Les supplices chinois

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Les supplices chinois

Chapitre 3

Au réveil ils étaient dans la même position, Farid entourait de son bras le corps de Ouali serré contre le sien, sa tête reposait dans le creux de son épaule et son corps sur le sien, sa jambe entre les siennes maintenait sa queue raide.. il sent la queue de Farid coller contre son flanc.. il ronronne doucement, son souffle dans dans son cou..

Ouali passe sa main sur sa joue, le caresse gentiment, il veut se reculer mais le bras de Farid le maintient.. comme s'il avait peur qu'il se sauve.. Ouali continue sa caresse, passe son pouce sur ses belles lèvres.. ses longs cils entourent les yeux clos.. il est beau son pote.. il a envie de lui.. il continue sa caresse.. accentuant son pouce sur ses lèvres qui s'entrouvrent machinalement.. son pouce est avalé par la bouche gourmande, il sent la langue l'entourer, le lécher et les lèvres entrent en action.. Farid, devant l'air étonné de Ouali, lui suce le pouce comme un bébé.. il lui fait un bisou tendre sur le front.. il veut l'enserrer dans ses bras.. mais toucher le dos de Farid est impossible.. au moindre toucher, à la moindre caresse il gémit et se raidit.. alors Ouali se laisse téter le pouce.. les yeux de son pote s'ouvrent.. ils se regardent, le sourire dans les yeux..

-ça va mon pote! t'as bien récupéré ?

-on est bien dans tes bras dit Farid, pourquoi on a pas fait ça avant.. j'ai dormi comme un bébé dans les bras de son mec..

Il avait arrêté de sucer le pouce de Ouali et lui faisait des bisous sur la joue, descendant sur ses lèvres que Ouali lui donna volontiers.. les yeux se sont refermés, les lèvres sont restées soudées, seules les langues se caressaient lentement, appréciant la chaleur, la douceur.. et ils ont gémi tous les deux..

Farid est venu s'allonger sur Ouali, frottant son torse contre le sien, les bites se serraient, se comprimaient, se caressaient..

Les lèvres de Farid sont descendues sur le torse de Ouali.. léchant les tétons pour les faire durcir, les tétant, les suçant.. puis la langue est venue inonder le nombril.. pendant que ses doigts titillaient les tétons.. son menton frottait sur le gland.. il n'a juste eu à baisser la tête pour laper ce beau gland dur et suintant, arrachant un long soupir de contentement à Ouali qui a posé sa main sur la tête de Farid.. l'incitant à aller plus loin..

Farid, prenant le gros sgeg qui l'avait déniaisé, en main, le redresse et avale entre ses lèvres le gland turgescent, qu'il suce entre ses belles lèvres pulpeuses.. arrachant de petits cris à Ouali.. sa bouche avale complètement la queue faisant buter le gland au fond de sa gorge.. mais là il le fait avec plaisir, c'est la bite de son pote! et c'est une très bonne bite!

Sa main caresse les couilles, les serre, les tripote.. les jambes de son pote s'ouvrent, Farid est à genoux entre.. et, Ouali redresse ses jambes, les prend sous les genoux, les tire vers lui, dégageant ainsi ses fesses à la vue de Farid qui, pour la première fois à une vue imprenable.. sa langue descend des couilles vers le petit trou serré.. il respire l'odeur de son pote.. ça sent le sgeg et le cul propres.. sa langue s'active pour que, de la pointe il vienne déposer de la salive sur l'anus plissé imberbe.. faisant gémir Ouali..

Farid prend une fesse dans chaque main, les écarte un maximum pour pouvoir enfouir sa langue dans ce petit trou qu'il humidifie le plus possible.. il voit l'anus palpiter, d'un doigt il touche l'anus, le caresse, le force.. et le voit s'ouvrir en même temps que le gémissement de Ouali devient plus fort.. la première phalange entre sans difficulté.. il la bouge dans l'intérieur, c'est doux, c'est chaud.. il s'enfonce encore plus et apprécie le contact.. comme Ouali doit apprécier compte tenu de ses gémissements.. son index est pratiquement tout entré dans l'anus de son pote, il sent la paroi du boyau se refermer dessus, comme si elle le caressait.. il tourne son doigt.. le ressort et en met deux qu'il enfonce sans ménagement.. surprenant Ouali qui pousse un petit cri.. mais c'est beau de voir le cul de son pote s'ouvrir sous ses doigts.. s'ouvrir pour laisser entrer deux doigts qu'il tourne dans le conduit, forant au plus profond qu'il peut.. il embrasse les fesses douces et chaudes de Ouali.. il doigte pendant un bon moment ce beau cul.. il arrive à enfoncer trois doigts et l'anus s'ouvre toujours aussi facilement..

