Le prof n’a pas le choix

Salut à tous,

Moi, c’est Nico. 30 ans, blond, les yeux bleus, avec un corps mince, un peu poilu et monté 17 cm.

De retour d’Allemagne où j’ai passé une année pour mes études, j’ai trouvé un job de bureau où je n’utilisais pas du tout l’allemand. Cela me manquait et lorsque j’ai vu une petite annonce que l’université du soir de ma ville recherchait un prof pour donner des cours à des adultes, j’ai postulé et j’ai été embauché. J’ai reçu une formation et après quelques semaines, on m’a donné mon premier cours du soir, niveau A1, avec des débutants.

J’étais super stressé pour mon premier cours. Il y avait 6 participants : Rémi, Jean-Baptiste, Félicien, Alonso, Philippe et Rose. Le plus jeune avait 35 ans (Rémi) et la plus âgée était Rose (65 ans). Ils étaient tous très sympa et le cours se passait très bien.

Le directeur de l’université du soir avait l’air satisfait des retours de ses clients et j’ai eu donc le droit de continuer. Durant 4 mois, j’ai enseigné à mes 6 protégés les bases de l’allemand. La plupart participaient assidument au cours, sauf Rémi. Il venait irrégulièrement, je remarque qu’il n’apprenait rien, c’est pour cela qu’il ne faisait aucun progrès. Après avoir parlé de son cas au directeur, ce-dernier m’a confirmé qu’on ne pouvait pas lui donner son certificat de réussite. Il devrait donc refaire le cours depuis le début s’il voulait avoir son diplôme A1.

Le jour du dernier cours, les étudiants passent un test et, comme je m’en doutais, tous réussissent sauf Rémi. Je lui fais savoir qu’il n’aura pas de certificat de la part de l’université. Il semble assez contrarié ! Je félicite les autres, je leur fais remplir un formulaire de satisfaction et après, je leur sers un « Christstollen », une spécialité allemande de Noël. On mange ensemble puis à la fin de la séance, je leur fais savoir que je serais content de les voir en A2, au cours supérieur, le semestre prochain. On se souhaite tous un joyeux Noël puis les participants du cours quittent ma salle.

Je me retourne quand j’entends un toussotement. Rémi est là, planté devant la porte. Il me demande d’un ton agressif :

- Pourquoi est-ce que j’ai pas eu mon test de réussite ?

- Rémi, vous avez beaucoup manqué, vous n’avez pas travaillé, je n’ai pas pu constater de réels progrès... vous n’avez pas le niveau, tout simplement.

- Mon employeur ne va pas vouloir me rembourser les frais de cours.

- Je suis vraiment désolé. Mais vous pouvez vous en prendre qu’à vous-même.

Rémi me regarde avec des yeux remplis de haine. Et sans que je n’aie le temps de réagir, Rémi se précipite sur moi, il me tacle de tout son poids contre le bureau. Il sort alors des menottes de sa poche et il me menotte au bureau. Il prend une de ses chaussettes et il me la met directement dans la bouche, m’empêchant ainsi de crier.

- Alors, j’ai appris par un pote que tu es une petite salope, en fait ! Et que tu as des atouts à faire valoir !

D’un coup sec, il fait descendre mon pantalon. Je me retrouve cul nu. Tétanisé, je me débats pour me sortir de cette situation. Il se couche sur moi et il se met à m’embrasser dans le cou. Je suis coincé, je ne fais pas le poids par rapport à un mec musclé et large d’épaules comme lui.

- Calme-toi ! Sinon, tu vas morfler ! Tu sais bien qu’il n’y a plus personne à cette heure-ci pour venir t’aider !

En effet, mon cours est le dernier et il se termine le plus tard. Tout le monde est déjà parti à cette heure-ci. Il enlève alors son pantalon et il me présente sa queue devant la bouche. il retire la chaussette :

- Suce-moi, m’ordonne-t-il !

Je m’exécute avec réticence. Je prends son gland en bouche. Il a goût d’urine. Rémi saisit ma tête et il enfonce sa queue molle dans ma bouche. Il se met à faire de lents allers-retours. Sa bite se met à durcir. Elle gonfle en bouche, elle s’étend. Elle remplit ma cavité buccale. Une fois bien dressée, il prend ma tête entre ses deux mains et il me baise violemment la bouche. Son gland va me titiller le fond de la gorge. Il me pilonne ainsi pendant 10 minutes.

Tout d’un coup, j’entends la porte de la salle s’ouvrir. Je me pense enfin sauvé. Mais Rémi s’écrit :

- Allez, les mecs ! Il est à nous !

Je ne vois rien car je ne peux pas tourner ma tête. J’entends des chaises bouger et les nouveaux arrivants s’assoir. Soudainement, Rémi me lâche la tête et il me jette à terre. Je me relève et je reconnais Jean-Baptiste et Alonso qui sont assis sur les chaises. Rémi me dit :

- Si je t’enlève les menottes, tu seras bien sage.

J’acquiesce de la tête, vaincu. Il se déshabille complètement et les autres l’imitent. Ils s’assoient sur une chaise et ils attendent, la queue tendue.

