Salut à tous,
Je suis ravi de recevoir vos messages sur mes histoires et surtout de voir que l’histoire « Cousins rebeu » vous plait. Vous y avez fait la connaissance de Malik qui a réussi à séduire son cousin afin de coucher avec lui. Comme je le racontais dans le chapitre 6, Malik a annoncé qu’il avait découvert le plaisir entre les bras d’un homme assez tard : sa première baise homo était avec son meilleur ami du lycée. Voici le récit qu’il en fait à son cousin Walid :
« A l’époque, je venais d’avoir 18 ans. J’étais en Terminale dans mon collège de banlieue parisienne. J’ai toujours eu une scolarité assez facile, j’avais de bons résultats. Mes potes et moi, on se connaissait depuis la maternelle. On vivait dans le même quartier, on fréquentait les mêmes endroits, on faisait tout ensemble. Mais mon meilleur ami, c’était Ali. On a été pratiquement élevés ensemble. On était fourrés tout le temps chez l’un ou chez l’autre.
Pour moi, Ali était un pote, un ami, presque un frère. Je n’avais aucune pensée cochonne pour lui. Enfin, jusqu’à une de ces nuits chaudes d’été à ma rentrée en Terminale.
Cette nuit-là, on était sur mon lit, chez moi. Ali avait apporté un magazine porno. On était en train de le feuilleter quand il a proposé qu’on se branle devant les gros seins des meufs. Sans attendre ma réponse, il a sorti sa bite et il a commencé à se branler. Moi, j’étais bien sûr gêné. Mais je l’ai suivi. On avait nos shorts sur nos chevilles, la bite bien apparente et on se branlait, comme si c’était normal. Je ne regardais plus vraiment le magazine mais bien la queue de mon pote. Mais je ne me posais pas de question. Ça me semblait si normal ! Puis, sans crier garde, Ali s’est emparé de ma queue. Il s’est mis à la branler. Je ne bronchais pas. Prenant mon courage à deux mains, j’ai saisi aussi la sienne et j’ai activé son membre. Il m’a alors dit de me coucher, la tête sur sa cuisse, pour qu’il puisse mieux me branler. Je me suis exécuté. J’ai posé délicatement ma tête sur sa cuisse. Mais il m’a dit de remonter vers lui car il n’atteignait pas ma teub. Je suis remonté et désormais, j’avais alors ma tête sur son torse. Il m’a pris ma queue et il s’est mis à me branler. Son bras s’est lentement glissé autour de mon cou et il a approché sa tête de la mienne. Il y a déposé quelques baisers puis il a gardé sa joue contre la mienne. Il m’a branlé pendant 2 minutes et j’ai éjaculé.
Tout d’un coup, je me suis réveillé. C’était un rêve. Et j’ai alors remarqué que je venais avoir une éjaculation nocturne. Je n’ai pas pu me rendormir. Je me demandais ce qu’était ce rêve... J’éprouvais beaucoup d’attirance pour les filles. J’étais déjà sorti avec une meuf. Malheureusement, je n’avais pas couché avec elle. Dans les pornos, c’était les seins des meufs qui me faisaient bander, pas les bites ! Mais je me suis demandé le reste de la nuit si j’éprouvais vraiment de l’attirance pour mon meilleur pote rebeu. Et j’en ai eu très vite le cœur net. Ça s’est passé au cours de sport suivant. C’était à l’école, nous avions fait du volley. Une fois dans les vestiaires, je me suis déshabillé, comme à mon habitude, et je suis allé me doucher. Ali a fait de même, il m’a suivi et il s’est mis à côté de moi. Il parlait beaucoup, mais moi je restais silencieux. Mon rêve m’est revenu en tête et j’ai alors observé mon pote.
Ali avait les cheveux noirs et longs sur le dessus, rasés sur le côté. Sur le dessus, ils étaient peignés sur le côté droit. Il avait des sourcils fins, une bouche fine et un petit nez. Un truc m’a alors frappé : je trouvais qu’Ali avait vraiment des traits assez féminins. Il avait aussi une petite barbe naissante. Le tout lui donnait un air canon, c’était vraiment un bogoss. Son visage efféminé tranchait avec son corps. Il avait de larges épaules, il était massif. Il avait de gros bras et d’énormes cuisses. Il était enrobé. Il avait de gros seins ainsi qu’un ventre dodu et bien rond. Il était aussi très poilu. Ses poils naissaient sous son cou et recouvraient entièrement son torse, son ventre. Une ligne très épaisse de poils était au milieu du torse et descendait jusqu’à son pubis qui était très velu. Ses aisselles étaient aussi très poilues. Ses jambes, ses couilles et ses bras étaient aussi recouverts de poils.
