Salut, je m’appelle Philippe et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée au lycée, il y a une trentaine d’années.
Nous avions tous 18 ans. Moi, j’ai toujours su que j’étais bi car, déjà à cette époque, j’aimais mater les mecs dans les vestiaires sous les douches après le sport. Mes deux camarades de l’époque s’appelaient Paul et Nicolas. On pratiquait du sport ensemble au lycée. On se retrouvait 2 ou 3 fois par semaine à l’entrainement de volley. J’aimais déjà admirer les beaux muscles des mecs qui sautaient pour lancer le ballon, les belles cuisses qui bandaient sous l’effort, les biceps qui se contractaient pour recevoir une passe.
Et bien sûr, dans les douches, je ne me privais pas de mater les beaux mecs sportifs de mon club. Ça se passait toujours pareil : on se mettait à poil, le plus naturellement du monde. On mettait notre serviette autour des hanches et on se dirigeait vers les douches communes. On accrochait notre serviette et on allumait les douches. Tout le monde parlait dans les douches, on se chamaillait un peu, et moi, je matais d’abord les culs bombés et ensuite, car ils se retournaient tous à un moment donné, les bites poilues qui dansaient sous mes yeux. Et oui... à l’époque on ne s’épilait pas. Il y en avait des petites et d’autres bien plus grosses, longues et dodues. Les corps étaient tous minces et musclés. Les mecs n’avaient vraiment aucune pudeur. Ils se douchaient et parlaient en même temps, passant leur main sur leur membre viril, l’exhibant sans aucune gêne. Ça ne gênait personne de se faire mater par les autres...
Moi, j’étais blond, de corpulence moyenne avec un petit ventre... et une petite queue, je n’étais pas très poilu.
Nicolas était grand (1,85m) et très maigre. Il avait une queue plutôt normale qui me laissait rêveur de devant. Il était très poilu, il avait des poils partout : sur le corps, les jambes, le pubis, les couilles et même dans le dos. Et il y avait Paul... il avait tout pour lui : une gueule d’ange ... et une bonne teub entre ses jambes, épaisse, marron et bien longue. Je la matais dès que j’en avais l’occasion. Elle pendait mollement sous ses couilles dodues sur lesquelles elle formait un bon arc de cercle. On devinait même un gros gland sous le long prépuce. Il faisait 1,75m et il était de corpulence normale avec sur le pubis une jolie broussaille bien velue remontant jusqu'au nombril. Je peux vous dire que ça faisait déjà bien 3 ou 4 ans que je fantasmais dessus... J’avais souvent échafaudé des plans pour lui avouer mon admiration et pour le pousser à me laisser le sucer.
En fin d’après-midi après les cours ou les week-ends, Paul, Nicolas et moi nous retrouvions ensemble. On sortait, on jouait ensemble à des jeux de société ou à des jeux vidéo, on se matait des films. Une nuit, j’avais fait un rêve. Je ne sais pas s’il était prémonitoire... mais il avait renforcé mon envie pour la belle bite de Paul. Nous étions seuls dans les vestiaires. Lui nu, moi avec une serviette autour de la taille. Il exhibait comme à son habitude son gros morceau. Il se le triturait sans arrêt sous la douche. Et il s’est mis à bander. Il me regardait bizarrement. Je me suis alors approché de lui et je me suis agenouillé devant sa bite. Ses yeux semblaient m’encourager. Je l’ai alors prise en bouche et je l’ai sucée. Lui posait sa main sur ma tête et il accompagnait mes mouvements de suce. Sa bite devenait énorme. Très vite, il m’a éjaculé dans la bouche. Je me suis réveillé en sursaut pour constater que j’avais eu une éjaculation nocturne.
Un samedi, alors que je m’ennuyais, Paul m’a appelé et m’a demandé si je voulais passer pour jouer à la console. Je me suis alors rendu chez lui avec plaisir. Quand j’ai sonné, lui et Nicolas étaient déjà en train de jouer. J’ai attendu qu’ils finissent puis nous en avons commencé une autre, ensemble. J’ai gagné une partie et on s’est alors dit qu’on pouvait faire une pause. Paul est alors allé chercher à boire. Nicolas et moi avons commencé à regarder sa collection de vidéo. On voulait en effet se mater un film après la troisième partie. Nicolas s’est soudain esclaffé et il m’a dit :
- Regarde ! Un porno !
