Je suis prof dans un établissement scolaire, je suis gay mais pas ouvertement, ne désirant pas provoquer des problèmes de disciplines, ni de problèmes avec des parents.
Je me présente : moi, c’est Nico, 35 ans, blond aux yeux bleus, un peu enrobé, avec une teub de 17 cm bien épaisse.
Ce qui va suivre se déroule lors d’une rencontre parents-profs. Les parents de la classe dont je suis le prof principal défilent dans ma classe, je présente aux parents les points forts, les faiblesses, le suivi pédagogique de chaque élève.
A un moment, une armoire à glace rentre dans la classe, suivi d’une femme menue et chétive, voilée. Ce sont les parents d’Ibrahim, qui n’est pas un mauvais bougre mais qui n’est vraiment pas fait pour les études. J’essaie de rester concentré mais le mâle présent dans la pièce me fait de l’effet. C’est vraiment mon genre de mec : il est grand (1,90m) et baraqué, c’est une véritable armoire à glace. Il a des cheveux courts, noirs, une barbe de trois jours, un teint hâlé et de larges épaules. Son regard est sévère. Il a ventre rebondi, gros et bien dur. Ses bras gros comme de grosses bûches.
Je lance souvent des coups d’œil sur ce beau mec mais j’essaie de ne pas le montrer et de rester professionnel... surtout au moment où la mère se met à pleurer et me demande d’aider son fils. J’essaie de leur donner des conseils puis ils finissent par sortir. Vient le tour des parents de Léa puis après, j’ai enfin une pause. Je souffle enfin un peu et je me dirige vers les toilettes pour me soulager. J’entre dans les WC quand je sens que quelqu’un m’emboite le pas. Je me retourne, et je me retrouve nez à nez avec le père d’Ibrahim. Il fait deux têtes de plus que moi. Il semble menaçant... il s’approche encore plus de moi. Je commence à avoir peur... et soudain... il m’embrasse. Je suis complètement sonné, je ne dis rien. J’arrive tout juste à reculer. Il prend alors la parole :
- Je ferai tout pour que mon fils ait des meilleures notes... tout !
Il se repenche sur moi et m’embrasse de nouveau tout en caressant mon paquet. Je retrouve mes esprits et je m’écris, scandalisé :
- M. S..., qu’est-ce que vous faites ? Qu’est-ce qui vous prends ?! Arrêtez, vous pourriez avoir de graves problèmes !
- M. R..., j’ai vu comme vous me matiez ! Je sais reconnaitre les mecs dans notre genre ! J’ai des envies aussi. J’adore me faire baiser par des mecs de temps en temps. Ce qui ne m’empêche pas d’aimer ma famille et je veux rendre mon fils et ma femme heureux. Je ferai tout pour eux... et avec un beau mec comme vous, je n’hésite pas à me sacrifier !
- Ecoutez, je suis flatté, mais je ....
Tout en m’écoutant parler, le père d’Ibrahim se retourne et baisse son pantalon. Je vois alors un gros cul devant mes yeux. Son cul imberbe est gros, bombé, un peu gras, bien lisse. Immédiatement, je sens ma queue bondir dans mon pantalon, sans que je ne puisse rien faire. Les deux gros globes s’approchent de moi et se frottent sur ma bosse.
- Je m’en doutais... Allez, M. R... Baisez-moi et mon fils aura la moyenne. Deal ?
Sans savoir ce qui me prend, je me mets à caresser le gros cul. Le père, ravi, se retourne et prend mon paquet en main. Il le tâte puis ouvre ma braguette, se met à genoux et enfonce ma queue d’un trait au fond de sa gorge chaude et accueillante. Il me suce royalement, il prend ma queue en gorge profonde et moi qui d’habitude mets longtemps avant de jouir, je sens mon jus monter très vite.
Perdant alors tout contrôle, je le relève et je l’entraine vers une cabine de WC. Je le déshabille et découvre ce beau père de famille, nu, devant moi. Il a de beaux seins bien fermes avec des tétons marrons. Il n’a pas un poil sur le corps. Son ventre est énorme, avec de gros bourrelets. Ses cuisses sont massives, puissantes. Il a de petites couilles noires et un peu poilues. Son pubis est assez fourni de poils noirs et drus, il a une queue de 17 cm, circoncise, recourbée, bien marron.
Le pantalon sur les chevilles, je le retourne et je prends ses grosses fesses dans mes mains et je les malaxe, je les palpe, je les agrippe.
- Quel cul de salope ! Bien souple ! Ton trou a l’air bien ouvert ! Je crois qu’il va bien accueillir ma bite !
Je me penche et j’introduis immédiatement ma langue dans son trou. Il bande dur, sa queue laisse échapper de la mouille. Ma langue essaie d’aller le plus loin possible en lui. Je sens alors que ses muqueuses se mettent à mouiller. Il s’écarte alors les fesses ce qui me permet d’aller encore plus profondément en lui. Je lui bouffe le cul, puis je commence à y rentrer mon index tout en crachant sur ma rondelle. Le père gémit. Je prépare bien le chemin pour ma queue. Il est bien lubrifié. Je me relève et il rapproche son cul de moi jusqu’à ce que ma queue soit collée à sa raie. D’un mouvement d’expert, je place mon gland contre son trou et je l’enfonce lentement.
- Ça te plait ?
- Oui, allez-y... Mettez-la moi complètement.
Il pousse un soupir de satisfaction quand je lui rentre ma queue d’un coup sec dans son antre remplie de mouille. Et je vois les poils de mon pubis se coller à ses grosses fesses, ma queue étant rentrée complétement en lui. Je prends son cou dans mes mains, je me mets à serrer et je lui murmure à l’oreille :
- Alors comme ça, je dois améliorer note à ton fils !
