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En vacances avec mon pote

J’ai 19 ans et demi, je pars en Bretagne avec mes parents pour 3 semaines dans une maison louée à Douarnenez. Pour m’aider à passer le temps plus vite, mes parents acceptent que mon meilleur pote vienne passer une semaine avec nous. On ira se baigner, pêcher des soles, des crevettes et des moules. Mon père nous a acheté 2 épuisettes raclettes pour la pêche. Le soleil est costaud en Bretagne, j’adore cette région, et les gens sont super sympas, pas superficiels.

Luc doit arriver en train à 11h00, je l’attends sur le quai avec mon père, je suis super excité. La voix sur le quai nous annonce 30min de retard…

Papa « Viens Bastien, on va boire un coup pour l’attendre, au fait ça ne te dérange pas qu’il dorme dans ta chambre, tu as un grand lit ça devrait le faire non ? Entre mecs ? Hein ? »

Moi « Ne t’inquiètes pas papa, Luc est mon meilleur ami depuis la maternelle, on est comme des frères. »

Avec Luc on est très proche, ses parents sont déménagés à la ville d’à côté et c’est plus compliqué pour se voir. Il joue au hand comme moi, on a fait partie des sélections départementales et régionales ensemble, c’est vraiment un bon pote.

Le train est à quai, je vois au loin un grand mec, un sac à l’épaule, c’est lui, il a changé, il s’est virilisé, barbe de 3 jours. Il a une démarche féline, c’est un beau mec. Il vient juste d’avoir 20 ans. Ses yeux vert très clair contrastent avec sa chevelure noire. Il serre la main de mon père et me fait une accolade appuyée, je sens bien ses pecs et ses biceps.

Luc « Comment tu vas mon pote, ça fait tellement longtemps ! Tu vas bien ? »

Je suis bouche bée, sous un coup de foudre, mon pote est devenu un homme viril, ultra charmant, une drôle de sensation me saisit, serais-je devenu gay ? Je n’ai plus les mêmes sensations pour ce mec, mon cœur s’accélère, mon souffle est court, je suis à l’étroit dans mon short… Pendant qu’il discute avec mon père de sa voix grave, je gamberge à fond, on va dormir ensemble, il va se passer des choses, j’en suis sûr… comment vais-je gérer ?

Je le laisse passer devant pour le trajet vers la maison, je le mate discrètement de ma place arrière, ses cuisses sont énormes, poilues, ses biceps sont puissants et ce cou ! Ses avant-bras ne sont pas si poilus, ses mains sont larges et veinées. Une puissance mâle se dégage de lui, un mec sûr. Un homme accompli dans mon lit ce soir… nan je divague. Je me suis endormi à l’arrière de la BMW, la route aura eu raison de mes 3 branlettes d’hier soir.

Papa « Bastien Luc, on est arrivé ! »

On émerge en même temps d’une heure de route, on se déplie dehors, sa courte chemisette se soulève et dévoile un 6 pack bien sec, une légère pilosité, ses biceps se gonflent : deux grosses boules. Il me sourit, je suis encore sous le choc émotionnel, pourtant ça va le faire, je le prends par les épaules emmène mon copain voir ma mère.

Moi « Viens on va déjeuner, on cherchera tes affaires après le repas, j’ai trop la dalle »

Luc « Moi pareil, 5 heures de train ça casse et ça creuse… »

Mes parents sont géniaux, ils accueillent Luc comme leur fils, ma mère le trouve changé, elle lui dit qu’il doit en tomber des filles, mon père est fasciné par lui, il rêverait de l’avoir comme fils, ça lui ferait deux beaux fils… moi je suis amoureux de lui, comme on peut l’être pour un frère avec une nuance sexuelle en plus. Il fait chaud, mon père se met torse poil, nous deux on le suit. Un fin duvet couvre les pecs de mon copain, ses tétons pointent droit. Il est beau comme un dieu.

Le repas se passe dans l’évocation de souvenirs croustillants inconnus des parents… c’est l’hilarité générale… le saladier de salade de pâtes y passe, comme les côtelettes d’agneau, le pack de bières aussi.

