manuel, c'est de ta faute aussi, t'as vu les mecs que tu me fais connaître aussi! j'en avais jamais tant vu de si bien fait au mètre carré et en plus à poils!
Ils rigolent et voient Johan venir vers eux, se blottir dans les bras de Karim.
-les légionnaires ont déclaré forfait, ils sont tous allés se coucher.
-eh bien on va en faire autant dit Hassan, vous savez où vous dormez les paras ?
-t'en fais pas, on a nos habitudes dit Karim en riant.
Hassan et Manuel ont pris une douche vite fait et Manuel vient se blottir contre Hassan.
-mon chéri va bien ? pas trop fatigué ? demande Manuel d'un air coquin.
-oui ça va pourquoi ? ne me dis pas que tu veux…
-non non je veux juste poser une question (il soulève le drap, dévoilant le zob qui repose sur la cuisse d'Hassan, le prend dans sa main) à ton zob, dis donc le beau zob, j'en ai appris une bonne ce soir! Il parait que tu soignes les culs qui ont été martyrisés par une bite non désirée! Eh bien chapeau de ce travail!
Il entend Hassan rigoler, l'attire à lui :
-mais c'est quoi ces sornettes voyou ?
-mais oui mon cher commandant, chef des voyous du monde entier, j'ai appris par un certain Karim qu'il t'avait demandé de le niquer doucement pour lui montrer ce que cela faisait quand ce n'était pas fait sous la force!
-il t'a dit ça ? mais pourquoi ?
-parce que mon cher ami quand je baise avec un mec qui est passé dans tes bras, faut qu'il me parle de toi, de ta gentillesse, de tes caresses, de ta façon de baiser comme si je ne connaissais pas tout ça! dit Manuel en riant.
-mon pauvre chéri, il t'en font voir les militaires et je suis sûr qu'ils veulent savoir quelque chose.
-et quoi donc ? voyons si tu trouves.
-je pense qu'ils veulent savoir si TOI tu me baises!
-banco! dit Manuel en riant.
-et t'as dit quoi ?
-t'inquiète chef des voyous le secret de ton petit cul est bien gardé! Quoique Karim m'a fait une réflexion juste avant que tu n'arrives.
-il t'a dit quoi ?
-que je baisais bien et que je devais bien connaître les culs marocains et il m'a redemandé si je te niquais, j'ai dit qu'il n'y avait rien à dire sur ce sujet et c'est là qu'il m'a comparé à toi pour savoir ne rien dire tout en faisant parler les autres!
-c'est un beau compliment ça dit Hassan en prenant le menton de Manuel, comme ça cela t'entraîne à ne pas répondre à des dragueurs dans le métro qui pourraient être de dangereux espions qui viendraient s'emparer de ton cul et de ta bite pour te soutirer des secrets!
Manuel rigole en recouvrant leurs corps du drap!
-j'ai envie de dormir mon chef des voyous! bisous.
Et comme souvent, il s'endort comme une masse.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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