Salut,
Moi, c’est Nico. J’ai 22 ans, je suis étudiant en histoire de l’art à Poitiers et je vis encore chez mes parents. On habite une grande maison, avec piscine. Ma mère est femme au foyer et mon père est secrétaire de direction dans une entreprise d’immobilier. Je me suis toujours demandé comment un secrétaire pouvait se payer une maison aussi grande et aussi chère... question qui va bientôt trouver réponse...
Un jour, je sors plus tôt de la fac et je rentre chez moi en bus. Tout d’un coup, je vois mon père par la fenêtre qui entre dans un hôtel. Surpris, je décide de demander l’arrêt et de descendre dès que possible. J’ai toujours été sûr que mon père avait une maitresse car j’étais persuadé qu’il ne touchait plus ma mère longtemps. Quand j’entre dans l’immense réception de l’hôtel, je ne vois aucune trace de mon père. Je peste car je n’ai pas été assez rapide. Je me rends quand même au premier étage et je déambule à travers les couloirs de l’hôtel. J’écoute discrètement aux portes. Après 30 minutes de recherche, je me rends à l’évidence que je ne le trouverais pas. Je redescends quand je vois soudain une ombre dans un couloir. C’est au 3ème étage. Je me rends alors vers la porte d’où semblait venir le mouvement et j’attends 5 minutes. Je vois soudain un mec en peignoir, portant un masque de carnaval comme à Venise, sortir d’une chambre pour entrer dans celle d’en face.
Curieux, j’essaie d’entrer dans la chambre d’où il est sorti mais la porte est fermée. Mais tout à coup, un mec ouvre la porte et on se retrouve nez à nez. Je m’excuse, je le remercie d’avoir ouvert la porte et j’entre. J’arrive dans une sorte de vestiaire. Il y a des tas de vêtements qui sont à côté les uns des autres sur le lit et il reste 2 peignoirs accrochés à un porte-manteau. Je me déshabille, je prends un masque et un peignoir et je vais dans la chambre d’en face. Ayant réussi à voir le code de la porte tapé par les deux mecs d’avant, je rentre facilement. Je vois d’abord des peignoirs entassés dans le couloir. Je retire mon peignoir, me retrouvant nu, et j’entre dans la grande suite. Je vois alors des mecs qui regardent un truc tout en se branlant. J’entends des couinements.
Je m’approche et qu’elle n’est pas ma surprise quand je vois qu’un black baise un mec qui est en levrette sur le lit. Le black est nu. Il doit avoir dans les 35 ans. Il a le crâne rasé et il porte une barbe épaisse. Il est grand, musclé, il a une peau très sombre. Je vois ses couilles poilues qui fouettent le cul du passif. Je le vois de dos donc je ne peux pas voir sa queue. Puis, je la vois quand elle sort du trou et elle doit bien faire 19 cm. Elle est fine et complètement noire. Je regarde alors les autres participants. Ils portent tous un masque, donc difficile de dire si mon père est parmi eux. Je crois cependant le reconnaitre. Je m’approche alors de lui. Tout d’un coup, j’entends le black pousser un cri bestial et je comprends qu’il jute dans le trou du passif. Il en ressort, il dépose alors un billet de 100€ sur le lit et il se casse.
Je regarde le cul qui dégouline de sperme et je peux distinguer les traits du passif qui n’est plus caché par le black : est-ce mon père ? Je ne vois pas très bien car le mec suivant enfonce vite sa queue dans le trou présenté. L’actif a dans les 50 ans. Il a une bite de 15 cm, de petites couilles poilues, il est assez mince et il est très poilu. Je vois son cul poilu qui bouge d’avant en arrière.
Je me déplace sur le côté et là, je reconnais bien mon père, nu, à quatre pattes, qui se fait baiser sans capote par le quinquagénaire.
Mon père a 55 ans. Il est de taille moyenne (1,75m) et il est sportif. Il a des cheveux courts et grisonnants, une barbe bien taillée et courte. Il fait très propre sur lui (normalement). Son corps est musclé fin avec de beau abdos et des bras bien musclés. Son corps est légèrement recouvert de poils gris. Son pubis est rasé, sa bite fait 16 cm et il a de petites couilles, rasées elles aussi. Il a un cul musclé et légèrement poilu.
