Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-16
Dans la chambre des "neveux", Jamal et Manuel ont fait plus amples connaissances.
Mine de rien Manuel a posé des questions et ce bavard de Jamal a raconté tout ce qu'ils avaient fait avec le commandant lors de sa venue.
Pourquoi ils l'aimaient tous les deux ? Parce que c'était le meilleur des hommes qui avait su leur redonner confiance en eux, savoir être patient, ne plus se jeter dans la gueule du loup comme ils avaient fait car fallait bien qu'ils mangent et maintenant ils avaient leur "tonton Abdel" pour les diriger.
Ils ne faisaient rien sans son aval et c'est vrai qu'ils le niquaient de temps en temps quand il ne recevait pas de visites dans la journée, car Abdel est un gourmand du cul. Faut qu'au moins un zob entre son cul dans la journée.
Il avait fait rire Manel avec toutes ses histoires, rire et bander aussi car il n'arrêtait pas de le toucher, mais avant de passer aux choses sérieuses, Manuel avait été soumis à la question également. Il voulait savoir comment il avait connu le commandant.
Quand il a su les tenants et les aboutissants de l'histoire, Jamal a rigolé :
-mais alors t'étais comme nous!
-non je n'avais pas encore fait la bêtise, mais je pense que je me serais laissé avoir également.
Ils se sont racontés les histoires des pervers et d'un seul coup Jamal est devenu sérieux. Ils étaient allongés face à face, les jambes emmêlées et le zob de l'égyptien bandant était appuyé sur le beau sexe pas encore décalotté de Manuel. Les sexes se caressaient déjà à la faveur des mouvements de ces deux zigotos. La main de Jamal est venue caresser la joue de Manuel doucement sensuellement, son pouce passe sur les lèvres, les yeux sont fixes, les respirations ralentissent et comme des aimants les lèvres sont attirées.
Elles avancent les unes vers les autres lentement, sentant les souffles se mélanger et s'échapper sur les visage, les nez se touchent, les yeux ne se quittent pas et enfin, les lèvres s'effleurent, se tâtent, se goûtent. Les langues, comme si elles étaient timides font une lente apparition pour juste se toucher du bout.
Manuel sent la main de Jamal se raffermir sur sa joue, son souffle s'accélère, sa langue glisse sur la sienne, et Jamal ferme les yeux en même temps que ses lèvres se ferment sur celles de Manuel aspirant sa langue.
Les mains s'activent sur les corps mais les lèvres ne se quittent plus, ils roulent sur le lit d'un bord à l'autre en gémissant, sentant les salives couler d'une bouche à l'autre. Les sexes s'écrasent l'un sur l'autre, roulent et les mouilles se mélangent.
Jamal est sur Manuel pas décidé de lâcher ses lèvres, il sent les mains de Manuel venir sur ses fesses après lui avoir caresser le dos. Les mains se saisissent des fesses, les caressent, les malaxent, les pétrissent en les écartant.
Les doigts passent dans sa raie touchent la raie humide et l'index de Manuel sent l'anus souple, lisse, chaud se laisser pénétrer lentement.
Jamal lâche les lèvres en soulevant la tête pour pousser un long gémissement et regarde Manuel :
-tu veux me niquer ?
-bien sûr dit Manuel avec son beau plus beau sourire, et toi ?
-bien sûr répond Jamal en riant, pour niquer les égyptiens sont les meilleurs! dit Jamal fièrement.
Mais avant d'arriver à se niquer les corps ont été examinés des pieds à la tête par les deux, riant de se chatouiller, riant de se sucer et se faire jouir dans un 69 endiablé où ce fût enfin le silence.
Ils se sont complimentés sur leur façon de sucer, de se caresser et après des caresses et des bisous pour faire revenir les corps affamés, Jamal s'est mis sur le dos, ouvrant bien les jambes, montrant son anus que Manuel avait déjà doigté et léché abondamment.
Il a recommencé mais moins longtemps et quand son sexe bien décalotté est entré dans l'antre chaude de l'égyptien, l'entendre râler, gémir, crier quand la bonne queue passe un cap, et gémir longuement quand cette bonne queue prend possession des lieux.
Juste avant qu'il ne commence ses va-et-vient, Jamal a pris la tête de Manuel entre ses mains pour qu'il le regarde bien :
-je suis sûr que tu niques le commandant comme ça et qu'il doit apprécier! Car c'est un voyou ton commandant chéri, avec Ilyes il a bien voulu qu'on le touche, le lèche mais on a jamais osé aller plus loin, mais toi je suis sûr que tu y es arrivé!
Manuel ne répond pas mais sourit.
-allez montre moi comment tu niques un commandant! dit Jamal en riant.
Quel voyou cet égyptien pense Manuel, il est bien comme tous les autres, ils veulent tous savoir ça!
Alors il l'a niqué. Doucement d'abord faisant bien coulisser sa queue pour qu'elle râcle le conduit égyptien et qu'il râle, gémisse de plus en plus fort au fur et à mesure que les coups de reins devenaient plus rapides et plus secs.
Une vraie mitraillette ce Manuel, déchaîné comme s'il n'avait pas baisé depuis une éternité et jouir comme l'explosion d'un feu d'artifices en un bouquet final, le faisant crier et s'écrouler dans les bras de Jamal, qui l'embrasse à perdre haleine, le fait tourner sur le lit, sort la queue de Manuel, lui relève les jambes :
-à moi dit-il de te montrer la méthode égyptienne dit Jamal les yeux pétillants.
Il a un beau zob Jamal, mais moins épais que celui du commandant.