Farid sent sa queue devenir dure de chez dur, couler, baver..

Il regarde Ouali au milieu de ses jambes pliées sur son ventre..

-j'ai envie de toi dit-il en le regardant

-viens dit simplement Ouali.. viens me donner ton jus.. baise moi mon pote!

Farid laisse ses doigts jusqu'au dernier moment où il approche sa queue bien raide, bien droite.. il retire ses doigts pour voir l'anus rester ouvert.. il pose son gland dessus.. Ouali tient fermement ses jambes sur son torse, le cul est bien ouvert.. tout en forçant sur l'entrée, Farid se redresse en se penchant sur Ouali et il voit sa queue entrer doucement dans le nid chaud et humide.. il voit maintenant la tête de Ouali, qui a fermé les yeux, se mord la lèvre et donne son cul.. la queue de Farid glisse lentement et le gland passe, il sent le sphincter se refermer sur sa queue.. Ouali a la bouche ouverte et respire fort .. il arrête sa progression.. et quand Ouali rouvre les yeux, le regarde en souriant.. il donne un petit coup de cul et sa queue s'enfonce dans le trou.. Ouali grimace mais encaisse et, plus Farid se penche plus il sent sa queue entrer.. il vient s'appuyer au dessus de Ouali, bloquant ses jambes, ce qui fait redresser son beau petit cul et Farid, sans ménagement cette fois, s'enfonce dans le trou offert jusqu'à ce que ses poils caressent les fesses de Ouali.. qui encaisse en râlant..

Ouali rouvre ses yeux et fixe Farid.. et c'est ainsi que yeux dans les yeux, se souriant tous les deux, Farid s'est mis à baiser, à niquer, à fourrer son pote de toute la longueur de son gros sgeg.. et il a pris du plaisir à le pénétrer.. quand il a senti que le jus arrivait.. sa queue bien au fond du trou, a lâché sa première giclée qui a fait gueuler de surprise Ouali qui sentait une ondée chaude l'envahir.. en même temps qu'il voyait la tête de Farid s'extasier de bonheur.. et les giclées ont continué, toujours des giclées abondantes et chaudes inondant complètement le conduit de Ouali.. puis Farid s'est écroulé dans ses bras, les jambes de Ouali se sont détendues et Ouali l'a serré dans ses bras, oubliant les cicatrices de Farid dans son dos.. qui, recevant les caresses de son pote s'est mis à hurler..

Ouali a pris sa tête entre ses mains, l'a regardé..

-désolé , désolé mon ami.. j'aurais dû y penser..

-ça va dit Farid en offrant ses lèvres à Ouali.. dans un long baiser amoureux..

Farid sentait la queue raide de Ouali contre lui.. alors sans rien lui demander il est revenu le sucer, le caresser, le branler, avaler sa grosse queue et recevoir rapidement sa récompense.. avalant toute la crème de Ouali qui rugissait de plaisir.. et est revenu se blottir dans ses bras.. Ouali ne savait où mettre ses mains..

Ils sont restés quelques temps ainsi, se faisant de petits bisous..

-si tu me racontais ce qui t'es arrivé Farid .. demande Ouali

Farid s'est lancé dans le récit des évènements qu'il avait vécu la veille avec tous les asiatiques.. et raconté dans le détail ce qu'ils lui avaient fait subir.. Ouali n'arrêtait pas de lui faire des bisous en disant "mon pauvre", "les salauds"..

-mais c'est qui cette bande de dégénérés ? demande Ouali

-ben j'en sais rien.. mais s'ils savaient que j'avais couché avec un chinois, ça ne pouvait être que Wong qui leur avait dit..

-pourquoi aurait-il fait ça ? lorsqu'il est parti il a dit qu'il aimerait bien nous revoir.. alors pourquoi il nous aurait balancé..

-attends dit Farid, plus je réfléchis.. le vieux chinois ne savait pas qu'on était deux avec Wong..

-Wong n'aurait parlé que de toi ? dit Ouali étonné

-et je pense que c'est moi qui ai parlé de Wong.. le vieux chinois n'arrêtait pas de parler d'un jeune asiatique de leur communauté.. et il ne savait rien de ce qui c'était passé.. car il m'a forcé à le raconter..

-putain dit Ouali va falloir qu'on retrouve Wong pour éclaircir tout ça! mais attend.. il a laissé son tel hier soir.. je l'ai mis où ?

