Les supplices chinois

Chapitre 2

Lorsqu'ils pénètrent dans la grande cave, Farid constate qu'elle est très bien aménagée.. de beaux meubles, de beaux tapis, des tentures sang et or, ornées de dragons qui crachent le feu.. il est poussé vers une tenture, passe au travers pour arriver dans un autre endroit moins réjouissant.. la première chose qu'il voit se sont des cages grillagées à même le sol.. il n'a pas le temps de voir tout, qu'une voix lui demande de se déshabiller.. il se retourne pour râler.. et, devant lui, les quatre chinois ont mis un masque hideux de monstres grimaçants.. la chair de poule prend Farid.. il regarde les quatre personnes.. les sabres réapparaissent et se dirigent vers lui.. il comprend qu'il doit obéir.. il se déshabille, enlève ses skets, ses chaussettes, son survêt, son haut et apparait en boxer..

-j'ai dit tout nu dit une voix.. et, en même temps les sabres s'approchent de lui..

Farid enlève son boxer laissant voir son sexe ramolli, circoncis qui repose sagement sur ses belles couilles.. ah il bande pas Farid et n'en a aucune envie..

Un sabre s'approche de lui et de la pointe caresse son torse, ses tétons, descend sur son torse dans le milieu de sa poitrine.. cela le fait frissonner, mais il a peur Farid.. la pointe du sabre arrive sur son sexe, du plat, son sexe est pris par le bout et soulevé, sous les ricanements des quatre mecs masqués.. qui commentent en chinois..

-tourne toi dit la voix

Farid obéi et se laisse admirer son beau petit cul qui vient juste d'être dépucelé par son copain Ouali.. ah putain ils auraient mieux fait de rester dans leur cave! pense Farid qui sent la pointe du sabre parcourir son dos, descendre sur ses fesses, toujours en les frôlant la pointe du sabre parcoure sa peau..

-bois ça! dit un des mecs en lui tendant un gobelet, tu vas en avoir besoin..

Farid obéi, mais les sabres se relèvent et viennent autour de son cou s'appuyer..

Farid boit un espèce de liquide blanc qui ressemble à du lait.. mais ce n'est pas du lait.. le liquide le réchauffe, il sent qu'il transpire, ses paupières se font lourdes et d'un seul coup s'affaisse au sol.. endormi.

Farid ne sait pas ce qui se passe pendant qu'il dort.. mais lorsqu'il se réveille.. lentement, c'est pour constater qu'il est attaché nu à un poteau, par un jeu complexe de cordes transparentes, fines qui le maintiennent bien droit du torse à la taille et constate que seul son sexe et ses couilles dépassent.. elles sont entourées à la base des couilles et la queue ressort bien.. molle, petite..

Il entend du bruit et voit entrer 6 hommes habillés en tenue de chinois, tous avec un masque, sauf un.. qui se trouve pratiquement nu, un turban autour de la taille qui cache son sexe et ses fesses.. il est maigre, presque maladif.. son teint jaune pâle doit y être pour quelque chose pense Farid, qui voit cet homme d'un certain âge venir vers lui, sa bouche est entourée d'une moustache qui pend longuement de chaque côté.. ses yeux bridés le fixent.. il a un long couteau à la main et, de la manière qu'il s'approche de lui, il fait peur à Farid.. comme avec les sabres, le couteau est passé sur son torse, là où il reste de la place, entre les cordelettes.. mais la pointe est plus appuyée qu'avec les sabres.. et à certains moments cela fait comme une brûlure à Farid.. son sexe n'est pas épargné, la pointe du couteau passe dessus, fait le tour de son gland circoncis, cela lui fait mal.. le vieux chinois est impassible..

Puis il se recule d'un pas ..

-si on était en Chine dit la voix, tu subirais le supplice des 100 morceaux et des 8 couteaux pour ce que tu as fait à un membre de notre communauté.. vous les arabes vous pensez que vous pouvez tout faire.. mais maintenant dans le quartier, c'est un quartier chinois avec les lois chinoises que tu vas subir..

-mais j'ai rien fait de mal dit Farid

-quoi! tu as voulu convertir un jeune de notre communauté au sexe dépravé de ta race et de celle des européens.. tu n'es qu'une vermine qui va payer.. et ensuite tu disparaitras d'ici..

Le vieux chinois se recule.. et les cinq autres avancent, le sabre à la main qu'ils font tourner autour de Farid, ligoté, qui ne peut même pas bouger le petit doigt.. et les sabres virevoltent autour de lui, sans jamais le toucher, il sent juste l'air déplacé sur son corps, mais quand les sabres s'approchent près de son sexe et qu'il sent l'air dessus, il essaie de se recroqueviller.. mais les sabres vont de plus en plus vite.. il sent la sueur couler sur son front, lui tomber dans les yeux, les larmes arrivent, il crie, pleure mais n'ose pas bouger.. son coeur bat à mille à l'heure.. la peur s'empare de lui.. une musique stressante monte dans la cave au fur et à mesure que les sabres virevoltent de plus en plus vite autour de lui.. pour finalement venir couper certaines cordelettes en laissant une trace qui se met à saigner..

