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Chapitre-12
Leur dernière journée de vacances à Djibouti fût épique.
Dès le petit déjeuner pris en maillot de bains près de la piscine à l'ombre, les légionnaires et Paras étaient intenables agaçant autant les commandants que Manuel qui riait de se voir l'attention de tous ces beaux mecs.
Durant le petit déjeuner il les observe tous, d'abord Guillaume ce beau mec qui avait été si tendre avec lui, mais qui n'avait rien à envier à Jolian ou à Karim. Quant à Wilfried et Martial leurs relations avaient été rapides, et il y avait aussi le commandant Williams, mais ce mec ne l'attirait pas. Sûr c'était un beau mâle mais trop fier avec son idée de sa supériorité, on voyait bien qu'il fallait qu'il domine et Manuel, la domination, il n'aimait ça que par jeu, surtout pas être contraint.
Les commandants parlaient entre eux de choses et d'autres quand Manuel s'est rapproché de Wilfried qui rêvassait les jambes au soleil :
-on peut se baigner ce matin ? lui demande t-il doucement en passant son bras sur ses épaules.
-le civil a peur de se noyer et il a besoin de l'aide du légionnaire ?
-oh je suis sûr que si tu es avec moi je ne crains rien Wilfried.
-je sais pas dit Wilfried en fronçant les sourcils et collant son nez au sien, si je vais pas en profiter pour te noyer, comme ça on garde TON commandant pour nous!
Manuel rigole.
-viens essayer de me noyer voyou de légionnaire!
Ils se relèvent et plongent tous les deux dans la piscine, nagent côte à côte en direction de l'ombre pour s'arrêter au bord, se regarder en souriant et Manuel se rapproche de lui en venant coller son corps au sien. Les queues ne bandent pas encore complètement mais les frôlements, les caresses accélèrent l'opération et Manuel colle sa tête sur l'épaule de Wilfried.
-il est en manque d'affection le civil ? TON commandant ne t'a pas fait de câlin ce matin ?
-c'est toi qui ne m'a pas fait vraiment quelque chose Wilfried, on dirait que tu m'ignores depuis qu'on est rentré.
-je ne t'ignore pas, mais avoue que tu as été pas mal occupé avec ces squatteurs de paras et que tu les as préféré aux légionnaires!
Manuel frotte son sexe enveloppé contre celui de Wilfried, le fixe :
-il est en forme mon légionnaire préféré ce matin!
-moi ton légionnaire préféré ? t'es bien comme ton commandant, un grand baratineur, tu crois que je ne t'ai pas vu minauder dans les bras de Guillaume, c'est une vraie gonzesse quand il trouve un mec qui lui plait et comme tous, cela fait tellement longtemps qu'on n'a pas touché un beau civil qu'on voudrait tous t'avoir en même temps!
-je vous aime tous Wilfried, mais c'est vrai que Guillaume m'a étonné, surpris, mais je te dirais bien comme Jolian et Karim.
-donc il reste Martial et moi et tu auras fait le tour! Tu veux pas essayer notre commandant ?.
Manuel fait la moue et ne répond pas et Wilfried n'insiste pas.
-alors qu'est ce que tu attends de moi Manuel ?
-tout mon beau légionnaire, te connaître des pieds à la tête, te goûter de partout et que toi tu me fasses crier aussi, de la même façon que tu cries quand c'est mon commandant qui s'occupe de toi!
-alors on a du boulot jusqu'au repas, mais viens je t'emmène discrètement dans ma chambre, on devrait être plus tranquille.
Ils sont sortis de la piscine, se faisant sécher au soleil et Manuel est rentré dans la maison suivi de Wilfried quelques instants plus tard. Seul Hassan avait le sourire en les voyant faire!
Wilfried a pris Manuel par la main et l'a entraîné dans une chambre. Sitôt la porte fermée Wilfried l'a pris dans ses bras et ils ont échangé leur premier vrai baiser de mecs qui aime les mecs. Les caresses pleuvaient, les mains ont retiré les maillots de bains et les sexes libres ont pu enfin se toucher, se frotter. Wilfried l'a fait allongé sur le lit, s'est couché sur lui, l'écrasant de son poids de muscles de légionnaires et il a dégusté Manuel de la tête aux pieds.
C'est pas possible ils devaient tous faire un concours de tendresse ces militaires! pense Manuel.