Et mes yeux sont tombés sur sa bite... Elle me plaisait... Elle était fine et assez longue, elle faisait bien 13 cm. Elle formait un petit arc de cercle au-dessus des couilles et elle pendait bien dans le vide, allant de droite à gauche au moindre mouvement.
Je l’observais et tout d’un coup, j’ai senti ma queue se réveiller. Paniqué, je me suis retourné vers le mur des douches. Rien à faire. Je sentais ma bite gonfler. Je me suis précipité hors des douches et je me suis rhabillé, bien que je fusse encore mouillé. Je suis allé aux toilettes et je me suis branlé en pensant uniquement à mon meilleur pote ! Deux minutes plus tard, je ressortais des toilettes. Ali m’a demandé ce qui c’était passé et j’ai juste dit que je m’étais senti soudainement nauséeux. Une fois rentré chez moi, je me suis mis à faire le point : je désirais vraiment Ali qui était un beau mec.
Après cet épisode, Ali et moi nous sommes beaucoup plus vus. Nous étions toujours ensemble. Et moi, je ne pouvais m’empêcher de vouloir le sentir près de moi. J’en faisais toujours plus pour me rapprocher de lui, pour le toucher furtivement. En cours par exemple, je frôlais sa main. Ou nos bras se touchaient quand on écrivait et il se laissait faire, plongé dans sa prise de note. Moi, je savourais le contact avec sa peau douce et avec ses poils de bras. Parfois, nos jambes se frôlaient et le frôlement de son épiderme m’électrisait. Il avait toujours aimé me poser les mains sur les épaules. Et moi, depuis ce rêve, je faisais pareil avec lui. Ça peut sembler d’être anodin mais pas pour moi. Je savourais le moindre contact physique avec Ali, ne pouvant avoir plus. Mais je frissonnais légèrement à chaque fois que je le touchais. Et surtout, j’adorais le voir quand il était en t-shirt : ses poils dépassaient du col de son t-shirt et ils me faisaient beaucoup d’effet. Je rêvais d’aller plus loin, j’échafaudais des plans pour le surprendre nu, pour lui proposer de le sucer etc. Mais je n’osais pas en mettre un en œuvre.
Un jour, dans les vestiaires, après le cours de sport, je suis arrivé dans les derniers. Je voulais prendre mes affaires de bains quand j’ai vu le slip d’Ali. Il était posé sur le banc, alors que mon pote était en train de se doucher. J’ai regardé autour de moi, personne à l’horizon. Une envie soudaine m’a alors pris. J’ai saisi le sous-vêtement ... et je l’ai porté à mes narines. Je me suis mis à humer le parfum de mâle qui s’en dégageait, un mélange de sueur, de pisse... et n’est-ce pas du sperme que je sentais aussi ? Je me suis mis à observer attentivement son slip et en effet j’ai remarqué des traces suspectes. Je me suis alors imaginé sa bite en érection. J’ai bandé immédiatement à fond. J’ai aussi vu quelques poils qui témoignaient de sa belle pilosité.
Tout d’un coup, j’ai entendu un bruit, j’ai vite reposé le calbut et j’ai fait un écart, prenant mon sac et faisant semblant d’y chercher quelque chose. Ali s’est alors posé à côté de moi et il s’est séché. Il s’est habillé sans rien dire. Je me demandais s’il m’avait capté... En tout cas, il n’en a rien laissé paraitre.
Les semaines passaient et moi, je n’entreprenais rien, bien évidemment. Je ne voulais pas que les choses changent entre nous, surtout s’il réagissait mal. J’imaginais seulement, tout en me branlant, comment je pourrais l’aborder et ce qu’on pourrait faire ensemble. Je fantasmais sur lui. J’imaginais lui baisser son pantalon et son slip, caresser ses boules enfoncer sa bite dans ma bouche. J’imaginais même lui offrir ma virginité... Je voulais voir son gros membre me pénétrer... et surtout sentir Ali près de moi, l’embrasser et le serrer contre mon corps...
