Jeudi soir et dernier soir dans cet hôtel. Au moment de rentrer dans ma chambre, un couple sort de la chambre d’à côté… le bomec serait-il parti ? Cette détestable surprise me met de mauvaise humeur. Moi qui ai fantasmé toute la journée sur lui… mon cerveau beugue, je me retrouve seul, abandonné. Je me couche et pleure en silence. C’est vrai que je suis amoureux, mon ange m’avait prévenu… « tu vas souffrir ». Un coup de fil de mon copain me redonne la pêche, mon copain est une valeur sure, on peut compter sur lui. Je décide d’aller diner au chinois à côté de l’hôtel. Je fais uns razzia au buffet. Une envie pressante, je descends aux toilettes, sors mon kiki et me soulage. Puis c’est le choc, un mec se pose à côté de moi, c’est mon voisin, qui sort le sien et envoie un jet jaune impressionnant. Il me sourit. Malgré mon trouble, je fais mine d’être indifférent. On est stupide des fois… l’orgueil est mauvais conseiller. Il me bouscule des épaules gentiment, avec un air interrogateur. Nos affaires finies, il me prend dans ses bras. Son parfum et son odeur m’enivrent.
Il sent le mâle puissant, je me laisse aller contre lui, un mec entre dans les toilettes, il nous insulte tout bas, je m’en fous de ce qu’il pense. Mon mec a les larmes dans les yeux, il m’écrit sur un calepin « j’ai dû quitter la chambre, ma mission s’est arrêtée, je suis formateur du langage des signes, viens avec moi… » Après avoir réglé l’addition, je monte dans sa voiture, je retrouve ses deux copains à l’arrière qui me tapent sur l’épaule. Je pose ma main sur sa cuisse quand il conduit, il la pousse vers son paquet, il bande comme un taureau. Il se gare sur la parking d’un Novotel, un petit trajet à pied et je me retrouve dans sa chambre.
Je n’ai qu’une seule idée en tête : qu’il me défonce. Ses deux potes sont déjà nus, leurs queues pendent, ils s’embrassent goulument, je vois leur queue remonter lentement pour se coller à leur ventre. Mon mec s’est assis sur le lit et m’invite à le sucer, il remonte dans le lit et s’allonge sur le dos. Son membre est large et dur comme un gourdin, même son gland est énorme et de pierre. Je lèche son sexe pendant qu’un de ses potes graisse et dilate mon cul. Il me demande de m’assoir sur le gros sexe de mon voisin, je m’y prends à plusieurs reprises, il est très gros aujourd’hui, d’un coup mes sphincters cèdent et je m’empale sur la colonne de chair. Mon voisin donne des petites impulsions qui dilatent bien mon anus, il m’attire vers lui et m’embrasse à pleine bouche. Il me serre contre lui. Son copain me gaze, la tête me tourne très fort, je sens sa queue qui cherche à se faire une place… je gémis fort, proteste… il ne pourra pas entrer, je suis trop plein là… et pourtant… sa grande queue me pénètre, longe celle de mon mec et s’installe.
J’ai l’impression que mon colon va éclater… j’aime cette douleur qui mute rapidement en plaisir coupable… je vais retrouver mon vrai copain demain soir, il va vouloir me faire l’amour, comment vais-je le recevoir ? Le mec inoccupé insère un tout petit tuyau entre les deux queues et injecte un produit qui m’anesthésie et dilate mon conduit exagérément. Mes deux baiseurs sont libérés et me pilonnent chacun leur rythme… mon anus est devenu une chatte ouverte, il y a la place pour un troisième. Je vérifie cette hypothèse dans l’instant, le troisième mec insère sa longue queue. Je vais tourner de l’œil… mes trois mecs ravagent mon cul, je suis en mode BBK, ma volonté est annulée, je jouis sans me toucher… les trois éjaculent en même temps, ça fait comme une poutre crachant son jus, mon cul est noyé. Ça coule sur mes couilles et sur le lit. Ils déculent brutalement en même temps. Un mec m’essuie et me ramène à la porte de la chambre, je dois partir… en serviette dans le hall je commande un UBER. Beaucoup de clients me dévisagent, je m’en tape. Le chauffeur de taxi se marre. Quand je sors du taxi, il y a une grosse tâche sur le siège… je cours vers ma chambre.
Je me douche, me fais un lavement, j’ai eu du mal à dévisser le pommeau de douche, quand je suis propre, je me mets en pyjama et je m’endors aussitôt. Demain vendredi fin de mission, retour à la maison, retour dans les bras de mon homme. Je vais avoir des choses à lui raconter… peut-être pas tout…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
LE7
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