Farid voit Ouali se lever, fouiller dans ses vêtements pour enfin, trouver le bout de papier où se trouve inscrit le numéro de téléphone de Wong..

-je l'appelle dit Ouali

-attends dit Farid, j'ai faim et j'ai mal dans le dos..

-oui tu as raison je vais m'occuper de toi d'abord.. on va commencer par bouffer un peu..

-Mais il est deux heures dit Farid.. on s'est pas réveillé de bonne heure dit-il en riant..

-ben si t'avais pas la queue qui bandait tout le temps dit Ouali en riant.. je vais chercher à bouffer.. prends une douche en attendant, mais si cela te fait trop mal, attend mon retour..

Il s'assoit près de Farid sur le lit, le regarde..

-j'peux même pas te prendre dans mes bras mon pote dit Ouali d'un air triste

-mais tu peux me faire un bisou dit Farid en tendant ses lèvres..

Pendant que Ouali était sorti, Farid est allé sous la douche faire couler l'eau sur son dos.. il ne pouvait pas le toucher.. à chaque fois cela lui faisait mal.. seule l'eau semblait l'apaiser.. il se regarde les fesses dans la glace.. des striures dans tous les sens et les fesses sont écarlates.. et cela lui fait mal au toucher.. il sent les larmes couler sur son beau visage.. il enfile un boxer, mais le tissu lui fait mal.. il est obligé de rester cul nu..

Lorsque Ouali revient et qu'il trouve Farid encore tout nu, il est étonné

-t'as pris une douche ?

-oui dit Farid, enfin j'ai fait couler de l'eau sur mon dos et les fesses.. car je ne peux pas les toucher..

-et tu t'habilles pas ? dit Ouali en riant

-j'peux pas dit Farid les yeux larmoyants, cela me fait trop mal..

-merde! tu vas être obligé de rester avec moi alors.. je vais te séquestrer avec toute la douceur que je peux avoir et essayer de te faire guérir le plus vite possible dit Ouali en venant déposer des bisous sur le visage de Farid.. tu vas voir on va y arriver.. viens on va manger d'abord.. tu peux t'asseoir ? je vais te mettre un coussin..

Ouali a été aux petits soins avec son pote, l'aidant en tout, lui faisant plein de bisous, que Farid lui rendait..

-j'ai repensé à un truc dit Farid.. les chinois m'ont passé une pommade sur le dos et les fesses.. et la douleur est partie instantanément..

-ouais mais on sait pas ce que c'est..

-si on demandait à Wong.. il le saurait peut être.. et, comme on doit le voir..

Aussitôt dit, aussitôt fait, Ouali prend son portable et appelle Wong..

-met le son dit Farid

-salut dit Ouali c'est bien toi Wong ?

-oui c'est moi dit la voix et toi tu es Farid ou Ouali.?

-Ouali

-alors je vous manque déjà ? dit la voix de Wong en riant

-ben c'est pas tous les jours qu'on rencontre un beau mec comme toi..

-vous êtes dans la cave ?

-non on est chez moi, y fait meilleur dit Ouali en riant, alors si tu veux venir on te reçoit avec plaisir..

-pas avant une heure dit Wong je dois finir d'aider mon père au restaurant et je viens après, c'est pas loin..

-je te donne l'adresse de chez moi et on t'attend avec impatience.. surtout Farid dit Ouali en riant..

-oh je vois que vous êtes en forme dit Wong.. alors n'usez pas vos forces avant que j'arrive..

Après avoir fourni tous les renseignements de l'adresse de Ouali, ils raccrochent..

-c'est pas tellement le comportement d'un mec qui aurait été se plaindre auprès de quelqu'un dit Farid

-non t'as raison.. alors comment ces chiens ont-ils pu savoir ?

-je vais finir par croire que j'ai été là au mauvais moment, que cela aurait pu tomber sur quelqu'un d'autre.. et qui n'aurait jamais baisé un asiatique..

-mais alors se sont vraiment des malades ces vieux chinois! dit Ouali..

-on verra ce qu'en pense Wong dit Farid.. j'ai le dos qui me tire et ça me fait mal dit -il en prenant un air malheureux..

-tu veux reprendre une douche, enfin faire couler de l'eau sur ton dos et tes fesses.. tu m'as dit que cela te faisait du bien..

-oui on peut essayer dit Farid.