On a eu tous les deux notre bac avec mention. On va se retrouver ensemble en DUT informatique pour devenir ingénieur. Mes parents nous proposent une colocation… on accepte de concert…

Quel jour béni ! Après le repas c’est sieste obligatoire, c’est là que tout a basculé…

Il va chercher ses affaires dans la voiture, pendant ce temps je refais le lit, je change les draps souillés par mon jus, ça se voyait trop… toutes ces heures de plaisir finissent dans la machine à laver. Dans la chambre il y a un lavabo avec de l’eau chaude… je me suis allongé en boxer sur le côté droit du lit, je lui laisse le côté collé au mur, les bras sous la tête. Il entre dans ma chambre avec son gros sac de sport.

Luc « Tiens c’est de la part de mes parents, une bouteille de champagne et des chocolats »

Moi « Oh merci beaucoup, je vais descendre ça à ma mère, tu peux ranger tes affaires dans l’armoire avec les miennes… »

Quand je remonte après avoir discuté avec ma mère, je le retrouve nu devant le lavabo en train de se laver au gant. Deuxième choc de la journée : son petit cul poilu me perce le cœur, le bout de sa queue pointe entre ses jambes écartées…

Luc « Ouais je me rafraichis, j’ai eu très chaud dans ce train, je dormirai mieux, et je ne veux pas salir tes draps… »

Je me rallonge sur le lit, je suis au spectacle, ce mec est inoubliable, gaulé comme un dieu du stade, pas pudique, quand il se retourne troisième coup de poing dans le plexus : sa queue est comme un obus, au moins 15cm au repos… mes 10cm font pitié.

Moi « Dis donc Luc tu dois en exploser des chattes avec cette trompe ! »

Luc « Euh… je ne sais pas encore… mes copines en ont peur, elle double en érection, elles craignent pour leur minou ces salopes… quant à leur cul ce n’est pas la peine…»

Il croise ses doigts, lève les bras et se hisse au plus haut, son corps est divin. Il met un boxer blanc qui accentue ses formes. Pour rejoindre sa place dans le lit, il m’enjambe, son paquet frôle le mien, il s’allonge sur le dos…

Luc « Et toi tu as une femme ? Enfin une copine… »

Moi « Nan pas précisément… suis encore puceau, désolé j’ai plein d’aventures, elles cherchent toutes le mariage et des gosses, alors… je ne suis pas assez mûr encore pour ça.»

Luc « Ah c’est marrant mec on est vraiment frères, moi pareil… »

En disant ça, il pose sa main sur mon paquet, saisit ma queue et lâche « on a une semaine pour se dépuceler, on va bien trouver de la Bretonne salope… peut être même qu’on peut se la faire à deux… »

Il n’aurait pas dû, ma queue se déploie instantanément, elle sort de mon boxer, mon gland prend sa liberté. J’essaye en vain de la remettre dans le slip, ma queue reprend sa position contre mes abdos à la verticale ! Elle dépasse fièrement de mon boxer, mon slip me fait mal, je le retire, comme ça au moins…

Lui se fout à poil, je cours fermer à clef la porte de ma chambre, même si mes parents ne sont jamais entrés sans frapper et attendre la réponse.

Dès que je m’allonge, Luc pose sa tête sur mes abdos, visage orienté vers ma queue, elle touche ses lèvres… je ferme les yeux, il sort sa langue pour agacer mon méat… ou plutôt pour goûter la mouille qui coule abondement. C’est mon copain, mon frère je ne dis rien, je caresse ses cheveux, je pousse un peu sa tête, ma queue entre dans sa bouche, je gémis, on ne m’a jamais sucé… sa langue tournoie autour de mon gland, je n’ai jamais rien senti de tel, c’est divin.

Sa bouche se referme sur ma queue, il approche son bassin de ma tête, je suce son gland, c’est la première fois que je goute une bite, c’est très doux, son gland est dur, il sent le mec, cette odeur me fait tourner la tête… elle est très grosse, sa grosseur ressemble à une petite courgette que j’avais tété au début de l’été. Il donne des coups de bassin, elle touche ma luette, ça me donne des hauts de cœur, je saisie ses couilles très poilues, j’adore ça.

Je ne peux lutter, mon jus part dans sa bouche, il avale tout, j’ai envoyé une dizaine de jets puissants, alors que je geins, je reçois sa fournée de sperme très épais, j’avale aussi, ça me dégoute un peu, je ne veux pas perdre la face… Je repense à la pub sur le Yop… je ne connais pas ce goût… mon copain change de sens et se cale devant moi, son cul bien collé à mon bassin, sa tête sur mon bras, il est en nage, moi aussi du reste, son odeur corporelle me tourne la tête. Je ne serai plus puceau du cul avec lui, c’est sûr.