Farid sent que les cordelettes ne l'enserrent plus comme au début.. mais il n'ose plus bouger.. son sexe est toujours emprisonné et il espère qu'ils ne vont pas couper la cordelette avec le sabre.. la sueur coule toujours sur son corps.. il halète, la peur est là..

Les cordelettes du torse tombent, laissant voir le corps plein de petites entailles qui saignent lentement..

Le ballet des sabres s'arrêtent comme il a commencé.. Farid souffle, regardant tous les mecs autour de lui, il ne peut voir que la tête du vieux qui revient près de lui..

-tu vas dire haut et fort ce que tu as fait au jeune asiatique dit le vieux chinois..

Farid se sent rougir de honte.. et commence son histoire en disant qu'il a rencontré Wong sur la place et qu'il l'a invité dans sa cave pour baiser, qu'il était d'accord pour faire ce qu'ils ont fait.. c'était à peu près vrai pense Farid qui ne parle pas de son pote Ouali..

-tu mens dit le vieux chinois, Wong ne fait partie des gens comme toi

Le vieux chinois prend à pleine main la bite et les couilles de Farid et serre fort en le fixant..

-je veux la vérité dit le vieux chinois qui serre de plus en plus sa main..

Les larmes viennent aux yeux de Farid qui ne peut les empêcher de couler..

-alors dit le vieux chinois qui ne desserre pas son étreinte..

-oui c'est vrai on l'a un peu forcé dit Farid mais il a aimé ça

-on? dit le vieux chinois , tu n'étais pas seul ?

merde pense Farid

-non j'étais avec un ami.. et Wong a aimé tout ce qu'on a fait ensemble dit Farid rapidement, car la main le serre encore et encore et la douleur remonte dans tout son corps..

-donc ça s'appelle un viol dit le vieux chinois

-non non dit Farid je vous jure qu'il voulait bien.. demandez lui.. s'il vous plait.. arrêtez! j'ai mal.. je ferais tout ce que vous voudrez.. je ferais tout tout mais arrêtez j'ai mal..

-ça, tu vas faire tout ce que l'on veut c'est sûr dit le vieux.. en retirant sa main du sexe de Farid..

Il fait signe aux cinq autres derrière lui.. Farid en voit deux ramener une sorte de trépied.. les autres viennent lui détacher les mains et ils le forcent à s'allonger sur le trépied.. ses pieds et ses mains sont rattachés aux pieds de l'engin.. son petit cul est bien relevé, offert aux chinois..

La voix du vieux chinois retentit

-je pense que tu choisis la première punition comme une fessée de bambous.. sinon les 100 morceaux étaient de te découper en 100 morceaux avec 8 couteaux.. mais on ne veut pas ta mort..

Farid voit les chinois prendre un long bambou en main, le secouer, le bout du bambou est fendu en plusieurs morceaux et cela fait comme un martinet.. et les coups commencent à pleuvoir sur ses fesses, son dos.. c'est chacun leur tour que les chinois le frappent.. et les coups s'accélèrent, il sent son corps chauffer, la douleur s'installer, les larmes couler et il crie, hurle tellement il a mal.. il ne voit pas les traces laissées par les coups de bambous.. des épaules au départ des cuisses.. même que certains bambous touchent ses couilles et le font hurler.. et cela dure.. ils n'en ont rien à foutre des cris de Farid.. qui finit pas ne plus sentir pratiquement la douleur.. et tout s'arrête d'un coup.. ils sortent tous de la pièce et c'est le silence..

Farid continue de pleurer, de gémir, la douleur revient sur son dos, ses fesses, ça le brûle fortement.. ça le picote durement.. et au bout d'un moment des pas se font entendre.. un mec toujours masqué vient lui enduire le dos et les fesses d'une pommade calmant de suite la douleur.. un grand soulagement se fait sentir.. et Farid se sent revivre.. le mec s'en va..

Sa queue lui fait mal, frottant contre le bois, il aimerait bouger mais il est solidement attaché.. il finit par s'assoupir..

Il est réveillé par des caresses sur ses fesses, il est entouré de plein de mecs masqués.. une main le caresse et un doigt s'infiltre dans son anus.. profondément et le doigte avec sévérité, ce qui le fait gémir.. il entend les chinois ricaner en commentant en chinois.. le doit s'enlève pour être remplacé par un autre.. ça rigole, ça commente et chaque mec doigte Farid.. là sa queue commence à réagir, mais elle est coincée sous son ventre et le bois..