Je suis sidéré, complètement ébahi. Je ne trouve pas de mots pour décrire mon étonnement. Je me cache vite derrière les mecs qui forment un demi-cercle autour de mon père. J’entends gueuler le mec qui le baise et je comprends qu’il l’ensemence. Quand il ressort, un filet de sperme coule le long de son trou. Il dépose aussi de l’argent à côté de mon père et il se casse.
J’ai l’impression d’être dans un rêve. La scène se déroule sous mes yeux sans que je sois vraiment là. Je vois les mecs se succéder dans son cul à une vitesse folle. Le suivant est grand, un mec de 40 ans, musclé, avec une bite fine de 18 cm qui s’enfonce dans le trou déjà bien ensemencé et il défonce mon père pendant 2 minutes avant de jouir en lui. Il se retire et le suivant est déjà dans son cul. Un jeunot de 20 ans, de taille moyenne, pas très beau, au corps mince et à la queue de cheval. Elle fait bien 23 cm. Il s’enfonce dans le cul de mon père qui semble prendre cette bite sans problème. Il s’empare de ses hanches et il se met à le baiser à fond. Il est endurant. Pendant 15 ou 20 minutes, il pilonne mon père avant de bloquer sa teub au fond de ses entrailles et de l’ensemencer. Quand il ressort, un torrent de sperme dévale le périnée de mon père.
Le suivant est un mec plutôt gros de 30 ans qui se met à se branler sa bite de 17 cm et avant de jouir, il enfonce sa queue dans le trou bien lubrifié de mon paternel. Ensuite vient le tour du mec que j’avais vu sortir de la chambre d’en face en premier. Un mec de 50 ou 60 ans, musclé fin avec une teub de 15 cm. Il baise lentement mon père avant de sortir sa queue, de se branler et de juter 10 jets sur son trou. Le mec qui lui succède est celui qui m’a tenu la porte pour me permettre d’entrer dans la pièce aux peignoirs. Il est assez baraqué, il a la quarantaine, il est assez bronzé, peut-être un rebeu, avec bien 19 cm entre les jambes. Il prend le sperme du mec d’avant qui est sur le cul de mon père et il lubrifie ainsi sa queue circoncise. Il se met à défoncer mon père pendant une dizaine de minutes avant de juter dans son cul. Il tasse son sperme et il ressort.
Soudain, je me sens poussé par quelqu’un vers le centre de la pièce. Je prends peur, je panique, je me fraie un chemin à travers la « foule » qui m’entoure et je sors de la pièce, nu. Heureusement que le rebeu qui vient d’avoir son orgasme ouvre la porte d’en face, je m’y engouffre en même temps que lui, je me rhabille sous l’œil amusé du rebeu et je sors vite. J’attends devant l’hôtel et je vois mon père sortir presque une heure et demie plus tard. Je comprends alors comment il fait pour être aussi aisé... il est un gigolo, il se fait payer pour ses services par ses clients. Il a dû bien gagner 2000€ aujourd’hui !
Curieux, je le suis et je découvre qu’il ne se dirige vers sa voiture afin de rentrer à la maison. Il marche dans la rue pendant 10 minutes, moi sur ses talons, et il finit par rentrer dans un immeuble. J’attends devant et je constate qu’il y reste un moment. Je finis par m’approcher et par constater que son nom est sur une des sonnettes. Je suis bouleversé. Je me décide à rentrer à la maison.
Pendant de nombreux jours, mes pensées vont être en ébullition : mon père est une pute, mon père est PD, il se fait baiser pour de l’argent. Le fric qui a payé la construction de la piscine est de l’argent qu’il a gagné grâce au sperme qu’on lui a injecté dans le cul, etc.
Par contre, qu’il baise avec des mecs ne me dérange pas vraiment, car je suis bi. Mais le fait qu’il trompe ma mère avec des mecs pour de l’argent... ça me sidère... voir ça me dégoûte un peu !