- Oui...
- Oui qui ?
- Oui, monsieur le professeur...
- Et quelle note devrait-il avoir ?
- Une bonne note, s’il vous plait, monsieur le professeur...
- Tu sais que ton fils est un nul ?
- C’est un brave garçon...
- Peut-être bien, j’espère que son père est encore plus brave que lui !
Et je commence à labourer son cul, tout en serrant son cou. Quel spectacle hallucinant de voir cette montagne de muscles et de graisse se laisser faire par moi qui le baise sans capote et l’étrangle presque! Ma queue sort et re-rentre dans ce cul sans concession tandis que mes couilles tapent avec force contre son périnée. J’admire ma queue dans son gros cul bronzé, ses couilles bien brunes qui vacillent sous chaque coup de queue que je donne. Je remarque alors qu’il jouit de la chatte. Je le vois à son trou d’où, à chaque fois que je rentre et que je sors, le jus coule de ma queue. J’adore voir ma queue rentrer et sortir quasiment en intégralité à chaque passage, elle est bien dure et toute mouillée. Avec mon gland, je vais tout au fond de lui pour lui fouiller les entrailles.
- Je crois que la note de ton fils est en train de remonter.
- Vraiment ? Merci, monsieur le professeur...
- Oui, il vient d’avoir tout juste la moyenne !
- Merci, monsieur le professeur...
- Par contre, il n’a pas encore une note qui pourrait compenser les autres.
- Faites tout ce que vous voulez pour que ça change, monsieur le professeur...
- Tout ?
- Oui, tout...
Lâchant son cou, je l'agrippe par les fesses, et mon marteau-piqueur rentre et sort de son antre. J’adore voir mes 17 cm disparaitre en lui... A chaque fois qu’ils ressortent de son cul, je vois son trou bien ouvert !
Puis ce sont ses hanches que je prends et je redouble mes coups de rein. Je lui détruis l’anus. Il gémit de plaisir. Ses fesses vacillent sous mes assauts. Je lui tape au fond de son cul et il couine comme si je le transperçais. Je le baise comme une bête. D’une main, je lui attrape les cheveux et je tire en arrière, de l'autre j'agrippe sa mâchoire et je lui mets en bouche mes doigts qu’il s’empresse de sucer. Je lui fais tourner son visage vers moi... Il est plein de désir. On se regarde fixement. Il me sourit. Moi, je le regarde d’un air mauvais. Je suis devenu un animal. Je suis devenu un prédateur qui s’est abattu sur sa proie, je le baise comme une chienne.
- Oh, défoncez-moi, monsieur le professeur !
Mes couilles tapent son cul. Je deviens de plus en plus bourrin. Je kiffe son gros ventre qui vacille à chaque coup de rein. Au bout de deux minutes, je me cale au fond de son cul et je gueule :
- Voilà, prends ce que tu mérites, salope !
Et c’est là que je lui replis le cul. Ma queue expulse avec violence mon jus qui vient lui tapir les entrailles. Je reprends mes mouvements et je sens un deuxième orgasme qui monte dans mes boules. Je gueule de nouveau et un peu de jus vient s’ajouter au reste. Je le baise encore et quelques secondes plus tard, je ressens un troisième orgasme. Vidé, je sors de son cul et des gouttes de mon jus tombe sur le carrelage. Ma queue est encore toute droite.
- A toi, maintenant, branle-toi et jouis sur ma queue, je veux te baiser avec ton jus.
Il se branle et très vite, il jouit. Des tonnes de spermes sortent de sa queue. Les premiers jets tombent sur ma teub mais les suivants sont super puissants et ils éclaboussent mon ventre et mon torse. Une fois vidé, je le retourne, je récupère avec mon gland son jus qui coule toujours de son trou et je lui enfonce le mélange de nos deux spermes dans son cul bien ouvert. Je reste en lui pendant une minute puis je ressors de son cul. Je me fais une toilette rapide avec du PQ et je lui ordonne :
- Tu vas maintenant rentrer chez toi et surtout garder le sperme en toi. Tu vas baiser ta femme et la remplir avec mon sperme dégoulinant de ton cul dans sa chatte !
- Oui, monsieur le professeur !
- C’est bien, ton fils a mérité sa bonne note ! Tu es un bon père !
On se rhabille, on sort des WC. On remonte le couloir quand on tombe sur Ibrahim et la femme de ma chienne. Elle s’écrie :
- Alors, qu’est-ce que tu faisais ?
- Pardon madame, il me cherchait. On a parlé et il aurait bien aimé que je sois un peu plus conciliant avec Ibrahim. Je ne sais comment il a fait mais il a réussi à me convaincre. Ibrahim, tu as un 14/20 à l’oral. Ça rattrapera bien la note de l’écrit. Par contre, ne te repose pas sur tes lauriers. Ton père ne sera pas toujours là pour te sauver la mise !
- Oh merci, M. R... !, s’écrie Ibrahim
Après une poigné de main avec les parents, ils s’éloignent quand je rappelle son père. Une fois arrivé à ma hauteur, je lui dis à voix basse :
- Il va falloir venir me voir régulièrement si tu veux que ton fils continue à avoir de bonnes notes ! Voilà ma carte de visite.
- Oui, monsieur le professeur.
Et il s’en va. Je vais vers ma salle de cours et remarque que des parents mécontents m’attendent. Je m’excuse, disant que j’ai dû gérer une urgence. Je reprends mes discussions tout en me disant que tout à l’heure, dans les toilettes, ce n’était pas moi. En effet, je ne me reconnais plus... mais je suis content d’avoir une petite pute rebeu à mes ordres maintenant.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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