En attendant l'arrivée de Wong, Ouali a joué à l'infirmier.. il avait l'air vraiment malheureux son pote et cela le désolait complètement, lui toujours riant, toujours envie de déconner.. là il était éteint, il avait passé un bon moment à cheval , nu, sur les genoux de Ouali, la tête dans son épaule à lui faire de petits bisous dans le cou.. Ouali ne pouvait même pas le serrer dans ses bras contre lui.. alors ils se sont fait des bisous.. et la queue de Farid n'était pas malade.. elle bandait bien.. et cela les a fait rire.. ils ont tenu jusqu'à l'arrivée de Wong..

C'est Ouali qui est allé lui ouvrir.. Wong était tout sourire, lui a fait une grosse bise sonore sur la joue et est entrée dans l'autre pièce pour trouver un Farid nu, se cachant le sexe derrière une serviette.. Wong n'a pu s'empêcher de rire..

-oh il était temps que j'arrive dit-il on dirait qu'il y a urgence..

Il s'avance vers Farid, le prend aux épaules et lui claque deux bises sur les joues.. mais Farid ne sourit pas.. sans un mot il se retourne pour lui montrer son dos et ses fesses nues.. pleines de zébrures rouges du haut en bas..

-mais.. mais qu'est ce qui t'est arrivé ? demande Wong les yeux horrifiés.. qui t'a fait ça ? c'est quand même pas Ouali ?

-non dit Farid d'un ton dur et le fixant, se sont des compatriotes à toi qui m'ont kidnappé la nuit dernière qui m'ont fait subir ça..

-mais pourquoi ? demande Wong interloqué.. tu leur as fait quoi ?

-ça j'aimerais bien le savoir.. t'as pas une petite idée ?

-moi dit Wong comment tu veux que j'ai une idée là dessus..

-parce qu'ils m'ont dit que c'était en représailles d'avoir baisé un chinois..

Là, Wong en est resté la bouche ouverte, regardant Farid et Ouali tout à tour..

-alors t'en as parlé à qui de ce que nous avons fait l'autre soir ? demande Farid

-mais à personne Farid, personne! à qui veux tu que j'aille raconter que je suis pédé et que j'aime me faire enculer par les arabes du coin.. oui j'aime ça, j'ai fait celui qui ne savait pas, mais vous étiez pas les premiers les mecs.. désolé..

-mais alors comment ont-ils pu le savoir ? dit Ouali

-j'en sais rien dit Wong, mais si tu me racontais ce qu'ils t'ont fait exactement..

Et Farid raconte pour la deuxième fois de la journée ce qu'il lui est arrivé.. il ne quitte pas des yeux Wong qui encaisse tous les détails.. mais quand Farid parle de la poire du Pape.. Wong blêmi.. baisse les yeux..

Farid le regarde, interloqué..

-tu as subi le supplice de la poire du Pape ? demande Wong l'air inquiet

-oui dit Farid et je peux te dire que ça fait très très mal, je le sens encore! mais on dirait que tu connais..

-oui et non dit Wong, je n'ai jamais vu cet engin de malheur, mais j'ai lu des choses à son sujet.. et cet objet était le supplice principal d'une Triade chinoise qui exerçait en Chine.. et d'après ce que j'ai lu.. c'est une Triade composée uniquement d'homosexuels qui se vengeaient d'être exclu de la société chinoise.. ils ont enlevé beaucoup de jeunes chinois qui n'étaient pas gays et leur faisaient subir le supplice de la poire du Pape avant de les relâcher.. c'était devenu une vraie psychose dans une région de la Chine..

-mais ça se passait quand ? demande Ouali

-au début du siècle dernier.. et l'homosexualité est devenue interdite en Chine punie de prison et de centre de rééducation.. et, la Triade arrêtée, tous les membres ont été exécuté.. tous pendus et coupés en 100 morceaux avec 8 couteaux.. et cette Triade a complètement disparu.. mais quand, dans une famille il y a un gay, il est banni et on le menace encore de la punition de la poire..

-donc tu crois que ta Triade est venue s'installer à Paris et qu'elle recommence ce qu'elle faisait au début du siècle dernier..?

-j'en sais rien, mais on dirait bien.. et là c'est grave tu sais.. car cela met en péril la crédibilité de tous les ressortissants asiatiques en France.. si cela se sait, les gens vont croire que tous les chinois en font partie.. je vais en parler à mon père..

-mais il va te poser plein de questions dit Farid

-mon père est là depuis très longtemps et est très ouvert d'esprit, il ne posera pas de questions et saura ce qu'il faut faire..

-ce qui est plus important pour moi, c'est de me guérir le dos, les fesses.. dit Farid, car tes mecs de la Triade m'ont passé une pommade et la douleur s'est envolée..