Depuis cette journée improbable, je fais le détour en sortant de la fac et je passe devant l’immeuble où mon père a son appart. Je suis sûr qu’il s’est acheté en secret cette garçonnière. Et un jour, bien 3 semaines après ma découverte, je le vois entrer dans l’immeuble au moment où je passe. Curieux, je m’approche et quand quelqu’un en sort, je me faufile dans le bâtiment. De l’extérieur, il ne paie pas de mine mais l’intérieur est super bien décoré. Je vois une personne ouvrir sa porte et l’intérieur semble immense, presque luxueux. Je monte au premier étage. Il n’y a malheureusement pas de nom aux sonnettes des portes. Je m’apprête à faire demi-tour quand un homme très bien habillé, en costume-cravate d’une certaine marque de luxe fait son apparition et il sonne à une porte. Le mec a la trentaine, il semble très arrogant.
La porte de l’appart s’ouvre alors... et je vois mon père. Il me regarde alors. Som regard passe de la surprise au choc. Le mec arrogant a sonné à la porte de l’appart de mon père ! Je flippe, je viens de me faire prendre en flag. Mon père finit par balbutier :
- Nico, qu’est-ce que tu fais là ?
- Hm... Rien...
- Philippe, qui est-ce ?, s’empresse de demander le jeune homme en costume.
- Personne..., répond mon père.
Le mec me lance un regard si profond, si perçant que je ne peux répondre :
- Je suis son fils.
- Ah oui !
Le mec s’appuie sur le cadre de la porte, comme s’il draguait quelqu’un et il me dit :
- Dis-moi, tu es aussi mignon que ton père...
- Merci.
- Tu veux te joindre à nous ?
- Non, pas vraiment.
- Tu es au courant de ce que je fais avec ton père.
- Non...
- Tu mens, je suis sûr que tu sais comment ton père gagne sa vie, je le lis dans tes yeux.
- Je vous en prie, Maître, laissez-le, dit mon père d’une voix suppliante.
Mon père vient d’appeler le mec « Maitre » ?
- Ta gueule, petite pute, dit-il en s’adressant à mon père avant de me dire : viens avec nous.
- Non !
- Ce n’est pas une demande, c’est un ordre !
Le mec me prend alors par le coup et il me traine dans l’appartement. Je vois alors un grand appart luxueux, avec de grandes baies vitrées. Philippe nous suit. Le mec lui dit :
- Sers-nous à boire.
Mon père obéit, il nous sert et il nous tend un verre puis nous trinquons. Le regard du mec m’oblige à boire. Mon père s’assoie dans le canapé, la tête dans ses mains.
- Philippe, ne t’en fais pas. J’ai déjà vu ton fils sur des sites gays. J’ai une très bonne mémoire des visages. Il est bi et il aime baiser, crois-moi, c’est une petite chaudasse.
Mon père et moi nous regardons, mal à l’aise devant toutes ces révélations.
- Mickaël, laissez-le...
Le mec met une baffe à mon père :
- Pour toi, c’est « Maître » !
- Maitre, ne le mêlez pas à ça, je vous en prie. Je le fais gratuitement aujourd’hui.
- Non, Philippe, ma décision est prise. On va bien s’amuser.
Mon père se met alors à genoux et il supplie Mickaël qui ricane.
- Tu vois le vrai visage de ton père, Nico ? Une vraie salope soumise ! Une pute de luxe qui se fait baiser pour de l’argent.
Sans sourciller, Mickael ouvre sa braguette et il en sort une belle teub de bien 22 cm. Il se met à bifler mon père qui ne bronche pas mais qui baisse le regard et qui se laisse faire. Puis, le dénommé Mickaël enfonce son gland entre les lèvres de la bouche de mon père qui se met à le sucer. Il se débrouille bien avec ce gros morceau. Il fait de bonnes gorges profondes. Il le suce sans les mains, il lèche le gland et les boules puis il reprend la bite en bouche.
Quant à moi, j’ai du mal à regarder cette scène. J’ai honte pour mon père qui se laisse rabaisser ainsi. Après quelques minutes, Mickaël dit avec un ricanement diabolique :
- Suce maintenant ton fils !
- Quoi, m’écrié-je !
- Toi, ta gueule ! Tu as pas intérêt à broncher !
Il me prend par la nuque et il me serre. J’ai mal. Je regarde mon père d’une façon désespérée mais il n’intervient pas. Il me lance un regard désolé et il s’approche de moi. Il m’ouvre le pantalon et il découvre ma queue qui pend entre mes jambes. Il la prend délicatement en bouche.
- Dis-donc, tu as les couilles bien pleines, j’ai l’impression, dit Mickael.
- Je banderai jamais !, dis-je.