Peu avant les vacances de Pâques, mes parents sont partis au bled car ma grand-mère venait de mourir. Ils m’ont interdit de les accompagner car je devais continuer de réviser pour le bac qui était à la fin de l’année. Ils ont alors demandé à Ali s’il ne voulait pas passer les prochaines semaines chez nous parce que « j’avais besoin de compagnie » car il voyait que j’étais triste pour ma mamie.
Ali était vraiment désolé d’apprendre la nouvelle. Il a accepté sa mission sans hésiter et il a promis à mes parents de « tout faire pour que je retrouve le moral ». Ils sont partis confiants. Le premier jour, Ali m’a fait à manger. Le soir, il m’a proposé de me masser. En y repensant, je dois avouer qu’il m’a fait plus mal qu’autre chose. Mais j’ai adoré le contact de sa peau sur la mienne. La nuit, cependant, je me suis senti seul dans ma chambre et je me suis mis à pleurer. Ali dormait sur le canapé, dans le salon mais il m’a entendu. Il est rentré dans ma chambre, il m’a pris dans ses bras et il m’a consolé. Puis, il m’a demandé :
- Tu veux que je dorme dans ton lit ?
Sans même passer à la « chose », j’ai acquiescé et je me suis senti comme protégé par mon ami.
La première semaine s’est bien passée. Nous sommes allés au lycée et Ali me chouchoutait. Il me cuisinait de bons petits plats. Même sa mère venait de temps en temps nous apporter des sucreries ou des mets succulents. Nous dormions toutes les nuits ensemble. Nous dormions notre dos collé à celui de l’autre. Au bout de cette semaine, la tristesse a laissé lentement la place à mes sentiments pour Ali. J’essayais cependant de ne pas trop bouger dans le lit car je ne voulais pas bander. 23 cm sont assez bien visibles...
Quelques faits étaient à noter. Par exemple, une fois que j’étais triste, Ali m’a pris dans ses bras et m’a serré fort. J’y ai versé quelques larmes. Puis quand tout était passé, il m’a fait un bisou vite fait sur la joue en me disant :
- Je t’adore !
Je n’avais rien répondu, ne sachant pas comment réagir.
Un jour, alors que j’étais en train de pisser dans la salle de bains, il est entré en trombe et s’est mis à côté de moi, il a sorti sa queue et il s’est mis à pisser en s’excusant :
- Désolé, ça pressait trop !
En effet, il pissait d’un long jet puissant qui éclaboussait la porcelaine des toilettes. Nos jets se mélangeaient et formaient une fontaine de pisse qui terminait dans les WC. Je matais sa bite, ses boules et ses belles jambes poilues et musclées. Mais surtout sa queue... c’était la première fois que je la voyais d’aussi près. La bite était brune, presque noire avec un gland à peine plus clair ... et longue ! Elle était longue, dodue, toute en chair, assez large... un boudin charnu et marron ! Ma vessie était vidée mais je prenais mon temps pour continuer de mater : lentement, je secouais les dernières gouttes. Une fois fini, Ali a étiré sa queue, il l’a secouée plusieurs fois. Puis, il l’a glissée dans son slip et il est sorti de la salle de bains.
Un autre jour, alors qu’on était en train de surfer sur mon ordi, Ali a utilisé mon navigateur internet et il a commencé à taper quelque chose... J’ai alors vu qu’une adresse d’un site porno gay était proposée par le navigateur ! Je lui ai arraché l’ordi portable des mains et j’ai supprimé l’historique. Ali m’a regardé bizarrement. Je ne savais pas si c’était du fait de ma violente réaction ... ou du fait qu’il avait vu quelque chose...
Un samedi, alors qu’il faisait exceptionnellement chaud dehors... et surtout dans l’appartement, du fait de la mauvaise isolation thermique, Ali m’a demandé :
- Ça te dérange si je me mets en slip... Je n’en peux plus, il fait trop chaud.
J’ai acquiescé et j’ai maté ce beau mec se déshabiller devant moi et vaquer à ses occupations sans insouciance. Mon regard se posait sans arrêt sur son matos. Quel beau paquet moulé dans ce slip... Pour la première fois, j’ai remarqué sa pilosité brune... et dense ! Je trouvais ça si sexy chez Ali ! Je ne cessais de reluquer ses jambes ou son corps. Puis c’était son paquet qui s’est mis à vraiment m’hypnotiser : le tissu du slip moulait sa bite au repos bien large ainsi que son gros gland. Le tissu l’a pressée, tout simplement. Elle semblait toute molle et recourbée sur ses couilles. Son gland semblait aussi très gros, le tissu le serrait tellement bien...c’est comme s’il était nu devant moi. Le tout formait une belle bosse.
