En déplacement à Montpellier, je prends une chambre au première classe du quartier MAUGUIO.
Je vous ai raconté que mon voisin avait disposé de moi, à la limite du viol, sans violence. Pas de viol, car c’était consenti et j’avais bien aimé ces épisodes de sexe.
Le deuxième soir, je rentre du taf à 17 h 30. Une bonne douche me rafraichit. J’ai eu une bonne journée, un projet qui avance. J’entends des voix de la chambre d’à côté, ou plutôt comme des bruits faits avec la bouche, avec des rires. Quelqu’un frappe à ma porte, c’est mon voisin. Je suis en boxer avec la grande serviette autour de la taille. Il me prend par la main, me tire dehors, j’ai juste le temps de prendre la carte de ma chambre, et il me pousse dans la sienne. Deux gars sont là. Ils ont tombé la chemise, tous les deux sont des ours velus d’un poil noir. Ils me serrent la main, mais ne me parlent pas. Mon voisin leur parle avec les mains, ils retirent leurs pantacourts, deux très gros bulges apparaissent. Leurs boxers blancs sont hyper sexys. Mon voisin retire ma serviette, et baisse mon boxer. Je suis nu comme un vers face à ces beaux mâles muets. Je comprends mieux maintenant. Un des deux gars commence à bander, son gland dépasse du boxer et semble couler. L’autre me prend par la main et m’allonge sur le lit. Il retire son slip, vu de dessous son sexe ma parait énorme, le double du mien. Il balade son gland sur mon visage, sur les yeux, le front, dessous le nez. Il pose ses lourdes couilles sur mon visage, j’ouvre la bouche et une des couilles entre dans ma bouche. Je suis aux anges, j’adore sucer des couilles. Je sens qu’une bouche enveloppe mon gros gland et une langue qui lèche mes propres couilles. Je sens que je vais y passer, leurs organes sont immenses, bien plus gros que celui de mon voisin. Un des mecs se pose sur le dos, ses reins sur un oreiller, les jambes en l’air. Cette position m’excite, ces jambes bien velues en position de soumission m’appellent, je me lève m’équipe, graisse ma queue et pénètre ce brave gars. Son conduit est très serré, il râle et me repousse avec ses mains, mais je ne cède pas et progresse en lui par secousse. Un des gars met une giclée de gel sur ma queue, je me retire et rentre à nouveau plus loin, mes couilles touchent son cul. Son cul vibre, je sens les battements de son cœur sur ma bite. Mon voisin me regarde et me fait « oui ». Je me pose à l’horizontale et pilonne le cul de ce gars qui hurle maintenant, son sphincter serre ma queue sans arrêt. Il se relève et me roule un patin très baveux essoufflé. Moi j’en profite pour aller plus loin en lui, ce qui le fait hurler plus fort. Mon voisin pose sa bouche sur la sienne et étouffe ses cris. Un des gars griffe mes couilles et mon scrotum par-derrière. Cette sensation est inédite, extraordinaire. Je vais cracher… l’augmentation de ma queue déclenche la jouissance de mon mec, qui en serrant ma bite déclenche la mienne. Et c’est en gueulant ensemble qu’on se vide. Lui a aspergé son torse velu et moi rempli la capote. Mon voisin me remplace et en le pénétrant lui arrache des cris de douleurs, mais il n’en n’a que faire et l’embroche jusqu’aux couilles. Puis il le pilonne sans pitié. Je vois les yeux du baiser qui se révulsent de bonheur et de jouissance. Une deuxième série d’éjaculations mouille ses poils du torse. Je caresse son torse velu, étale son sperme et lèche mes doigts. Le quatrième gars de la chambre, qui s’était fait oublier, jute à grands cris sur le visage du baiser. Ça fait des petites flaques de sperme dans ses yeux. Je nettoie ses yeux avec des lingettes, lui roule le patin du siècle et m’allonge à côté de lui, une jambe sur les siennes, mon genou poussant ses couilles vers le haut. Mon voisin se couche contre mon dos, sa queue toujours bandée contre mes reins. Le quatrième gars s’assoit sur la seule chaise de la chambre, les jambes écartées sur un sexe qui pendouille loin vers le bas. Son système pileux dégouline de sueur, cela le rend sexy et désirable, il éteint la lumière, tout le monde s’endort rapidement. Sauf mon voisin dans mon dos qui me pénètre jusqu’à la moitié et s’endort lui aussi. J’aime cette idée d’être « branché » ainsi, mon voisin m’épate, car il ne débande pas. Viagra, Cialis, je ne sais pas, sa queue me donne des à-coups qui finissent par m’endormir. Dans un demi-sommeil, épuisé, je sens qu’il finit par me baiser très lentement, jusqu’au bout de son sexe. Son sperme gicle dans mon cul, je sens nettement les jets, puissants de mon mâle et ses grognements virils. Il me prend dans ses bras musclés et on s’endort ainsi, lui vidé, moi rempli. Sa queue est toujours en moi. Je m’étire, ajuste mon oreiller et tombe au pays des gros kikis. Sa queue est toujours dans mon fourreau…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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