Il est déjà habillé quand je me réveille, il est en pleine forme, sa queue en demi-molle déforme son maillot de bain.

Luc « Allez lève-toi on va se baigner ! il fait trop beau, J’ai trop envie ! Viens mon copain ! »

Je me lève, je me sens étonnamment léger, cette « vidange » a porté ses fruits, je me sens divinement bien ! Un tee-shirt, un maillot de bain, un short dessus, des claquettes… on traverse le kilomètre qui nous sépare de l’océan, je suis heureux de montrer mon mec au monde. Mes yeux crient « Eh les gens c’est mon mec, on est ensemble… ! » sauf que je ne suis pas sûr qu’ils soient prêts à entendre ce discours…

L’après-midi on a joué au foot sur le sable avec d’autres mecs, on a nagé, plongé, mangé des chouchous, des chichis, quand on est rentrés à la maison, on était tout rouge, fourbus. Le diner a été vite avalé, on est monté se coucher après avoir embrassé mes parents ravis.

On s’est affalé sur le lit, nus comme des vers, je lui tourne le dos, lui aussi. On s’endort de suite ! je me réveille au milieu de la nuit, je suis collé à lui, ma bite est contre lui, elle pulse, des fourmis sur mon gland…

Moi « Luc je n’ai jamais baisé un cul, je veux que ce soit le tien, tu veux bien ? »

Luc « OK, attend j’ai de la vaseline dans mon sac, je m’en sers pour me branler… »

Je tartine son cul poilu, j’essaye de rentrer un doigt, son cul est super serré, il souffle fort, il me demande de faire gaffe, je l’embrasse goulument, sa langue combat la mienne, j’ose un deuxième doigt, il gémit fortement, mais comment vais-je faire pour l’enculer… j’essaye d’agrandir son anus, je n’en peux plus.

Je lève sa jambe, mon gland bien tartiné aussi, je pose mon gland, je mets ma main sur sa bouche, je donne un coup de rein…

Luc « Oh ohPutain aie ! aie ! arrête j’ai trop mal… »

Je ne ressors pas je patiente (déjà expert… eheh pour un puceau mdr) j’ai dans mes bras mon ami d’enfance que je vais doser, un corps d’homme très viril, il s’est calmé, son anus s’est détendu, je progresse en lui, ses sphincters serrent ma queue, quand mes couilles touchent son cul poilu, j’explose en lui, j’inonde son colon, il soupire d’aise, moi j’hurle dans le coussin, ma teube ne débande pas. Le moindre de ses mouvements torture mon gland de plaisir. Je le galoche à fond…

Moi « Tu es ma femme maintenant… je ne suis plus puceau»

Luc « Ça fait bizarre, mais j’ai aimé, je veux t’enculer maintenant Bastien ! J’ai trop envie, je veux que ce soit toi qui me dépucelle, je t’aime, tu es mon mec maintenant, on est lié à la vie à la mort, notre amitié est scellé par le sperme… tourne toi… je vais t’engrosser»

Il avait planqué un verre de whisky dans la chambre, on se partage le verre, ça fait une bonne dose. La tête me tourne immédiatement.

Je me retourne très inquiet, je ne peux pas me dérober face à son gourdin, je le sens dans mon dos, ça a l’air énorme… je le touche, effectivement c’est plus gros que la courgette de l’autre fois…

Bizarrement je le désire, je veux m’offrir à lui, je veux le sentir en moi, je veux qu’on soit lié par sa bite…

Je lève une jambe, il masse mon anus comme je lui avais fait, il rentre deux doigts de suite grâce à la vaseline, ça me fait un peu mal, Luc est très doux, il tourne un peu ses doigts, je souffle aussi, il me galoche, en conquérant…