Quand ses pieds furent léchés, Wilfried le fait mettre à plat ventre et repart dans le sens contraire, le fait redresser son petit cul et Manuel pousse des petits cris pour la première fois de sentir sa langue entrer finalement dans son petit trou.
Il a mis un temps fou à lui bouffer le cul, l'inonder, le doigter tendrement en s'enfonçant au plus profond qu'il pouvait :
-donne ton cul au légionnaire, le civil! a dit Wilfried.
Manuel a obéi en tendant encore plus son petit cul chaud et sentir immédiatement le gland chaud de Wilfried qu'il n'avait pas encore goûté ce jour, commencer à entrer en lui. Ses mains le serraient fortement aux hanches, son gland glissait en lui, l'ouvrant facilement et quand le gland a passé le sphincter, Manuel a poussé un long cri et le gland est entré serré par son sphincter.
Les mains de Wilfried le caressaient, il semblait apprécier sa peau chaude et douce.
Un coup de reins et les centimètres vont encore plus loin, deuxième coup de reins et il sent les poils pubiens se coller à ses fesses, comme il sent les couilles de Wilfried se frotter aux siennes.
Il n'a pas le temps de savourer, que les coups de reins s'enchaînent rapidement faisant voyager cette belle grosse bite de légionnaire dans son petit cul chaud de civil qui en avait vu passer d'autres!
Il allait de plus en plus vite, ses mains lui faisaient mal en le serrant aux hanches, mais purée sa queue coulissait comme dans un fourreau. Ils étaient en sueur tous les deux malgré la clim et quand Wilfried a joui, Manuel a senti la première giclée l'inonder et le réchauffer encore plus en se répandant partout, ils gémissaient tous les deux, les mains serraient encore ses hanches et les giclées suivantes se sont succédées. Manuel a cru qu'il allait se vider complètement!
Wilfried l'a fait se redresser contre lui, l'embrasse dans le cou ruisselant, ses lèvres viennent à son oreille pendant que sa main prend sa queue raide coulante de mouille.
-je te branle ou tu m'encules de suite le civil ?
-tu veux quoi ? demande Manuel.
Sans répondre, Wilfried sort de son étui, Manuel vite fait se retourne et vient lécher la bonne queue qui vient de lui fournir tant de jus et prend un malin plaisir à la déguster.
Mais Wilfried se met à quatre pattes et prend exactement la même position que Johan ou Karim la veille. Une belle paire de fesses où son chéri a déjà déposé son obole sûrement plusieurs fois pense Manuel en souriant.
Il écarte les fesses, la raie ruisselle, il passe la main, l'anus est là, se penche pour passer sa langue, mais Manuel dit :
-baise moi de suite Manuel s'il te plait! j'suis prêt de toute façon.
Il en avait tellement envie qu'il a obéi et sa queue est allée se fourrer dans l'antre que son chéri aimait particulièrement. Ce gourmand de Wilfried réclamait, plus fort, plus, vite, claque mon cul et Manuel obéissait à tout ce qu'il demandait mais il n'a pas tenu longtemps, sa queue voyageait bien elle aussi, mais de sentir ces muscles, cette peau douce, ce dos large presque deux fois comme le sien, lui la crevette par rapport à tous ces mecs a éjaculé au fond de ce bon cul en serrant également les hanches du légionnaires.
Les giclées se suivaient et remplissaient bien le conduit, pendant qu'ils gémissaient et poussait des petits cris tous les deux.
Lessivé Manuel s'écroule sur le dos de Wilfried, reprenant leur souffle et laissant couler la sueur.
Soudain la porte s'ouvre :
-mais c'est qui ce civil qui baise tous les militaires ? demande la voix de Martial en rigolant.
Ils le regardent tous les deux d'un air de dire : tu veux quoi ?
Il s'approche d'eux et caresse le dos de Manuel.
-mais c'est qu'il a de la force pour un civil le petit mec!
-que veux tu dit Wilfried en se délivrant de Manuel, il a un bon professeur de sexe! T'es venu me remplacer ?
-ben oui car tu tiens jamais la distance! dit Martial en riant.
Ils se font une bise et devant l'air ébahi de Manuel, Wilfried sort de la chambre en lui envoyant un bisou du bout des lèvres.
Martial s'allonge près de lui, il est toujours en maillot de bains.
-tu veux bien de moi le civil voleur de commandant ?