En effet, une VSH trainait dans un coin où on voyait une femme avec de gros nichons. Nous avons alors entendu derrière nous :
- Putain ! Mon père n’a pas rangé sa vidéo ! Ça rend ma mère dingue !
- Ton père se branle devant des vidéos et ta mère est au courant !, me suis-je écrié.
C’est sorti d’un coup. J’avais déjà vu que mon père avait des films X mais il les cachait bien.
- Oui ! Regarde ! Il a toute une collection !
Paul a alors ouvert un tiroir et en effet, il y avait plein de cassettes. Nous en avons pris quelques-unes et nous les avons observées. J’ai alors remarqué que Paul portait sa main à son paquet... il s’est mis à se triturer son matos à travers son pantalon. Nicolas a fait semblant de tousser et Paul s’est alors excusé
- Désolé... je peux pas regarder ces cassettes sans vouloir me branler.
J’ai alors vu que sa queue s’allongeait et le tissu de son jean se tendait... Comme un réflexe, et en repensant à mon rêve cochon, j’ai alors senti que ma queue se mettait aussi à gonfler... Je suis sûr que Paul a remarqué les mouvements au niveau de mon bas-ventre, car il s’est remis à triturer sa bite. Il avait l’air d’avoir un sacré morceau ! Mon rêve devait avoir bien deviné ce qui s’y cachait. Nous regardant à tour de rôle, il a alors sorti sa bite qu’il a commencée à caresser. Nicolas s’est exclamé.
- Putain, tu fais quoi là ?
- Ce n’est rien... Ça ne vous dirait pas une séance de branlette entre potes...
- Quoi ?
- Ben oui ! Y a pas mal de groupes de potes qui font ça.
- Ah bon ? Qui ?
- Je sais pas...
- Comment tu sais ça ?
- Mon cousin m’a parlé de ses potes de foot avec lesquels ils se branlaient de temps en temps.
- C’est chaud, ai-je lâché !
- Cette discussion m’a trop donné la trique, a repris Paul. Je vois que Philippe, ton entre-jambe bouge aussi. Ça te dit qu’on se mate un porno ensemble.
- Oui, ai-je murmuré, après hésitation.
Paul a alors mis la cassette qui trônait sur le meuble et le film a démarré. Il a fait descendre son pantalon sur ses chevilles et il s’est assis. Je l’ai imité. Et en effet, il avait une putain de queue ! J’aurais dit 19 ou 20 cm ! Moi, avec mes 12 cm, je me sentais un peu ridicule... Paul souriait, tenant sa batte fièrement dans sa main. Nicolas nous regardait, médusé, sans bouger.
- Allez, Nicolas, viens avec nous ! On est entre mecs !
Après quelques secondes d´hésitation, il est venu s’assoir à côté de Paul qui se retrouvait au milieu. Paul a commencé à faire des va-et-vient sur sa queue. Je l’ai imité. Je bandais comme un taureau, cette situation m’excitait.
Après quelques minutes, Nicolas a finalement ouvert sa braguette et il en a sorti sa bite, tendue. Il avait une plus petite queue que celle de Paul, elle faisait 17 cm et elle était fine. Nous avons alors commencé à nous masturber les uns à côté des autres. Paul a ensuite dit :
- Allez, on se déshabille ? On sera plus à l’aise.
Nous nous sommes exécutés. J’avais vue sur deux magnifiques derrières qui étaient bien musclés. Nicolas et Paul regardaient le porno. Moi, mon regard déviait un peu et je matais leur corps et leur queue en essayant de ne pas me faire remarquer. Mais au bout de quelques minutes, Paul a ouvertement regardé nos teubs, sans rien dire, un petit sourire au coin des lèvres. Nicolas restait plongé dans le porno. J’admirais la bite de Paul. J’avais tellement fantasmé dessus... et elle était encore plus belle que ce que j’imaginais !