Et quelques heures plus tard, cette fois sans me demander, il se promenait complètement à poil. Je l’ai remarqué alors qu’il faisait la cuisine. En entrant dans la pièce, c’est son cul nu qui a immédiatement attiré mon regard. Je bavais devant. Son fessier était bien dessiné, bombé et bien ferme. Je me suis assis à table et je l’ai maté. Il a fini de cuisiner puis il a posé les assiettes sur la table. Nous avons mangé. Je ne disais rien. J’essayais de cacher mon excitation. Puis nous nous sommes rendus dans ma chambre pour faire une petite sieste. Je marchais à côté de lui et j’ai bien reluqué son paquet. Je voyais son morceau se balancer de gauche à droite, laissant entrevoir son membre imposant surmonté beau gland. Il était assez impressionnant, même au repos. Elle devait faire 13 cm. Au repos ! Qu’est-ce que ça devait donner quand il bandait ! J’adorais le mater pendant qu’il marchait : sa queue pendait lourdement. Ça me rendait fou d’excitation aussi ! Ali était sans pudeur... et ça redoublait mon excitation.
Nous nous sommes posés sur le lit et je me suis vite endormi. Quelque temps plus tard, un bruit m’a tiré de mes songes. Curieux, je me suis levé et je suis allé voir ce que c’était, la tête dans le cul. J’ai alors découvert Ali, la porte de la salle de bains ouverte, en train de se doucher. J’admirais l’eau couler le long de son torse velu et de son gros ventre. Puis elle traversait les poils bien noirs de son pubis et elle se mettait à descendre le long de son engin circoncis et marron pour tomber comme un gros jet de pisse sur le sol de la douche. L’eau rebondissait sur ses couilles à chaque mouvement. Ça lui faisait quand même une belle trompe dans son entre-jambe. Il a soudain pris ses couilles dans ses mains, il les a étirées et il a joué avec. Puis il a passé sa main sur sa bite et il s’est mis à faire aller et venir ses doigts sur la douce peau. Il a ensuite pris du gel douche et il s’est savonné sensuellement son corps baraqué. Je commençais à bander. Il s’est ensuite trituré les tétons. Sa queue s’est alors mise à gonfler et elle a atteint des proportions énormes. Elle arrivait sous ses pecs ! Un humain ne pouvait pas être doter d’une trompe pareille, me suis-je dit ! C’était impossible ! Il s’est mis à branler tranquillement son anaconda sous l’eau chaude qui coulait sur son corps. Tout d’un coup, il s’est retourné et il m’a dit :
- Viens me sucer !
J’étais terrorisé... mais mon corps ne m’obéissait plus ! Je me suis approché et je me suis emparé de son membre qui était énorme. Le gland ne rentrait même pas dans ma bouche et...
Un grand bruit m’a alors tiré de mon rêve. J’ai sursauté et je me suis passé la main sur mon visage qui était en sueur ! Ce n’était qu’un rêve ! Par contre, je bandais à fond ! J’ai soupiré, triste du fait que ce ne soit qu’un rêve et je suis allé dans la salle de bains, que j’ai fermé à clé pour me branler.
La nuit suivante, nous dormions toujours dans le même petit lit. Ali s’est endormi immédiatement, nu. Moi, j’ai tardé. J’étais en slip. Nous nous tournions le dos. Repensant à ce rêve, je me languissais de sentir sa peau contre la mienne. Doucement, j’ai rapproché mes fesses des siennes. Nos culs se sont frôlés et je suis resté ainsi. Le sommeil a commencé à m’emporter quand Ali s’est retourné dans le lit et ... il a posé son bras sur mon épaule. J’ai lentement rapproché mon corps du sien. Je sentais les poils de son torse me chatouiller le dos. J’étais hyper excité. J’ai bougé mon cul d’une telle façon qu’il frôlait sa queue molle. Je tremblais d'excitation. Soudain, il a entouré ses bras autour de mon corps et il m’a tiré encore plus vers lui. Je sentais sa respiration dans mon cou. J’épiais ses réactions : il avait une respiration régulière, il dormait. Tout d’un coup, j’ai senti son engin gonfler. Ali se collait contre mon cul et sa queue essayait de se faufiler contre ma fesse gauche et son ventre. Elle se tendait et monter le long son bide. Moi, j’ai approché mon cul de sa bite et elle s’est retrouvée entre ma raie, malheureusement enveloppée par mon slip. Cependant, j’arrivais à sentir la chaleur de la queue qui s’en dégageait. Il a alors posé sa tête dans mon cou et il m’a câliné. Je n’osais cependant aller plus loin. Je suis resté ainsi, collé contre lui, sans bouger, craignant que le moindre mouvement puisse le réveiller et briser ainsi cet instant magique. Je me suis endormi ainsi, étant quand même excité par ce moment de tendresse.