Il doit se reculer un peu pour poser son gland sur ma rosette, la vaseline cette salope fait son office, il enfonce la moitié de sa queue, j’hurle dans sa bouche, lui ne me lâche pas et tourne sa langue dans ma gueule. J’ai l’impression que mon anus est déchiré tant il est dilaté. Je lui prends les couilles, et lui fait comprendre que j’en veux plus. Il avance en moi, il remet de la vaseline, ça rentre d’un coup. Je n’ai jamais eu mal comme ça. Les vapeurs d’alcool m’anesthésient, il rote ses vapeurs de whisky dans ma bouche, ça ne m’écœure pas, ses couilles s’écrasent contre moi. Lui gémit aussi, il essaye un pistonnage, mais au bout de trois va et vient, il inonde mon cul, sa bouche dans mon cou, ça semble interminable…

Luc « Je t’aime Bastien, tu es ma femme maintenant, je t’ai fécondé ma petite chérie de mon cœur, tu as bien senti ma grosse pine ? »

Bastien « Oh oui, j’ai kiffé ma race, tu ne débandes pas non plus ? »

Luc « J’ai de la réserve de jute »

Disant cela il reprend ses coups de boutoirs, je suis sur le dos, mes jambes complètement sur mes épaules, le cul offert à son glaive, il me baise en puissance, il ressort presque sa queue et s’enfonce avec force en moi, la lumière de la lune éclaire son corps musclé, sa queue fait un bruit de piston, mon colon est souple et entièrement ouvert. Ce sont ses couilles qui vont me faire jouir sans me toucher, elles tapent contre mon périnée, elles déclenchent des sensations inouïes, je me branle, des jets de foutre atteignent mon visage et le sien, sur sa bouche, il explose encore en moi, sa queue grossit et dilate davantage mon colon, bizarre cette sensation de mon cul rempli… comme une envie de ch…

Il ouvre la fenêtre, une sale odeur mélangée de sperme et de … flotte dans la chambre, on se lave tous les deux au lavabo en s’embrassant, ça coule sur mes jambes, on met des slips propres, on se recouche, il fait si chaud… on va dormir jusqu’à midi, lui contre moi, sa gaule du matin a essayé une nouvelle pénétration, mon cul a refusé, besoin de repos…

Luc « Bonjour mon chéri, on est marié maintenant, j’ai mal au cul, toi aussi je suppose… »

Moi « Bonjour mon chéri, oui très mal, mais c’était délicieux, on recommence ce soir, on changera de position ? »

La 2ème nuit fut spéciale : Luc avait décidé qu’il serait passif toute la nuit. Le diner délicieux fut vite avalé au grand désespoir de ma mère. Elle aurait préféré qu’on apprécie son repas au lieu de le « bouffer ». Elle proposa de jouer tous les 4 au Triominos… Luc gagna les 6 parties, mon père dégouté jeta l’éponge lui qui gagne tout le temps, il avait trouvé son maître. Ma mère était ravie de cette petite claque à mon père, ça lui fermait sa bouche arrogante sur ce jeu.

A 22h on prit congé après avoir débarrassé la table… on s’allonge en boxer sur le lit, je ne peux dissimuler ma grosse très grosse érection… Luc avec son index dessine les contours de ma bite sur le boxer. On entend la porte de la chambre des parents se fermer, c’est le top départ ! Luc retire nos boxer et saisit ma queue, il la lèche comme un sucre d’orge, on n’a pas pris de douche, elle sent fort. Il semble apprécier ce goût de l’homme, je lui demande d’aller doucement sinon je vais cracher…

Il est doué et apprend vite les choses de l’amour. Je le laisse faire, je m’abandonne à lui. Il prend les choses en main, il recouvre ma bite de vaseline, il m’enjambe et après avoir positionné ma queue contre son trou, il s’assoie sur moi jusqu’aux couilles qu’il écrase de son poids. Son conduit serre ma queue, il gémit car je dilate trop sa chatte, la douleur a fait débander la sienne, elle repose sur mon ventre.

Il ne bouge pas le temps d’acclimatation indispensable, ma queue pulse en lui, il fait une grimace à chaque impulsion, je ferme les yeux pour me concentrer sur sa chatte. Il pose ses mains sur mes pectoraux et remonte un peu pour mieux enfoncer ma teube en lui. Il gémit un peu, il semble souffrir de la grosseur de ma bite, je donne des petits coups de bassin pour bien le déformer pour bien lui faire l’amour. Je caresse ton torse en même temps, je martyrise ses tétons, ça ajoute à son palisir.