- Ferme ta gueule ! Tu as ça dans le sang !
- Jamais je me laisserai traiter comme une pute !
- Nico, tu m’appelleras bientôt « Maitre ! »
Cette phrase, qui me rappelle Star Wars, retentit dans mes oreilles. Et bizarrement, au lieu de me dégoûter, je ressens comme un coup de fouet. Je sens ma queue se remplir de sang. Elle se met à se dresser. Pour pas que le mec ait raison, je pense à d’autres trucs et je débande vite. Mickael ricane, comprenant mon petit jeu et il tire mon père vers lui. Il met un pied sur le canapé et mon père se précipite dessus. Il se met à lécher le cuir des chaussures de Mickaël.
Au bout de quelques minutes, Mickaël enlève son pantalon et il frotte sa chaussette contre la bouche de mon père qui se laisse faire. Puis, il lui enlève ses chaussettes et il commence ensuite à lui lécher chaque orteil. Mickaël s’assoit sur le canapé et il laisse mon paternel s’occuper de ses pieds puis de ses jambes. Philippe lèche entièrement. Il est soumis, il fait ce que son maître lui demande. Il bande à fond. Je reste debout, je veux prendre mes jambes à mon cou mais... je n’ose pas. Je ne comprends pas pourquoi. J’observe mon père se prostituer devant ce mec... dont la teub est bien tendue. Quelle belle queue.
Mickael enlève sa chemise et je le vois (enfin...) nu : il a dans les 30 ans, il a un corps parfait, musclé sec, couvert de tatouages. Il a des cheveux bruns coiffés en pic, un visage lisse et un corps imberbe. Sa queue fait 22 cm, elle est épaisse et veinée et il a d’énormes couilles.
Moi, j’ai toujours mon pantalon sur les chevilles, la queue sortie de mon caleçon. Mickaël prend la tête de mon père dans ses mains et il lui crache dans la bouche tout en me regardant droit dans les yeux. Ce mec me fascine d’une certaine façon. Son caractère dominant, son air de macho supérieur qui prend ce qu’il veut...
Mickaël se relève et il se place debout, la queue bien tendue en avant. Il me dit :
- Viens me sucer.
Je ne réponds rien. J’hésite. Mon père me regarde en souriant. Mickaël a placé sa main sur sa tête et c’est comme si mon père lui appartenait. Mickael lui dit :
- Dis-lui d’obéir !
- Allez, Nico, viens... sinon il va être très désagréable...
Et c’est comme si quelque chose se cassait en moi. Ma volonté se brise alors et je vois mes genoux fléchir. Je me retrouve devant la bite de Mickaël, à quelques centimètres du visage de mon père. Mickaël m’encourage en me mettant la main derrière ma tête. Il me pousse un peu vers sa bite et il dit :
- Allez ! Elle est à toi ! Fais-toi plaisir ! Tu en meurs d’envie ! Je le sais et tu le sais !
Ma bouche s’ouvre alors doucement et ma langue se tire. Elle se met à lécher son membre tendu. Puis, je prends son gland en bouche. Je descends sur la moitié de sa queue ... puis dans un mouvement de refus, je la ressors. Mon père s’empresse alors de prendre le gland dans sa bouche et de le sucer. De sa main droite, mon père me prend la tête et l’accompagne vers la queue de son maître. Je me laisse faire et nous nous mettons à lécher le membre, moi du côté droit, lui du côté gauche. Mickaël ricane sur un ton vainqueur...
Mon père me regarde droit dans les yeux... moi, je fuis son regard. Après quelques secondes, mon père quitte la bite de Mickaël... et il la pousse doucement vers ma bouche. J’avale alors aussi le gland et je me mets à pomper cette belle teub. Mickaël pose lentement ses mains sur nos deux têtes et il enfonce ma tête sur sa queue. Il me fait faire une gorge profonde. Je ressors immédiatement sa bite ... dont mon père s’empare. Il la prend en bouche et il se met à la sucer... et à faire une bonne gorge profonde. Je me sens alors comme un petit jeune dont le mentor lui montre comment il doit s’y prendre.
Il me donne ensuite la queue, il place aussi sa main sur ma tête qu’il guide dans la suce. Peu à peu, je m’habitue à ce gros membre et j’arrive à le garder sans problème pendant quelques secondes.