J’ai été réveillé par un truc bizarre. Je me suis rendu vite compte que la bite d’Ali était dans mon cul ! Mon meilleur pote me pénétrait ! Depuis le temps que j’en rêvais ! Voyant que je ne le rejetais pas, Ali s’est enfoncé en moi et il s’est mis à me baiser tout en me faisant tourner la tête pour m’embrasser. Sa queue glissait en moi et très vite, il a giclé dans mon cul. Il s’est penché alors à mon oreille et il m’a murmuré :
- Je t’aime !
- Moi aussi, je t’aime, lui répondis-je.
Et tout d’un coup, je me suis réveillé. Encore un rêve érotique ! Je bandais à fond. Mais je me demandais si sa déclaration était vraiment un rêve... il me semblait que c’est ça qui m’avait tiré de mon sommeil. Je sentais toujours Ali, nu contre moi. Mais un truc me paraissait bizarre... mon dos était humide. J’y ai passé ma main et j’ai senti qu’elle était poisseuse. Je l’ai portée à mon nez : c’était du sperme ! Ali aurait-il eu une éjaculation nocturne sur mon dos ?
Je n’en pouvais plus, j’étais chaud comme la braise ! Je suis alors allé dans la salle de bains. J’ai humé le sperme de mon ami et je l’ai même goûté. Il était salé et un peu amer. J’ai ramassé tout ce que j’avais dans le dos et j’ai tout avalé en me branlant. J’ai éjaculé très vite ! Puis, je me suis lavé et je suis retourné me coller contre lui.
Deux jours après, il faisait moins chaud et Ali avait remis ses vêtements, pour ma plus grande déception. Le soir, alors qu’il prenait, je suis dans ma chambre et j’ai remarqué que son slip était bien en évidence sur mon lit. Comme j’entendais toujours l’eau couler, j’ai pris le tissu dans mes doigts et je me suis mis à le snifer. Il sentait bon les hormones de mâle ! Mais tout d’un coup, j’ai entendu quelqu’un qui toussait derrière moi. Je me suis retourné, horrifié : c’était Ali, qui lui me souriait. J’ai bafouillé quelque chose mais lui ne m’écoutait plus. Il s’est approché, nu, de moi... il s’est jeté sur moi et il m’a embrassé à pleine bouche. Surpris, j’ai fait tomber son slip. Et me remettant de mes émotions, me rendant compte de ce qui m’arrivait, j’ai pris mon meilleur ami dans mes bras et je lui ai rendu ses baisers.
Ali m’a alors poussé sur le lit, il s’est posé sur moi et il a continué de m’embrasser. Ses lèvres étaient tendres et chaudes. J’ai bandé immédiatement. Après bien 30 minutes de ses préliminaires, sa langue est descendue dans mon cou et il m’y a léché. Je gémissais de plaisir. Je sentais sa peau chaude contre la mienne, ses poils me chatouillaient. J’étais au paradis. Je me suis pincé et cette fois je ne rêvais pas !
Il s’est posé à côté de moi et il m’a embrassé de nouveau. Sa main a plongé dans mon caleçon et il a commencé à jouer avec mes 23 cm. Puis, il m’a fait me déshabiller. Et il m’a embrassé de nouveau. Ma main s’est aventurée vers son paquet et j’ai commencé à caresser délicatement ses couilles. Puis je me suis mis à branler sa queue. Mon autre main parcourait son torse poilu. Je l’ai embrassé dans le cou puis on s’est roulé de nouveau des pelles intenses. Et une envie m’a alors pris. Je suis descendu vers sa queue que j’ai pris en bouche. D’abord, j’ai enfoncé son gland et je l’ai léché avec ma langue. Il avait un bon goût de savon. Puis je l’ai enfoncé plus profondément et je me suis retrouvé avec la moitié de sa bite dans ma bouche. J’ai commencé à le sucer tout en le branlant. Il m’a posé une main sur ma tête qu’il a caressée tout en soupirant de plaisir.