La sensation est intense, j’ai des étoiles dans les yeux, mon palpitant est à fond… j’entends des bruits de succion, je sens une autre présence… horreur ! C’est la grosse bite à mon père qui déforme la joue de mon chéri… elle est vraiment énorme… je réalise que j’ai oublié de fermer la porte de la chambre à clef. Je garde les yeux fermés jouant le jeu, Luc semble apprécier cette grosse teube dans sa bouche… ma queue a encore grossit dans sa chatte, Luc suce mon père en tenant ses grosses couilles poilues. Mon père ne se gêne plus pour gémir, il tient la tête de Luc et gère lui-même la fellation, il manque de vomir plusieurs fois, on est sacrément montés dans la famille.

Je lâche ma purée dans le cul de Luc, je tiens ses cuisses pour le calmer, mon gland me fait mal, ma queue baigne dans mon jus ce qui atténue sa sensibilité. Je serre Luc contre moi, je l’embrasse à pleine bouche, mon père en profite pour passer derrière lui…est-ce pour se venger du Triominos ?

Luc « Non stp non, c’est vraiment trop gros vos deux queues, tu vas me déchirer… »

Mon père ce salop n’entend rien et enfonce son gland, la vaseline et mon jus facilitent la pénétration… ma mère devait dormir à poings fermés, car elle n’a pas entendu le cri de Luc, une longue plainte de douleur, mon père en expert y va par petites impulsions, sentir la queue de mon père contre la mienne m’a redonné de l’appétit, je me cale sur sa progression et je recommence à baiser mon mec.

Luc a posé sa tête contre mon épaule, il est résigné, nos deux bites ravagent son colon, ses bras en arrière, il encourage la sodomie de mon père, je sens clairement la bite de mon père longer la mienne, même la dépasser, Luc râle en bavant, sa queue éjecte des litres de jus sur moi dans un long gémissement. Il ne peut pas serrer nos deux queues à la fois, alors je me mets à le fourrager sans pitié, quand je me retire mon père s’enfonce en lui et inversement. Je ne lui fais plus l’amour, je le baise, je le veux pour moi. Pour moi tout seul. Mon paternel l’a senti, il sort de son cul et éjacule sur le dos de Luc en grognant. Il repart discrètement comme il était venu. Luc semble soulagé, son cul a pris cher, son anus se resserre autour de ma queue, je le bascule sur le dos.

J’allume la petite lampe de chevet, ses jambes sur mes épaules, je le baise profondément dans un bruit de gargouillis, il me tient les fesses, il me veut bien au fond… je n’ai jamais ressenti de l’amour comme ça, je l’embrasse amoureusement, oui c’est mon mec maintenant. Mes couilles claquent son cul, on se fixe dans les yeux, je le regarde avec un air dominateur, lui avec un air de soumis à la force de ma bite. Tout est tendu en moi, mes abdos, mes cuisses, mes fesses qui se serrent à chaque geste, je lui souris, je vais le féconder à nouveau.

Luc « Oui oui féconde moi mon mec, je te veux, je t’aime »

Moi « Oh je viens, je me cale bien au fond de toi, tiens prend ça mon chéri, prend ça »

Ce plaisir-là est inouï, c’est tellement puissant que je me laisse tomber sur le côté, ma bite reste en lui par le gland puis sort épuisée, je débande enfin, nos deux queues sont ratatinées, on nage dans le jus, on se colle face contre face, torse contre torse, jambes emmêlées, nos bouches sont scellées. Je tire le drap sur nous, on restera comme ça jusqu’à 10h du matin.

Mon père nous a préparé un petit déjeuner copieux, des crêpes, du beurre salé, des saucisses, un pichet de jus d’orange frais, du thé, du chocolat bien chaud. Une enveloppe nous attendait avec 100 euros pour la fête foraine du village et deux CASH à gratter. Avec ces mots : Merci les garçons, je vous aime, ça sera notre secret.

Luc restera deux semaines supplémentaires avec nous, il était charmant, ses parents sont venus passer un week-end. Nos parents se sont entendus pour la coloc. On n’allait manquer de rien. Ce sont les plus belles années de ma vie, vivre, étudier, baiser, puis travailler avec mon mec. Nos parents tolérants que j’adore, nos frangins frangines un brin jaloux accepteront nos vies.

Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !

J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm

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