Au bout d’un moment, Nicolas a craché sur son gland pour ne branler que cette partie. Sur le porno, la grosse queue du mec est entrée dans la chatte de la meuf et il s’est mis à la pilonner. A ce moment, le gland de Paul a laissé échapper du precum. Il a commencé à accélérer sa branle. Moi aussi, je m’astiquais bien. Paul a été le premier à éjaculer. Il a poussé un cri et 6 jets de spermes sont sortis de sa bite. Le premier a atterri au milieu de son torse. Les autres étaient moins puissants et ils se sont écrasés sur son ventre et dans son pubis. Il a alors secoué sa queue et quelques gouttes sont venus voltigées sur mon ventre. Le contact de son sperme chaud a eu raison de moi. J’ai éjaculé. Ma petite bite a juté un jet super puissant qui a atteint mon menton. Les autres ont tapissé mon torse. J’ai compté une dizaine de jets. Je n’avais jamais joui comme ça !
Nicolas a éjaculé au bout de quelques minutes. Ses jets sont sortis de sa queue et ont coulé tout le long. Une fois finis, Paul a retiré la cassette et l’a remise à sa place. Puis, il a dit :
- C’était la première fois que je me suis branlé avec des potes. C’était vraiment bien ! Il faudra remettre ça.
Nous avons tous acquiescé. Et après, je me suis branlé plusieurs fois par jour en repensant à cette séance de branle entre potes. Nous nous sommes retrouvés les week-ends suivants et nous nous sommes masturbés à chaque fois.
Au bout de quelques semaines, l’expérience est allée un peu plus loin.
Un vendredi, après les cours, nous sommes allés chez Paul et ayant constaté que nous étions seuls, on a mis un porno. Directement, sans hésiter, on s’est tous mis à poil et on a commencé à se branler. On y avait pris gout, il me semble. On s’était même mis à faire des commentaires genre :
- Ah tu ne branles que ton gland ?
- Et toi, tu te branles sans te décalotter ?
- Tu bandes super dur aujourd’hui, non ?
Nicolas et moi nous branlions ce jour-là lentement tandis que Paul se donnait à fond. Puis à un moment, il s’est arrêté en disant :
- Putain, j’ai trop mal au bras ! Je me suis branlé ce matin et je crois que ça a du mal à venir maintenant...
- Tu veux de l’aide, ai-je dit en ricanant.
- Oui pourquoi pas !
Je l’ai regardé bizarrement. Me proposait-il que je le branle ? Sans me laisser le temps de répondre, il a pris ma main et l’a collé contre sa bite qui était un peu molle. Sans opposer de résistance, je me suis mis à le branler. Sa queue s’est mise immédiatement au garde-à-vous. Putain ! J’avais entre mes mains la queue sur laquelle je fantasmais depuis si longtemps ! Je me suis mis à l’activer. Paul a alors ajouté :
- Regarde, je bande mieux grâce à toi ! Tu veux que je te branle aussi ?
J’ai seulement fait un « Oui » timide de la tête et il s’est emparé de ma queue. Quelle sensation incroyable ! C’était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne... et que quelqu’un d’autre que moi branlait ma teub. Nous nous branlions doucement. Nicolas ne bronchait pas, il regardait le porno. Puis, Paul s’est penché sur ma queue et il a craché dessus. Et il a repris la branle, cette fois plus rapidement. Sa bave faisait des bruits humides qui me plaisaient beaucoup. J’ai aussi accéléré le mouvement. Au bout de quelques minutes, j’ai fermé les yeux et j’ai murmuré :
- Tu vas me faire jouir.
Il a alors accéléré le mouvement. Moi, je gardais bien sa queue en main tandis que je soufflais. J’ai éjaculé de nombreux jets sur tout mon corps. Un a même atterri dans mes cheveux. Une fois fini, j’ai repris mes esprits et j’ai continué de branler Paul. Mes va-et-vient étaient plus rapides. Paul a alors saisi la queue de Nicolas qui s’est laissé faire et qui a joui très vite. Paul a éjaculé sous mes caresses appuyées. Sa bite s’est mise à tressaillir entre mes doigts et j’ai senti comment elle pompait le jus hors de la queue. Le premier jet a atterri directement entre ses pectoraux. Les deux suivants se sont écrasés sur son ventre et le dernier, le plus puissant, a volé dans ses cheveux. J’avais du sperme sur les doigts que j’ai léché discrètement sur le chemin de la salle de bain. Il avait un bon goût sucré.