Le vieux réapparait dans son champ de vision.. il tient à la main un long tube en plastique avec un embout renflé qui finit en pointe.. il le présente à Farid..

-voilà tu vas subir le supplice de la poire du Pape.. objet décadent de la société européenne..

Farid avait envie de lui répondre "et utilisée par les chinois".. et le vieux chinois lui montre qu'en touchant l'extrémité du tube, la partie renflée s'ouvre..

Farid voit le vieux chinois enduire la partie renflée de pommade, l'actionner plusieurs fois.. et le vieux disparait de sa vue.. des mains caressent ses fesses, les écartent.. grattant son anus.. et Farid sent un objet froid se poser dessus.. et là il comprend que c'est la poire qui commence à entrer en lui.. et qu'il va être ouvert largement..

Comme la queue de Ouali hier, la poire entre en lui doucement, écartant déjà bien son sphincter.. et, avant que le sphincter se referme à la base, il sent l'objet s'ouvrir, écartant doucement son anus qui se dilate.. la sueur l'envahit.. ça s'arrête, son sphincter est étiré, cela lui fait mal.. mais il sent la poire continuer à s'ouvrir.. putain mais ils vont lui déchirer le cul pense Farid.. une douleur fulgurante se transmet dans tout son corps en même temps qu'il hurle tellement il a mal.. il sent la poire se refermer et sortir de son anus.. qui se referme sous les rires des chinois.. qui se mettent à le frapper du plat de la main sur chaque fesses.. les douleurs précédentes reviennent.. puis ses fesses sont de nouveau écartées, la poire reprend sa pénétration et s'enfonce dans son cul le faisant hurler encore de douleur..

La poire s'arrête, son sphincter s'est refermé sur le tuyau en plastique.. mais une sensation bizarre lui parvient quand la poire s'ouvre dans son boyau, l'écartant un maximum.. et Farid reprend ses hurlements.. la poire se referme enfin, le soulageant.. mais s'enfonce encore.. et recommence à s'ouvrir.. Farid ne sait plus combien de fois ils lui ont fait ça.. entrer et sortir la poire, lui écarter soit le sphincter soit le boyau, prendre des claques sur les fesses.. Farid est épuisé, il râle, gémit, pleure, n'a même plus la force de crier..

Et tout s'arrête d'un seul coup.. c'est le silence.. tout le monde sort le laissant seul..

Farid ne sait pas quel est l'endroit de son corps où il n'a pas mal.. tout n'est que douleur, il souffle, gémit.. et finit par s'assoupir une nouvelle fois..

Il est réveillé peu de temps après.. il entend les pas arriver pour voir les chinois nus complètement mais portant toujours leur masque.. ils ont tous le sexe tendu, suintant.. ils passent les six devant lui comme pour lui montrer, s'exhiber.. putain quels morceaux! on dit que les chinois ont des petites bites.. et ben là c'est pas le cas.. ils ont tous des bites de belles dimensions, longues et épaisses qu'ils décalottent devant les yeux de Farid..

Des mains lui caressent les fesses, doucement, gentiment presqu'amoureusement pense Farid.. les écartent et il sent le premier gland se poser sur son anus ouvert et s'enfoncer en lui sans aucun problème.. il n'a même pas mal.. il sent la queue s'engouffrer dans son conduit, raclant légèrement sa paroi.. et les vas et viens commencent.. il repense à ceux de Ouali la veille, le plaisir que cela lui a procuré.. mais là son cul est trop ouvert.. ou la queue est trop petite.. mais c'est la première qui remplie son conduit et elle n'est pas avare en giclées chaudes.. à peine fini, son trou est vite comblé par une autre qui lui parait plus imposante que la première.. il la sent mieux le perforer.. alors il tend son cul Farid.. voulant se dégager la queue qui bande maintenant.. mais les coups de reins sont plus brusques et vite fait son cul est encore copieusement arrosé et rempli..

Il n'y a pas de temps mort.. les six queues chinoises se succèdent, c'était bien la plus fine qui était passée en premier.. car cela s'élargissait au fur et à mesure.. la dernière à passer dans son cul était comme celle de Ouali, qui lui avait donné tant de plaisir.. le sperme coulait sur ses jambes, il le sentait sortir de son trou béant..

Les six chinois l'ont laissé comme ça.. et sont sortis.

Lorsqu'ils sont revenus tous les six, toujours masqués, toujours nus, le sexe bandant.. ils ont détaché Farid, l'ont relevé pour constater qu'il bandait toujours.. Farid ne tenait pas debout, ses jambes ne pouvaient plus le soutenir.. ils l'ont allongé sur une natte, la tête penchée en arrière lui ont mis un appareil dans la bouche la maintenant ouverte..