Rémi a 35 ans. Il a les cheveux rasés sur le côté et courts sur le dessus. Il est brun. Il a un visage lisse, de larges épaules. Il est sportif et musclé. Il a des tatouages sur les deux bras. Ses deux pectoraux sont bien gonflés. Il a un corps imberbe, un pubis et des couilles rasées. Il a une bite de 17 cm.

Jean-Baptiste blanc a 50 ans, il est blond et il a des cheveux courts. Il est mince et imberbe. Il a une peau très pâle. Il a une longue queue fine de 20 cm ainsi que de grosses couilles rasée.

Alonso a 30 ans, il a les cheveux rasés, il porte toujours une casquette. Il fait genre racaille. Il a une peau mate, il a des boucles d’oreilles, il est musclé sec, il a de beaux abdos. Il porte des chaines en or. Ses bras et ses mollets sont recouverts de tatouages. Son pubis et ses couilles sont velues. Sa bite fait aussi 20 cm et elle est épaisse. Il a de petites couilles pendantes.

Je vais m’agenouiller entre les cuisses de JB et je prends sa bite en bouche. Il est bien monté et je m’applique à enfoncer sa belle teub au fond de ma gorge. Puis, je passe à la queue d’Alonso. Elle est aussi bonne. Ses 20 cm vont profondément en moi. Il donne des petits coups de reins pour la faire aller encore plus loin.

Pendant une quinzaine de minutes, j’alterne les 3 teubs. Puis, ils se lèvent et ils m’encerclent. Je suis comme une bonne chienne qui ne sait plus où donner de la tête. Je prends les bites en bouche, je me retrouve avec deux glands en même temps dans ma cavité buccale. Je suis déchainé et ils le remarquent bien. Alonso s’exclame :

- Putain, regardez comme ça lui plait ! Elle bande comme une salope ! T’aime ça, petite pute, hein ?

Mon regard répond alors pour moi. C’est vraiment bandant de se retrouver dans une situation pareille... J’en ai rêvé de nombreuses fois ! Rémi rigole et dit :

- J’ai bien envie de lui péter sa petite chatte ! Pas vous ?

- Oh si !

Rémi me fait cambrer le cul et il crache sur mon trou. Il fait entrer sa bave dedans et il commence à faire des allers-retours avec son index. Voyant que je suis bien ouvert, il tape avec sa bite contre ma raie et il enfonce d’un coup sa queue. Il essaie d’aller le plus loin possible. Puis, il se met à faire de puissants va-et-vient qui me secouent bien. Pendant ce temps, je m’occupe des bites d’Alonso et Jean-Baptiste.

- Ah ça fait longtemps que je voulais défoncer ce petit cul de salope. Alors, le prof ? Tu kiffes ma grosse queue de looser ?

- Elle est trop bonne !

Rémi me crache alors dessus. Les deux autres mecs s’y mettent aussi. Je me retrouve humilié et soumis par mes trois « élèves » ... et j’avoue que ça m’excite à fond !

Dans un dernier pilonnage, je sens Rémi se vider dans mon cul ! Des jets puissants envahissent mes entrailles ! Il calme ses assauts dans mon anus puis il ressort. Il me donne sa bite luisante de sperme à sucer tandis qu’Alonso prend sa place. Il enfonce sa grosse bite dans le cul. Elle rentre plus difficilement. Je crie un peu. Alonso me fesse pour m’ordonner de me taire et il se met à me défoncer l’anus. Sa qqueue qui baigne dans le sperme de son pote fait des bruits de mouille bandants.

Alonso me baise pendant bien 10 minutes.

- Cette tapette est trop bonne !

Il se défoule en moi tout en prenant son pied. Puis il sort sa bite, se branle et la fait re-rentrer au moment de jouir. Son jus se met à inonder mon cul, s’ajoutant au sperme de Rémi. Quand il ressort, mon trou béant laisse échapper un torrent de sperme qui s’écrase sur le sol. Jean-Baptiste me fait toujours lécher sa bite et ses couilles.

- Tu suces trop bien, salope ! Allez, donne ton cul maintenant !

Quand il rentre en moi, il s’écrie :

- Putain, ton cul est bien lubrifié. Tu aimes ça, pétasse ?

- Oui.

- Tu veux ma bite ?

- Oui, Jean-Baptiste, baise-moi !

Il m’empale sur sa queue, il tient fermement mes épaules et il se met à donner des coups de reins sauvages. Très vite, je sens sa queue augmenter de volume et il décharge dans mes entrailles. Il se retire et il me donne sa bite à nettoyer. J’avale goulûment le sperme qu’il m’offre. Je sens mon trou laisser échapper de bonnes doses de jus.

Ils rigolent, se rhabillent immédiatement et je crois voir furtivement que Rémi range son portable. Aurait-il filmé la scène ? Je veux le questionner mais il est déjà parti.

Je me rhabille. Voyant la flaque de sperme qui est sortie de mon cul, je veux prendre un mouchoir pour la nettoyer... mais je n’en ai plus. Je me penche alors au-dessus de la flaque et j’aspire tout. Je me délecte de ce nectar. Quand le sol est propre, je quitte la salle et je rentre chez moi, le froc plein de jus...

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