-mais vous ne voulez pas que je reparte ou quoi ?
-toi si, mais on va séquestrer ton commandant!
Ils rigolent tous les deux et les corps se rapprochent, le silence se fait, juste Martial qui déclare :
-on a à peine une heure car le déjeuner va être prêt!
-c'est un marathon ? demande Manuel.
-oui de sexes, j'ai eu envie de toi en tête à tête mais monsieur a contrarié nos plans ce matin!
-comment ça ?
-c'est moi qui devais venir te faire des avances à la piscine pour t'amener ici et ensuite Wilfried devait venir.
-bah c'est pas grave, le tout c'est d'y arriver dit Manuel en riant. Comme ça je vais pouvoir faire des comparaisons entre légionnaires et paras!
Le silence se fait enfin et l'on entend plus que des gémissements, des râles, des compliments. Les corps sont caressés, sucés, léchés et les culs pénétrés.
Quel plaisir d'être avec des mecs qui aiment prendre et recevoir.
Manuel s'est bien fait inonder son petit cul en feu et Martial savait également prendre une belle bite, et râler quand il a senti le bon jus de Manuel se répandre en lui.
Ils sont restés un moment avant de respirer normalement et Martial l'a emmené prendre une douche ou Manuel s'est laissé laver par ce beau légionnaire.
Lorsqu'ils sont arrivés près de la piscine, ils étaient tous déjà là et riaient quand ils les ont vu arriver.
Manuel est allé s'asseoir près de son chéri et il y avait Williams de l'autre côté, sourire carnassier aux lèvres.
Mais Martial est resté debout, appuyé au dossier de la chaise :
-un peu d'attention messieurs les commandants et toi commandant Hassan, on doit te donner les résultats de notre enquête à tous, après que ton chéri soit passé entre toutes nos mains et je ne donnerais pas tous les détails de l'enquête, mais maintenant on sait commandant Hassan pourquoi ton préféré est Manuel, qu'il a su te dresser, t'hypnotiser sûrement et qu'ainsi tu sois devenu le plus amoureux des commandants.
Il se tourne vers Manuel :
-je pense que personne ne me contredira pour dire que Manuel est un beau et charmant civil et que nous les militaires on n'en avait pas eu un si beau depuis longtemps. Mais baiser, je dirais même faire l'amour avec lui est divin et toi commandant ben tu dois pas t'ennuyer avec lui tous les jours!
-oui le coupe Manuel, quand il ne va pas secourir de beaux militaires en détresse qui me le rendent éreintés!
Ils rigolent tous et se jettent sur le manger comme des affamés.
Le commandant Williams n'a pas fait de réflexion, ne dit rien mais Manuel sent bien qu'il fait tout pour le charmer et il fait celui qui apprécie, quand durant le repas il finit par lui demander :
-tu viens faire la sieste avec moi après déjeuner ?
C'était dit dans le brouhaha des voix de tout le monde, Manuel l'a regardé, a pris son plus beau sourire :
-tes soldats n'arrêtent pas de m'appeler le civil, que je suis et je ne suis pas à l'armée, alors quand on me demande si jeux faire la sieste avec quelqu'un pour un civil la question aurait dû commencer par "est ce que tu veux bien venir faire la sieste", sinon je prends ça pour un ordre!
Manuel voit bien qu'il a marqué un point, mais William rigole :
-je vais dire comme mes soldats, tu es à bonne école avec Hassan.
-certes, mais tu sais pour m'avoir dans son lit faut déjà que ça me plaise et que j'en ai envie.
-donc c'est un refus dit Williams avec le sourire.
-désolé dit Manuel en posant sa main sur son bras.
-il faut que je révise mon parler quand je suis avec un civil alors!
-c'est ça dit Manuel en riant, mais lui fait la bise surprenant Williams.
Il est plus de 15 heures quand ils finissent le repas et que Williams leur dit de surtout se reposer soit à l'ombre soit à la maison comme ils veulent, mais de ne pas trop faire les fous au soleil sous cette chaleur.
Il se lève de table, regarde tout le monde :
-si parmi vous quelqu'un ne trouve pas un lit de libre, il peut venir faire la sieste avec moi!