Et, ils sont venus se branler juste au dessus de lui, le gland dirigé vers sa bouche et, quand le sperme est sorti, il tombait dans sa bouche, sur sa langue et coulait dans sa gorge.. il n'avait qu'à déglutir pour tout avaler .. et les six y sont passés.. pas un n'a touché à sa queue qui suintait de partout.. il avait voulu se branler, mais il avait pris des coups sur la main.. il a avalé une grande quantité de sperme, le faisant tirer au coeur.. ils se sont tous essuyés le gland sur ses lèvres.. et ont encore disparu.. il était seul, détaché.. il a voulu se relever, mais il ne tenait pas debout.. alors il s'est rallongé, attendant, la bouche toujours prise par l'appareil..

Un mec avec un masque, mais habillé est venu lui apporter à boire.. il a tout bu.. et s'est de nouveau endormi..

C'est l'air froid qui l'a réveillé.. il était mal rhabillé, allongé sur le banc de la place des Fêtes, le banc où ils avaient rencontré Wong.. le temps de se rappeler tout ce qu'il venait de vivre, de fouiller dans ses poches, trouver son portable envelopper dans une feuille de papier qu'il a ouvert..

"TU NE TOUCHES PLUS JAMAIS UN ASIATIQUE CAR SINON LA PROCHAINE FOIS ON TE COUPE LES COUILLES ET ON TE LES FAIT BOUFFER"

Les larmes lui sont venus aux yeux, il a pleuré longuement.. et s'est décidé à appeler Ouali.. il était 4 heures du matin..

-Farid! mais qu'est ce qui se passe ? t'as vu l'heure ? dit la voix de Ouali

-viens me chercher mon pote, viens vite!

-putain mais t'es où ?

-sur le banc de la place des Fêtes! viens je te raconterais tout, mais viens vite! j'en peu plus

Ouali entend son pote pleurer en gémissant..

-j'suis là dans 5 minutes, bouge pas!

Effectivement, Ouali était là 5 minutes après, a vu l'état de son pote, mal habillé, les yeux pleins de larmes, le visage creusé, pas son sourire habituel..

-emmène moi chez toi Ouali s'il te plait, aide moi à marcher.. je suis crevé complètement..

Ouali, sans poser plus de questions a ramené Farid dans sa chambre.. l'a déshabillé et quand il a vu les marques qu'il avait dans le dos, les questions ont commencé.. Farid a sorti le papier et Ouali l'a lu.. les yeux lui sortaient de la tête..

-mais il s'est passé quoi Farid ?

-je voudrais prendre une douche dit Farid, tu m'aides ?

Ouali l'a aidé à finir de se déshabiller, il s'est mis nu également.. et l'a emmené sous la douche.. il a mis l'eau à température et Farid a laissé l'eau couler sur son corps.. Ouali a pris le gel douche et l'a frotté doucement sur le corps de son pote.. ses mains douces et chaudes caressaient le corps de Farid.. il n'osait pas trop toucher à son dos et ses fesses qui étaient rouges écarlates.. il l'a lavé des pieds à la tête.. et quand sa main a frôlé le sexe de Farid, il s'est redressé en coulant..

-ben au moins tu bandes encore dit Ouali en lui souriant..

Farid lui rend son sourire en prenant la main de Ouali et la posant sur son sexe..

-tu peux me faire jouir Ouali..?

-si c'est ce qu'il te faut pour récupérer.. dit Ouali en prenant le beau sgeg en main, le caressant, le branlant doucement, il sent le sexe durcir, s'allonger dans sa main.. la bouche de Farid l'embrasse sur les joues, cherchant ses lèvres sous l'eau qui coule sur eux.. et quand les lèvres se sont retrouvées, que les langues ont commencé à s'emmêler.. dans un soupir de soulagement Farid s'est vidé en de longues giclées entre leurs corps.. il a saisi la queue de Ouali et la branlé rapidement.. Ouali a gémi et son bon jus à gicler entre les corps.. ils ont continué à se caresser, s'embrasser.. puis Ouali a séché les corps, tapotant doucement le dos et les fesses de Farid..

-on va se coucher dit Farid, je veux dormir dans tes bras Ouali et je te raconte tout au réveil.. là je suis crevé.. trop crevé.. mon ami que j'aime!

Ouali l'a entraîné dans son lit, Farid s'est allongé, mais il ne pouvait rester sur le dos, alors il s'est mis face à Ouali, sa jambe entre les siennes, lui tenant la main, l'a embrassé tendrement sur ses belles lèvres chaudes et douces.. et telle une masse, s'est endormi!