Nous nous sommes ainsi branlés très souvent. Plusieurs fois par semaine. J’étais devenu accroc à leurs bites, que je rêvais même de sucer... mais je ne voulais pas gâcher le « jeu » qui devait, malheureusement pour ma bouche, rester hétéro. Jusqu’au jour où...
Depuis, on se branlait mutuellement, sans chichi. Dès qu’on mettait le porno en route, je prenais directement la bite de Paul en main qui branlait Nicolas qui lui me branlait. Le temps passant, on s’était rapproché, nos genoux se touchaient, nos jambes étaient les unes sur les autres. Il n’y avait plus de gêne.
Une fois, au début du film X, alors que la meuf suçait la grosse queue d’un Russe, Paul a dit :
- Ça doit être bien de se faire sucer la queue ! Avec ses lèvres, la meuf doit faire du bien !
- Moi, j’ai essayé de me sucer moi-même mais ma bite est trop petite, a ajouté Nicolas.
- Ah, j’ai aussi essayé... mais ça n’a pas marché non plus !
- Et toi, Philippe ?
- Non, je me suis jamais fait sucer.
Je me suis alors dit que je leur aurais bien proposé de m’occuper de leur queue. Mais je n’osais pas. Et Paul m’a alors surpris... il s’est penché sur ma bite et il l’a enfoncée dans sa bouche ! Putain, quelle sensation ! Il faisait tourner sa langue autour de mon gland. Puis, il a enfoncé ma queue dans sa bouche. Il avait le nez dans mes poils de pubis. Il a fait quelques allers-retours puis il s’est redressé en disant :
- Alors, c’était comment ?
- Putain ! C’était trop bon.
Paul me regardait alors en souriant. J’ai laissé tomber mes dernières résistance et j’ai voulu lui rendre la pareille. Je me suis mis à genoux devant lui et j’ai gobé son gros gland. Je l’ai léché et sucé. Paul gémissait fort. Il répétait :
- Ouah ! Tu fais ça trop bien !
Puis, j’ai enfoncé sa queue dans la bouche. Elle a passé mon palais puis elle a touché ma glotte. J’ai alors fait des va-et-vient. Très vite, il a dit :
- Putain, arrête, sinon je vais jouir.
Mais j’ai continué. J’ai senti sa queue se tendre et les jets se sont mis à gicler dans ma bouche et dans ma gorge. Quand sa bite s’est ramollie, je l’ai ressortie de ma bouche, j’ai léché le sperme qui restait encore sur sa queue et je suis passé à Nicolas. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma gorge. Lui me caressait le dos et il fermait les yeux, savourant ce nouveau plaisir. Il a joui après 10 minutes. Son premier jet est allé directement s’exploser contre mon gosier. Il a été suivi de deux autres qui ont coulé sur ma langue... et je les ai bien sûr avalés.
Ils m’ont alors branlé, Paul a même léché mes boules et ma queue et j’ai joui un geyser de sperme. J’étais tellement chaud ! Le premier jet a jailli et est parti derrière le canapé. Les 8 huit autres ont été moins puissants et ils ont tapissé mon corps, entièrement, tels une pluie de sperme.
Et après cet épisode, nous nous sommes souvent branlés et sucés ensemble. J’étais le seul qui prenait le sperme en bouche et qui l’avalait. Mais ce n’était pas grave. J’avoue que j’aurais bien aimé aller plus loin ... ce que j’ai bien sûr fait depuis, mais avec d’autres mec.
Et c’est vrai que moi j’ai toujours su que j’étais bi. J’étais tellement content de voir mes coéquipiers nus ainsi que leurs bites au repos dans les vestiaires... Et surtout, j’étais tellement heureux que Nicolas, Paul et moi ayons fini à poil en train de se branler et de se sucer.
Merci à Philippe pour ses confessions.
Ceci était une histoire réelle !
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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