Finalement, Mickaël se retire et il me félicite :
- Tu te débrouilles très bien, petite pute. Bientôt, ça rentrera comme dans du beurre, tu verras.
Sans que Mickaël dise quoi que ce soit, mon père se place sur le canapé, à quatre pattes, le cul présenté. Il doigte le trou mais je constate que mon père s’est déjà bien préparé car les 22 cm rentrent immédiatement dans son cul et Mickael entame immédiatement un pilonnage sauvage.
Puis, après quelques minutes, il ressort de l’anus qu’il me montre de son doigt.
- Vas-y, baise-le !
Je veux protester mais les mots de mon père résonnent dans ma tête : « sinon il va être très désagréable ». Ma queue tendue prouve cependant que je n’éprouve pas que du dégoût pour cette situation. Je n’ose pas résister. J’approche mes 17 cm du cul présenté devant mes yeux... et mon gland rentre dans l’anus.
Mickaël s’assoit sur le canapé et il redonne ses pieds à lécher à mon père. Ma bite s’enfonce un peu plus dans le cul bien ouvert, crémeux... Je vois Mickaël qui regarde la scène avec intérêt et qui place un pied sur le dos de mon père, montrant sa toute-puissance sur lui. Je me résigne finalement. Ma bite quitte le cul de mon paternel. Je suis pris de remords. Mickaël dit doucement :
- Nico, regarde-moi (j’obéis). Allez, tu vas y arriver. Vas-y.
Je tiens ma queue en main et j’hésite. Mickaël prend un ton impérieux :
- Nico, mets ta putain de queue dans son cul !
Mickaël a pris un ton qui ne me laisse pas le choix. Je me sens obliger d’obéir. Je replonge ma queue dans le cul paternel jusqu’à ce que mes couilles touchent sa peau. Je commence alors à faire de lents allers-retours. Mickaël se penche sur le cul de mon père et il regarde avec intérêt la queue du fils en train de baiser le père.
- C’est bien ! Brave petit ! Maintenant, défonce-le !
Je pose mes mains sur les hanches et je me mets à le pilonner. Mickaël plante sa queue dans la bouche de mon père et il fait la même chose avec sa bouche : il la défonce. Bizarrement, je me mets à perdre le respect que j’avais pour mon père. Je le baise comme une pute. Quand Mickaël lui balance un mollard en pleine gueule, je me sens obligé d’en faire pareil. Mickaël rigole, moi j’en ai la chair de poule. Mickaël passe derrière moi et il regarde ma bite aller et venir dans le cul musclé de mon père et mes couilles frapper son périnée.
- Stop !
Sans réfléchir, je sors du cul de mon père à qui Mickaël s’adresse maintenant :
- Suce-le. Et toi, laisse-toi faire !
Mickaël me pousse sur le canapé. Mon père passe sa tête dans mon entre-jambe et il me suce. Moi, je subis. Sa bouche chaude experte s’occupe de ma bite à merveille. Je gémis malgré moi.
- Philippe, prépare le cul de ton fils !
Mon père me fait alors lever les jambes et il enfonce sa langue dans mon trou. Il se met à la faire danser dans mon trou, à l’y enfoncer. Putain ! Je n’ai jamais connu ça ! Je gémis fort tandis que mon père me bouffe le cul.
Après 5 minutes, il me libère. Mickaël me fait mettre à quatre pattes et il enfonce lentement ses 22 cm dans mon cul. Putain, ils m’ouvrent à fond ! Son gland passe mes sphincters en les distendant bien ! Arrivé au fond, il attend un peu puis il commence des va-et-vient rapides et brusques. Il me démonte le cul. Mon corps tremble sous ses assauts. Il sort sa queue, la rentre, la sort, la rentre. Mickaël dit :
- Ton cul est trop bon. Bien serré, bien chaud. T’es un vrai sac à foutre ! Tu es ma nouvelle petite pute !
Ses couilles claquent contre mes fesses. Je me mets à gémir, ce qui accroit la violence de ses coups. Il me met des fessées, ce qui augmente mes cris. Sans pitié, il me bourre. Il fait signe à mon père de me sucer. Ce-dernier se place entre mes jambes et il s’occupe de ma bite qui bande toujours.