-attends j'appelle mon père..

Wong a parlé longuement en chinois avec son père.. il semblait rassuré quand il coupe la conversation..

-c'est bien ce que je pensais.. dit Wong le regard noir, c'est bien la Triade qui est venue s'installer ici, mon père en avait entendu parlé mais n'y croyait pas trop.. enfin, je lui ai raconté ce qu'il t'était arrivé et il m'a dit d'aller chez un ami à lui qui est pharmacien en bas de la rue de Belleville.. je sais où c'est t'en fait pas.. je vais te ramener la pommade qu'il faut pour ton dos et ton cul qui doit être dans un drôle d'état..

-c'est vrai que j'ai pas regardé dit Ouali en se levant.. tourne toi mon pote et montre nous ton beau petit cul..

Farid rougissait en se tournant, à genoux sur le canapé, ses fesses ont été ouvertes.. l'anus était tuméfié, enflé, boursoufflé.. Wong a posé son doigt dessus.. Farid a hurlé..

-bon je vais en parler au pharmacien.. vous bougez pas les mecs! je reviens..

Et Wong part pratiquement en courant.. les laissant tous les deux..

Farid est revenu se réfugier dans les bras d'Ouali..

-tu sais que je t'aime dit-il tu es quand même le pote que tout le monde aimerait avoir.. tu me baiseras encore ?

-bien sûr dit Ouali un beau cul comme le tien faut pas le laisser partir! mais je crois qu'il faudra attendre un peu.. car ton petit trou n'est pas beau à voir.. et j'espère que Wong va trouver ce qu'il faut..

-oui j'espère aussi dit Farid, les yeux pleins de larmes

-mais tu sais.. tant que je pourrais pas te serrer dans mes bras.. c'est toi qui s'occupera de mon cul.. j'ai bien aimé quand tu m'as baisé mon pote! ta queue est douce et dure.. et ton coup de reins.. hummm j'adore.. et d'ailleurs tu peux m'embrasser.. non ?

Pour le faire taire, c'est Farid qui l'a serré dans ses bras, ses lèvres sur les siennes et les langues se mélangeaient, s'enroulaient, échangeant leur salive..

Les queues étaient bien raides.. Ouali a redressé son pote, le faisant mettre debout devant lui, sa belle queue juste à la bonne hauteur de sa bouche.. sa main a serré les couilles, les pétrissant doucement, la queue s'est encore allongée, le gland circoncis bien dégagé, le méat perlant de bonheur.. Ouali a donné de petits coups de langue, enlevant cette goutte qui revenait sans cesse.. ses lèvres sont descendues sur le gland, l'enveloppant, et sa langue l'a enroulé, l'inondant de salive.. il a senti la main de Farid se poser sur sa tête et le gémissement de plaisir l'accompagner.. il a sucé, léché, aspiré ce beau gland bien dur et suintant, puis ses lèvres sont descendues sur la hampe, l'enveloppant du mieux qu'il pouvait.. le sgeg était bien dur et est venu bousculer sa luette, il a voulu se retirer, les yeux larmoyants.. mais la main de Farid l'a maintenu.. et il a laissé passer le gland pour venir buter au fond de sa gorge.. sa bouche était remplie, sa langue sous la queue facilitait le glissement.. les deux mains de Farid ont saisi sa tête, bloquant ses lèvres et son nez dans ses poils pubiens qui sentaient bons.. et Farid s'est retiré lentement faisant glisser sa hampe entre les lèvres serrées de son pote Ouali, appréciant la douceur et la chaleur humide.. ses vas et viens lents au début se sont accentués sans que les lèvres de Ouali ne se desserrent et cela a excité au plus au point Farid.. surtout que Ouali n'arrêtait pas de pétrir ses grosses couilles, un doigt s'était aventuré vers son petit trou.. mais s'était arrêté à temps.. Ouali avait dû se rappeler.. et, quand Farid a bloqué la tête de Ouali pour se déverser en lui.. Ouali n'a pas bougé tout le temps des giclées chaudes et crémeuses.. avalant tout ce que son pote lui offrait.. et laissant sortir la queue tout en la léchant.. aspirant le gland pour enlever les dernières goutes.. ses lèvres étaient pleines de sperme qui avait débordé.. Farid qui tenait toujours sa tête, s'est penché sur lui pour lui nettoyer les lèvres en léchant son sperme qui restait.. et se sont embrassés tendrement en se tenant chacun la tête..

-merci a dit Farid en même temps qu'un coup de sonnette retentissait...