Il part dans la maison sans que personne ne bouge car Manuel s'est levé prenant Hassan par le cou :
-moi aussi j'ai quelque chose à vous dire, c'est que je suis très heureux d'avoir fait votre connaissance à tous et vous m'avez fait passer de très bons moments que je ne suis pas prêt d'oublier, mais faut bien que je vous fasse râler quand même car j'ai cru comprendre qu'on partait demain et ne me demandez pas où l'on va, mon chéri, commandant de tous les voyous du Monde a refusé de me le dire encore ce matin, alors parmi vous il y en a vraiment deux qui m'ont épaté.
Le silence se fait et ils le regardent tous attendant la suite :
-mais je ne vous dirais pas qui ils sont! dit Manuel en riant, je ne veux pas faire de jaloux..
Ils crient, sifflent en le huant pendant qu'Hassan rigole de l'entendre,
-mais ce que j'aimerais c'est parler en particulier à Guillaume et Johan, car je n'ai pas terminé mes conversations!
Il se fait traiter de voyou pendant que les deux concernés se sentent rougir car Manuel vient derrière eux, et comme ils sont côte à côte, passe sa tête et leur fait un bisou :
-si ces messieurs veulent bien venir s'allonger sur le transat à l'ombre tous les trois ?
Ils se lèvent tous les deux, encadrent Manuel en le serrant et partent en direction du transat, tortillant tous les trois leurs petits culs enveloppés dans les maillots de bains.
Karim prend Martial par l'épaule :
-tu viens avec moi bercer notre commandant ? on ne va pas le laisser tout seul déjà que Manuel lui a refusé de faire la sieste avec lui!
Wilfried vient s'asseoir sur les genoux d'Hassan, le prend par le cou :
-on va croire qu'on s'aime tous les deux! dit Wilfried.
-pourquoi c'est pas le cas ? demande Hassan.
-tu vas me manquer commandant!
-attend on part que demain matin et en tant que chauffeur je pense que c'est toi qui nous accompagne à l'aéroport ?
-bien sûr, j'y tiens à te voir partir, pour être sûr!
L'après-midi a été chaude pour tous.
Manuel entre ses chouchous a reçu une dose de caresses, tendresse que même dans ses rêves il n'aurait pu imaginer.
C'étaient bien eux ses préférés. Ils l'ont fait jouir plusieurs fois avec leurs mains, leurs bouches. Il les a branlé en regardant les giclées s'élever dans les airs, retomber sur les corps pour les lécher et se partager la semence. Ils se sont jetés à l'eau souvent car il faisait chaud, très chaud et heureusement qu'ils étaient à côté de la piscine.
Ils n'ont pas parlé beaucoup, mais les regards étaient intenses et c'est Guillaume qui posait le plus de questions et une le taraudait :
-est ce qu'on pourra te revoir toi et le commandant bien sûr ?
-Hassan ne vous a pas laissé ses coordonnées ?
-si disent ils en cœur.
-alors c'est qu'il a bien envie de vous revoir, mais vous revenez quand en France ?
-normalement dans un mois et demi, deux mois, on ne sait pas trop encore.
-eh bien si vous êtes à Paris venez nous voir, je vais vous laisser mon téléphone aussi, car si jamais mon globe-trotteur de commandant est encore parti sauver des âmes en peine, moi je me ferais plaisir de vous recevoir!
Le lendemain matin, réveillés aux aurores, ils étaient tous là pour leurs adieux aux vacanciers avant de partir au boulot et que Wilfried les conduisent à l'aéroport.
Williams est venu les saluer, Manuel l'a remercié de son hospitalité et de sa gentillesse, en lui disant à l'oreille gentiment "qu'il s'excusait, mais qu'il aimait déjà un commandant très fort". Il avait quand même le sourire et n'a pas refusé les bisous de Manuel.
C'est en arrivant à l'embarquement que Manuel découvre qu'ils vont au CAIRE.
-mais tu ne m'as jamais raconté que tu étais allé en Egypte ?
-on a 3 heures de vol pour que je te raconte.
-alors qui nous attend à l'arrivée, un ex à toi avec une pancarte à mon nom ? dit Manuel en riant.
-non cette fois personne ne nous attend, personne ne sait qu'on vient, on va faire des surprises à un vieil égyptien qui va sûrement te surprendre et à ses neveux.
Sans s'occuper des gens autour d'eux, Manuel fait son plus beau sourire à Hassan et l'embrasse sur le coin des lèvres :
-je t'aime mon chéri.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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