Sa bite était délicieuse. Je me délectais aussi de son beau gland circoncis. Sa queue était toute dure dans ma bouche. Je l’ai ressortie et je l’ai examinée : elle était assez fine et devait faire dans les 20 cm. Elle était marron et parcourue de petites veines. Ses couilles étaient plutôt petites et elles pendaient lourdement sous sa bite. Je l’ai ensuite renfoncée goulument dans ma gorge tout en lui caressant les couilles. Je me suis mis à faire des va-et-vient. J’essayais d’avaler sa teub du plus profond que je pouvais. J’y suis arrivé plusieurs fois. Ce que j’adorais sentir son gland glisser sur ma langue, passer mes amygdales et aller buter au fond de ma gorge. Sa queue était bouillante d’envie.
J’ai sucé son morceau pendant 20 minutes. Puis Ali s’est relevé et il m’a mis sur le lit. Il est passé entre mes jambes et il s’est mis à m’embrasser. Je sentais sa queue frotter contre la mienne. Il m’a donné quelques coups de reins comme s’il avait envie de me baiser. Ne me contrôlant plus, j’ai levé mes fesses et sa bite s’est retrouvée devant mon anus.
- Tu es sûr que tu veux le faire ?
- Oui, je veux un enfant de toi, Ali.
- Ok, mon amour.
Il s’est alors penché sur moi et il m’a embrassé. Je l’ai regardé, stupéfait, surpris par cette déclaration d’amour puis je lui ai roulé une pelle sauvage. Il a pris un tube de crème pour les mains qui trainait à côté de mon lit, il en a badigeonné sa queue et il a placé son gland contre mon trou qui était bien serré. Il l’a enfoncé doucement puis il s’est mis à donner de petits coups de reins. Il s’est enfoncé très lentement en moi tandis qu’il m’embrassait. Il lui a fallu 15 minutes pour se retrouver en moi. Je n’ai pas ressenti de douleur, je mouillais du cul et j’adorais la sensation de ses couilles contre ma raie. Il a commencé à donner de petits coups de reins. Je me suis mis immédiatement à gémir. Sa bite me faisait du bien. Ses couilles rebondissaient contre mes fesses. Il faisait entrer et sortir sa longue bite sur toute sa longueur. Je trouvais son corps magnifique avec ses rondeurs qui vacillaient sous mes yeux et son gros ventre qui allait et venait devant mes yeux. J’adorais observer la pilosité qui recouvrait tout son corps.
- Putain, ton cul est trop serré, dit-il. Je ne vais pas tenir longtemps.
- Vas-y, défonce-moi et engrosse-moi !
Il m’a souri, il a plongé sa langue dans ma bouche et il s’est mis à donner des coups de queue violents. Je supportais ses assauts, je me rendais aussi compte que je mouillais bien du cul. J’adorais son corps qui se frottait contre moi et ses poils qui me chatouillaient. Sa queue allait vraiment profondément en moi. Elle me faisait vraiment du bien. Parfois, Ali sortait de mon trou pour s’y renfoncer immédiatement, faisant bien claquer ses couilles contre mes fesses. Sa queue était dure comme du bois... et brûlante, résultat de son envie pour moi qui bouillonnait en lui.
Très vite, j’ai senti sa respiration s’accélérer et il s’est bloqué en moi. Ali a poussé un râle bestial et j’ai senti alors une vague chaude de sperme m’envahir, jaillissant de sa teub et fouettant mes entrailles. J’ai compté 11 jets. Il a ensuite tassé son jus pendant que je me branlais. Puis, il est ressorti de mon cul et une vague de sperme en a jailli, inondant les draps. Je sentais que mon trou était bien ouvert, bien béant.
Il s’est placé devant moi, il m’a sucé et il a avalé mon jus jusqu’à la dernière goutte. Il s’est blotti ensuite dans mes bras et nous avons passé la journée à nous câliner et à faire l’amour.
Voilà, c’était l’histoire de ma rencontre avec mon premier mec ... c’est lui qui m’a dépucelé et qui m’a fait connaitre le plaisir des bras chauds d’un homme et le plaisir du sperme dans un trou. Nous sommes restés ensemble pendant 3 ans, jusqu’à ce que la vie nous sépare... »
Walid, subjugué par l’histoire de son cousin, se jette sur lui et lui fait l’amour comme jamais. Ça lui fait penser à sa première fois à lui avec un mec... Mais ceci est une autre histoire...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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