Le troisième soir, mercredi, je rentre du taf à 18 h 30. Je me suis endormi déjà durant le trajet en tram. J’accède à ma chambre en pleine forme. Une douche chaude puis froide me revigore. Elle rétrécit ma teub mais tonifie mon corps. J’ai envie de sexe avec mon voisin, le bomec carré d’épaules. Je sors dans le couloir et toque à sa porte… mon voisin m’ouvre, il est en slip très craquant, barbe de 3 jours, tous poils dehors. Il me salue de la tête et me donne l’accolade. Sa queue bande dans son slip, elle barre son bassin outrageusement. On distingue nettement la grosse veine et son gland je le trouve énorme aujourd’hui. Il me déshabille et m’allonge sur le lit. Il est très tendre. Il caresse ma peau en évitant mon sexe. Il effleure ma peau, j’ai la chair de poule, je ferme les yeux. Sa large main virile explore tous les recoins de mon corps. Sa bouche titille mes tétons, puis il descend vers mes boules et les lèche longuement. Ma queue est plaquée contre mon filet de poils. Il met deux doigts dans une capote, une grosse noisette de gel, il masse mon anus en circulaire et me pénètre. Ses doigts sont gros et je souffre un peu. Les poils de ses avant-bras m’électrisent. Je saisis son sexe, et le tiens fermement. Il m’embrasse tout le corps, sa barbe me chatouille. Je mouille comme jamais.
Il change de level, soulève ma jambe droite et entreprend de me pénétrer. Bien préparé, son gland franchit mon anus sans difficulté. Il est très doux, la grosseur de l’engin me fait mal, il enfonce sa queue complètement, et regarde ma réaction… j’ai la tête en arrière, je m’accroche à la couette. Il est vraiment très très très bien monté. Je me détends, il décide alors de me baiser de plus en plus rapidement. Sa queue coulisse très bien et me fait un bien fou. Je me sens possédé par ce mâle, je saisis son bassin et le colle plus fort contre moi. Ses couilles s’écrasent contre moi, cette baise est pleine, ses coups de reins sont violents maintenant, il souffle fort, moi j’en demande plus, je touche ma queue qui explose direct, je ne peux que hurler de bonheur. Il a un cri rauque, puissant très viril, limite bestial ; il remplit la capote. Sa queue est au format maximum, elle me déchire presque. Il reste en moi puis elle glisse hors de moi, laissant un trou béant. Il se rapproche de moi, me couvre de bisous. Aujourd’hui il ne m’a pas baisé, il m’a fait l’amour. Cet échange ne vaut-il pas mieux que des paroles ? Je retire délicatement la capote, je nettoie sa queue avec des lingettes bébé, et je me pose contre lui. Je caresse son torse velu, le haut de ses cuisses puissantes, je joue avec la veine de son biceps, ses abdos sont tendus, je fais tous les sillons de ses abdos, je saisis ses couilles et m’endors comme ça. Lui ronronne. Cet homme muet, un vrai ours est magnifique. Il faudrait que je me mette au langage des signes. Au milieu de la nuit, je m’éclipse discrètement, je retrouve toute la largeur de ma couche. Les endorphines me rendent très heureux, je suis bien, très bien. Je sens bien le passage de sa queue, sans avoir mal, je voudrais tellement qu’il soit encore en moi. Nan, je ne suis pas en train de tomber amoureux… quoique… j’aime tout ce qu’il me fait… je me sens protégé dans ses bras musculeux, j’aime son souffle sur ma nuque, les poils de son torse qui griffent mon dos (arrête Bastien, tu vas être malheureux, me dit ma petite voix intérieure) ; oui je l’aime… aïe aïe aïe tout à l’heure j’ai eu un pincement au cœur quand il a ouvert la porte… Plus qu’un dodo dans cet hôtel, celui de jeudi, une dernière nuit d’amour dans cet hôtel… et il faudra se quitter…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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