A un moment, Mickaël m’écrase de tout son poids et je me retrouve sur le sol. Il continue de me pilonner. Je sens bien son gland qui m’ouvre en grand. A un moment, Il place ses jambes le long de mon corps et il donne de petits coups de teub. Il tend son pied gauche et je comprends que je dois le lécher. Je m’exécute. Il pousse un soupir de satisfaction. Puis, il me baise tout en m’écrasant son pied sur ma nuque, pour bien montrer qu’il me domine toujours. Je transpire, je ne résiste pas, je subis.
- Tu m’appartiens toi aussi, petite pute !
- Oui..., je t’appartiens, Mickaël..., m’entends-je dire, surpris.
- Un peu de respect, dit-il en me donnant un coup de pied sur la nuque.
- Oui, je vous appartiens...
- Je vous appartiens qui ?
- Mickaël.
Il me redonne un coup de pied sur la nuque. Je souffre. Et je m’entends alors dire quelque chose que je ne voulais pas dire... mais l’emprise du mec est telle que je ne peux pas résister :
- Je vous appartiens, maître...
- Brave petit, ricane mon maître.
Il sort de mon trou et il fait mettre mon père à côté de moi à quatre pattes sur le lit. Mickaël passe derrière nous et il nous touche à chacun le cul... avant de se mettre à baiser mon père. Puis, il passe à moi. Il alterne nos deux culs qu’il utilise comme il veut. Il donne de bons coups de reins. Mon père me caresse la tête pendant que je suis en train de me prendre les 22 cm. Il nous baise à fond. Mon père et moi braillons de plaisir tandis que la teub de Mickaël nous laboure. Sa belle teub me prend tellement profondément et elle me masse à chaque coup la prostate. Mickaël semble super excité d’avoir deux culs rien que pour lui, le cul du père et de son fils. Je le remarque à sa teub qui est super gonflée et dont le gland semble prêt à exploser. Il se défoule en moi.
Finalement, il prend mes épaules entre ses mains puissantes et il me défonce comme si j’étais une poupée gonflable. Il me déboîte le cul. Au bout de 2 minutes, il s'enfonce loin en moi, il pousse un cri de jouissance et il me lance sa purée au plus profond de mon trou. Je sens comme sa queue se contracte pour expulser tout le sperme contenu dans ses grosses couilles. Il continue ses mouvements bien brusques puis il décule, sa semence jaillit comme un geyser hors de ma chatte.
- Baise maintenant ton père et marque-le de ta semence !
Je m’enfonce dans mon père tandis que Mickaël grimpe sur le lit et me donne sa bite à nettoyer. Ma bite rentre de toute sa longueur dans le trou. Puis, je me mets à faire des va-et-vient violents. Je vois ma queue entrer et sortir à une vitesse folle de son cul imberbe et musclé. Mon père est devenu un trou à jus. Philippe n’est plus mon père, c’est une salope, une vide-couilles, une pute qui baise pour de l’argent. Ma rage se libère, mon père subit un vrai labourage de cul ! Je n’avais jamais ressenti une telle puissance se déchainer en moi !
- Putain, je vais jouir, salope, dis-je.
Je donne un grand coup de rein et je me vide dans les entrailles de Philippe. Je tasse mon jus puis je sors. Mon sperme coule le long de son cul. Je lui donne ma bite à nettoyer en lui mettant une baffe.
Je m’assois sur le canapé, exténué. Mickaël nous regarde, amusé. Il va vers mon père et il lui tend de l’argent :
- Tiens, comme convenu, 2000€. A lundi prochain !
Il vient ensuite vers moi et il me tend aussi deux billets :
- Voilà 1000€. Tu les as bien mérités. Ton père m’enverra ton numéro. On se revoit dans une semaine à cette heure-ci, ici ! Philippe, tu lui fileras un double de tes clés. Compris, Nico ?
- Oui, maître. Merci, maître.
Il se rhabille et il quitte l’appartement. Je suis sidéré. Je suis nu, à côté de mon père. Notre cul dégouline de sperme. Je regarde, furieux, mon père avant que mes yeux tombent sur les billets. Je viens de gagner en une heure ce que je m’efforce de gagner en un mois à côté de mes études. Je crois que je viens de trouver une nouvelle vocation... Je regarde mon père, un peu dégoûté... mais je sens une voix intérieure me dire qu’en fait, je suis prêt à suivre ses traces.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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