Manuel adore ses coups de langue qui lui inondent bien l'anus et le beau zob égyptien se présente à l'entrée. Jamal le buste droit, appuyé sur ses deux mains laisse son zob chercher l''entrée, se positionner. Il fixe Manuel tout sourire qui sent déjà le gland commencer à s'enfoncer, s'ouvrir et pourtant il n'a pas la sensation que Jamal bouge même un cil!
La tête de Jamal tout sourire se rapproche et d'un coup de reins fait entrer son gland. Manuel serre bien son sphincter autour, le plus fort qu'il peut. Mais le zob poursuit son chemin comme une ogive suit sa direction.
Manuel râle, gronde et Jamal en fait autant. Son zob glisse comme dans un étui et ses belles couilles viennent caresser les fesses de ce franco espagnol qui s'offre.
Et Jamal prend de suite sa vitesse de croisière, il veut niquer ce mec qu'il adore le plus longtemps possible. Mais c'est sans compter sur ce voyou de Manuel qui joue avec son conduit sur le beau zob chaud et coulissant, le laisse arriver au fond de lui et le serre quand il se retire, si bien que Jamal gémit plus fort que Manuel.
Il finit par jouir comme Manuel a joui en lui, sentir que le conduit se relâchait à chaque giclée chaude et Manuel qui l'attire à lui pour l'embrasser comme Ilyes son amoureux peut lui faire.
Ils n'arrêtaient pas de s'embrasser, mais Jamal voulait savoir comment il arrivait à si bien serrer son cul sur son zob. Manuel n'avait pas d'explications.
Ils sont allés prendre une douche rapidement, essayant de ne pas faire trop de bruit et se sont recouchés, bandant mais décidés à dormir.
Hassan s'est réveillé doucement attaqué par une pieuvre endormie. Ilyes ne l'avait pas lâché de la nuit. Il arrive à sortir du lit sans le réveiller et va vers la cuisine où il entend du bruit.
C'est Abdel qui fait le café et prépare les petits déjeuners.
-salut Abdel, bien dormi ? demande Hassan, on n'a pas fait trop de bruit ?
-rien entendu dit Abdel en faisant la bise à Hassan.
-tu deviens sourd alors ? Parce que moi j'ai entendu Manuel et Jamal.
-ils n'ont pas fait plus de bruits que toi avec Ilyes dit Abdel en riant.
-t'es toujours un vieux filou! ils vont se lever quand ?
-quand on les réveille Hassan, tient prend la corne là et va les réveiller!
Il riait en le voyant prendre la corne accrochée au mur.
-mais c'est une corne de brume bretonne ça! Les égyptiens on ça aussi ?
-c'est égyptien mon ami, puis qu'elle est dans mon pays! dit Abdel avec son petit sourire.
Hassan va dans la chambre où dorment Jamal et Manuel et sourit quand il voit le tableau de ces beaux petits mecs, nus, les sexes raides qui dorment en se tenant par les épaules, les têtes collées.
Il regarde la corne et c'est presque avec regret qu'il souffle dedans, pour les voir sursauter et faire un bond!
Mais Jamal retombe sur le lit sans ouvrir les yeux.
-Abdel! on travaille pas!
-c'est pas Abdel bande de fainéant, debout ou je vous vire du lit.
Ils restent dans le lit, assis l'un contre l'autre, se tiennent pas les épaules et le regardent :
-on est deux, et tout commandant que tu es je ne crois pas que tu sois de taille contre nous!
Hassan prend son sourire carnassier, pose la corne, s'approche du lit, ils rigolent en se serrant l'un contre l'autre et, vif comme l'éclair Hassan prend chacun un pied et tire dessus en les levant. Ils se retrouvent près à tomber du lit, criant, hurlant.
Mais la vue est belle pour Hassan, ces deux belles paires de fesses, ces queues toujours raides. Ils les lâchent et ils se lèvent rapidement pour venir l'encadre et lui faire des bisous.
-Ilyes est réveillé ? demande Jamal.
-non j'y vais de ce pas dit Hassan en reprenant la corne, allez voir Abdel il a tout préparé, mais cachez vos queues, vous allez exciter le vieux sinon!
Il les entend rigoler et il retourne dans sa chambre pour constater qu'Ilyes dort encore il n'a même pas entendu le bruit qu'ils venaient de faire.
Il est sur le dos, une jambe repliée, le drap laisse voir son sexe raide qui dépasse. Il sourit en dormant ce voyou. Hassan voit sa respiration régulière, sa poitrine qui se soulève, il va pour corner mais est pris de remords, il vient s'agenouiller près du lit, retire le drap et caresse doucement presque en l'effleurant le beau corps de ce jeune égyptien qui s'est si bien offert hier soir. Il est beau Ilyes, magnifique même avec ses longs cils.
Il bouge sous la caresse d'Hassan sans ouvrir les yeux, mais il est réveillé ce voyou et se laisse caresser le torse, le ventre, les doigts touchent sa toison sans toucher à son zob et remonte jusqu'à son cou.
Il ouvre les yeux :
-plus bas commandant, j'aime bien tes caresses au réveil!
-on n'a pas le temps jeune guide! Tout le monde est levé, sauf toi!
Il se lève près d'Hassan toujours à genoux et passe son zob sur son nez, sa bouche en riant.
-eh bien tu ne sauras jamais si j'avais du jus ce matin!
Il enfile son boxer et les voilà arrivés à la cuisine.
-tu vois que c'est son chouchou au commandant dit Jamal en posant sa main sur celle de Manuel, monsieur Ilyes n'a pas eu droit à la corne lui!
-non dit Ilyes, moi j'ai eu droit à des caresses et je peux dire que les caresses du commandant le matin, ça donne la forme pour la journée!
Ils étaient partis pour rire.
Hassan essaya de les faire presser pour se préparer et une heure après ils partaient pour le nouveau Musée près de la grande pyramide.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :
